Carnet d un Morlaisien OV VA L ESPRIT?

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1 A ; î ; ' Deuxièe Année - N io3 Hebdoadaire - 25 Centies Saedi 2 Juin 1984 JOURNAL RÉPUBLICAIN DE MORLAIX ET DE L'ARRONDISSEMENT Rédaction-Adinistration : Iprierie LCUIS BOCLÉ, 9^15 rue Gabetta, Morlaix - Téléphone 2.39 «v. '. «LIBERTÉ OV LIMITATION DES ARMEMENTS? De l'issue tles clél)als ([ui se sont ouverts à (îcncve clépoiul l'avenii- de la S. 1). X. et de la paix <hi onde. II ne tant Jaais se lasser, ni désespérer Mais il est des oents où les o )lions sont déeisives et ne perettent plus de retour en arlière. Le teps des siples «oecasions nuuuiuées «est révolu ; nous en soes aintenant au stade des déeisions d'où dépendront le destin de l'iùn-ope et la vie de illions d'hoes. ([ui eonslilue à leurs yeux le seul oyen d'éeliappei' à l'évenlualité ( u'ils redoutent par ilessus tout ( ui serait eonelue dans des eonditions bien dill'érei\les de eelle de IDli) et à la- (pielle ne an( ueraienl j)as (l'atlhérer l'iense ajoi'ité des nations européennes, 1'. lî. S. S. eo prise. Nous eroyons fereent (pie la eonclusion d'un aeeorti de cette nature entiainerail entre les jiuissanees un rap])roeheent iniéiliat et profond (( ue nous le voulions ou non, (pie ee soit vrai ou faux, on nous ren- Nous ne nous jjréoeeupons en ee doaine repétons-le une fois de plus ni de i»auelu', ni de droite. Il s'agit de reeherelier (Ira en partie responsables de copte tenu non seuleent, l'échec de la conférence) et des traités, ais aussi des réa-'nous n'hésitons pas à le dire lités les oyens les )his ef- nous vaudrait un regain de séticaces d'assurer la paix de l'iùi-' curité rope cl, par celte paix, notre sécurité. Au lîoint où nous en soes parvenus, après un réainieenl certain et déjà considérable de l'alleagne, eu égard à l'etal La course aux areents entraine le axiu d'insécurité : elle ène inl'aillibleent à la guerre et nous ettra très ra )ideenl en état de grande inleriorile vis-a-\is de nos voisins. d'esprit cpii régne dans ce pays, (l'est alors cpie nous serons faiil esl ipossible, j>(>iir le nwineiil, de ter.tei- une rédiulion L'accord sur kupiel nous l'on bles et isolés des areents. Par (piel procé- dons nos es )oirs de paix ne <.lé, en ellel, obtenir du lieich le nous parait ni fallacieux, ni irréalisable, eu égard aux dispo- retour aux clauses du traite de Versailles? I-^ll coent pourrions-nous consentira diinuer et de rilalie. sitions actuelles de l'angleterre noire apj)areil ilitaire sans des Seuleent, il faut (pie nous uaranlies de contrùle et de sécu- lyons la clairvoyance de ne ])as rite que l'état des esprits et des ; nous attacher à des lictions juriconventions internationales ne di(pies et à des choses ortes; nous accorde point Le ieux nous i)arait être, nnc l'ois de plus, l'ennei du bien. Tâchons de franchir une preière étape : celle de la liitation des areents par une convention instituant un contr()le généralisé et des sanctions. Nous entendons bien les deux objections qu'on ne an( ue pas d opposer à cette solution. Il est ipossible, nous dit-on, de légaliser un réareent du lieich eirectué en violation des clauses du traité. Nous léiiondrons une fois de plus (pie ce n'est pas la < ueslion. La seule (pii se pose est celle de sa\ ()ir coenl. en l'ail, epêcher ce rèaiineent et, sinon le supprier, du oins l'arrêter. I-^t voici la seconde dont nous ne éconnaissons )as la gravité : rex )érience proiix e (pie pour l'alleagiu' aucune convention ne copte ; dans ces conditions, un accord (picl (pi'il soit ne changerart rien et aggraverait le péril )ar une fausse sécurité. Il y a certes une ditlicuilé grave ; ais nous ne la croyons ])as suflisante pour nous faire accepter la terribl'j éventualité d'une couise aux areents. I^ventualité (pie l'angleterre et l'italie redoutent beaucoup ;^lus (pie nous encore. Pour l'éviler, l'italie propose une convention sanctionnant évideent un certain réareent du Ueich, ais ne nous deandant aucun saciilice iédiat. Nous conserverions ainsi la aige de sujjériorité ( ue nous possédons encoi'e, ais (pii diinue de jour en Jour. L'ado )tion du principe de la proposition italienne rétablirait notre unité de vue et d'action avec ces deux )ays ; cl nous pensons - et c'est noire réponse à la seconde objection (pie <levant un accord fere de la l''rance, de l'angleterre et de l'italie, le lleich devrait s'exécuter. Nous venons d'en avoir la preuve dans l'an'aire d'autriche après l'avoir constaté pendant les (piin/e années de non-application du traité de Versailles. Les clauses de celui-ci ont été violées dans la esure exacte où nos anciens alliés se sont désintéressés de leui- ap )licalion ( u'ils Jugeaient ipossible. le courage de résister aux capagnes de pani(pie et dalliole ent savaent et aboinableent entretenues dans une partie (le notre piesse ; et à la tentation des solutions de l'acililé, les plus onéreuses à tous )oints de vue. Claude LLIJLONI). iril II II II II il II II II il M! Les Profiteurs de la «prochaine» Carnet d un Morlaisien OV VA L ESPRIT? L'iiilrllei liinlisnic cl J'ciilvnds alllrrs pur les Irardu.v de l'ispril esl paria l'inuict parle par l'indiridu toinhé de façon alarinanle. aux ehoses de l'esprit, an.v spéeida- \ Je n'en ôen.v /ireseidenieiil pour lions seienlijiqnes, lilléraires il an-, preuve (pie la coparaison enlre les 1res, considéiées contnie nn passe-' e/j'eclif.s d les Iranan.r d'aire sociélê lenips el non voinine nn gagne-pain sananle de noire ville, a l'épofjne rinlelleclnaliswe ra-l-ii de pair 'de sa fondalion et de nos jours, auec la di/]nsion d" ruistrnclion el Celte société fut fondee a Morl(d.ï l'extension de la cii>ilisalion! en IS'/!). Six ois après, elle avait.1 preière vue on serait tenté de \ (léjà l.'us end>res, pour la plupart répondre sans hésiter (pùe pareille rt^sidenls. et paijant une cotisation (pteslion est parfaiteent oiseu.'ie el annuelle de 10 fr. Tout ce (pie noire (jne la chose va de soi. piuc d ses environs coptaient de Il seble d'(nllenrs (pic! intellec- representaids de la noblesse, de la tuatise. nohtes.sf de l'esprit, ne \ bourgeoisie, de la édecine, de la puis.se.s'épanouir (pu^ par l'inlruc- : nukjistrature, du (/rand né(joce el de tion, et a la faneur d'un iniu l'(uhninistration tint à 'l'honneur donné de civili.sation ; ceci adis, d'en faire partie : el U convient de on est naturelleent tenté de con.<.i- \ noter (pi'un parainnaye était e.ri(/é dérer l'un coe le produit des deu.x' à l'eidree. autres, et de proclaer (]ue le déve- J.n Société d'l'uiules, (pii avait loppeent de celui-là esl fonction de pour ol>jel «.le coiicourir ji 1,. conn.iis la piospérité de ceux-ci. Aulreeid, s.uic' pliis parl'.iiic de l.i i{ici;i.;iie, du dit, (pie dl/jusion défectueus;' de Kinisirro en ii.irlicnlior, sons le r;i > Mirl rinslrucuon,el civili.sation atérielle ' n^itnrclles. «le l'arclu'olcijic. rudientaire ei/alent intellectualis-' '^'-'..> l'ilistoir,. était e indi(jent, et, inner.seenl, (lu'iiis- \ donc une.société «savante». Elle IriicUon iiénérale brillante el stan- ' ""<' sé'ance ensuelle au cours dard de vie Irès élevé (uialenl I n t e l - i ' I ' ' H e u des lectures de lectualisnw llori.s.sant. ' j havavx (xnts destinés a figurer ilans C'est bien ainsi (pie les prooteurs! "" indletin seestriel, de l'instruction publi(pit l'enten-' Ce (pii frappe, lorsipie l'on feuillcue daienl.sans (hute. Ces braves (lens ' l" couccuon des bulletins de celle eshaieid ipie les ténèbres de l'e.vtrée variété et le rance elard repuu-ées par le.s /;/-i (/c.v/w//;.r (/(/<*/'(;/) f//rof/w. ières du savoir obligatoire, l'esprit ' i><""< '<' preier fa.scirute figuraient du plus huble citoijen ne.se ia.sse- <1''.!'' des.anniyscs chiiiii( ues diverrait jaais d'ac(piérir de nouvelles de M. Chabrier-. un i'ixaiucn de riche.s.ses a/in de parla()cr celle.s-ci l'air dos ciisciiics de Morlaix, des avec la collectivité, el dè lutter (dn.si notes sur le GuaphiiUuiw eiidnlntuni le retour de l'âge d'or. Surcopliyllis lol)ala, </? M. Mi- (Ju'est-il advenu en réalité de ces l'^iiiète sur les lléronréves (/énéreux? L'individu étant de "ièrcs de Bretagne, de M. L. Bureau ; nos jours plus instruit en (p'uéral ^ h'^i'"'! sur l'origine des Contes (pie ses aînés, travaillant d'une a-, populaires bretons, de F.-M. Luztl ; nière oins pénible et di.spo.sanl de \ 'H'I^'d d'un Catalogue des Hyinéloisirs et de oiiens de perfeclionne- 'i noinycèles de l'arrondisseiuont de ent intellectuel dont ne dii^pu.suien'l W du Cole de (hiernisac : pas les (/énéralion.s précédenles, e.sl-il des études de M. de nonnechose sur iaràjuableent plus préoccupé QiU'Upies Mousses du Finistère. de choses spirituelles (pie ceu.v (pii de M. Hervé sur les Col(.M)ijlères et vivaient ôd, KKI ou '>(1(1 ans avant lléiplères des Lu virons de Morlai.\, du Docteur Sénuiiier.sur t jïi lui Pour a part, je n'hésite pas a Mortalité à Morlai.N. répondre (]ue non : el je crois êe ]'oilà ce (pi était el ce (pie produisait la Société d'iiludes en pouvoir a/jirer (pi'il l'est oins hsso. nn siècle ou ciiui siècles : on doit donc logiipiecnl être plus ouvert (pi'autrefois a toutes ces choses. Mettez (. (UI devrait» au lieu de L'huariate cl hebdoadaire chroniljucur du.journal des Mutilés u on doit» et nous pourrons discuter. et Cobattants, notre confrère lùi e/jel. ce n'est pas d'aujourd'hui Gonin, plu.^ c(i.'<ous le p.scudo- '.(pie /e e rends copte du fait (pie nye de Louis (hirlie, écrit dans le lecture, instruction et intellectualise dernier nuéro de cet iinportanl ne vont pas néces.saireent de pair, or^^ane : Pour avoir lougneenl sondé les Il parait que les aptdres les plus couches les plus ob.sciires du peuple zélés de la defense des civils contre breton par exeple, fai ac(piis la les danj;crs de guerre aérochiiquc conviclion (pie des illeitrcs coplets, ne sont pas aussi désintéressés qu'ils <>i' «peu près coplets, ont.souvent en ont l'air, el qu'ils sont adinis- plus de curiosité intellecluellc trateurs de fabriques de asques ; i h ls éducateurs piol'e.ssionnels. derrière le but luianilaire se dresse 'lisserand.'i, tes cultivateurs, les le ur d'argent. Sont^e/. donc à ce ; ' / " ' oïd tracé de leurs que pourrait encaisser le ïahricani doigts parj'ois alhabiles les lignes qui serait assez alin pour faire des tragédies et iisteres recueillis donner à son asque l'estapille {><>'' l'enguern, Liizel et Le lira: ollicielle et s'assurer ainsi l'cxclusi- /KJ(;.S',SU/C/I/ la pa.ssion du theàtre vite de la vente. Un asque coûte./'".vr/u'à coposer ou a copier, au au bas ol cent dix francs ; il en prix d'ed'oits inouïs, des textes drafaul un par pensonne ci par an ; : niati(pies (pu jéraien' par la sniu te coe il y a quarante illions des fouus devant lesd'iiabilanls" en I rance, ça lait plus ' (/nc/zc.v on les interpréterait. (Jue ces de quatre illiards de chiffres d'af- ' textes soient de l'intérêt artisti(pie le faires par an. Une paille! Sans, plus (pielcoiupie. la ch<),se iporte coniptcr, en plus des asques, tous 1/'('M f/ es ijeiix. On ne peut pas les autres accessoires : n'a-t-on \ deander a un rural.s(u-hanl tout voulu lancer, derniereenl, le Ix'v-1 Juste lire et écrire de se révéler So- cean-refuge contre les gaz à l'usage des nouveau-nés. sorte de valise Iransparante dans laquelle, au signal d'alare, la aan jelterail phocle ou (laideron,.sous préuwte (pi'il esl féru d'un certain genre de thetdre. ('.e(pi'elle révèle d'intéres.sant c'est surtout la poussée grt'tce a laprécipitaenl son gosse pour t'ar- (pielle un huble arrive a."e han.s.ser radier à l'in loxicalitîn? ^ inconscieent sur nn plan s/)iriluel Oh! entendez-oi bien, je ne identupie a celui ait.se Irotivenl p!arouspete pas contre les précautions, cés des artistes autreent bien doués oflicielles ou privées, qu'on peut Les créateurs des gwerziou, (pti prendre : on n'en prentlra jaais ;/'//nau'/)/ pour leur uniipie salisfacassez!...le rouspète contre les er 'don, tout illettrés (jti'ils fti.ssenl, et canlis de la panique, qui n'exploi-:'/iu7f//;<'//((//(/(vi/e (pie put être leur tent le danger aérien que pour i inspiration, etaient a on sens des ieux exploiter leur industrie, (pu intellectin Is d'essence plus pure (pie cachent leurs usines derrière dos des versilicaleurs professionnels éericoités el de.s «ligues de proicc-. vaut d(s vers pour ga(/ner de l'arfp'iit. lion». et leur porte-feuille derrière! S'il est des igr,oranls assoifes de de belles paroles. savoir el capables de créer, il est par La dernière guerre esl à peine li- ' contre des dif)l(')és rassis el itnpuisnie, tous les coptes ne sont pas\ sauts, (pie n'aignillon ne ancunecuencore réglés, ses profiteurs n'ont I riosilé, el (pii, sortis de leur h'iche pas encore été poursuivis, el vowè i (piotidienne, èneni une e.rislence que déjà apparaissent les profiteurs toute dépourvue d'iidérêl intellectuel. de la prochaine!... Ilélas! c'est j De tonte façon, ce (pie Je suis l>ien justeent parce ( uc, quinze ans i oblitié de constater, c'est le jail (jit'en après, les pirates du passé n'ont pas j dépit du niveau inconlestableenl été inquiétés, que déjà, enhardis \ supérieur de rinslruclion au seuil du Nous n'avons pas le sentient que telles sciaient leuis (lis )ositions à l'égard d'une conven- par la ccrlilude de 1 ipunité, les ;.scco/u///<7.v du XX' siècle, par rappirates de deain se ettent au! port à la seconde oitié du.v/a"', boulot! par e.veple, le nobre des aateurs tion de liitation désareents Gaïtés Parleentaires Le «IJarodel - vient de parailre. Pour ceux (pii ignoreiil de quoi il retourne. Je dirai qu'il s'af^it du recueil des professions de loi de MM. les dépulés..sou no bizarre esl celui d'un obscur parleentaire lyoîhiais (]ui, verlueux el déliant, iagina, Jadis, de conserver une trace durable des serenis électoraux (pii perit de lafraicliir les succès de ces essieurs (piand, bataille Unie et le succès ac( uis, leur iiièiuoire accusa des défaillances. L'iulention était ]>ure autant (jue alicieuse, ais rex[)érience a déuionlrè (pie ce Holtin des vaines proesses n'eut Jaais aucune iniluence sur la ligne de conduite de nos politiciens. Une fois élus, les prograes sont choses périées el il vaut ieux les oublier (pie de s'exposer au reords de les violer sans vergogne. (>elui (pii nous occupe aujourd'hui concerne les élections de ; coe il esl ausant de le feiiilleler! On y trouve des pages ex( uises dont ou ne saurait dire s'il faut adirer la candeur ou blâer le cynise. N'abandonnons pas l'ouvrage sans faire quehjues extraits. Négligeons les tirades (ju'on devine sur l'aour de la déocratie. la prospérité universelle, le pain à (pialre sous pour celui qui l'achète et à cent sous pour celui qui le vend, la ré(lu(;lion des ip()ls et celle des heures de travail, l'apéritif gratuit el obligatoire el abordons les personnalités : «Je serai pour vous, écrit.\l Pelsche, ((ui fut sous-secrétaire d'iclat el (pii n'en esl pas plus lier, Je serai l'ai sincère el accueillant" à qui vous pourrez écrire el rendre visite, (pii vous répondra, vous recevra, viendra vous voir». Pour(juoi n'a-t-il )as ajouté. «...el cpii fera toutes es coissions dont vous voudrez )icn le charger. > Après tout, n'estce pas la coutue chez la ])luparl de nos élus, car si on leur défend d'en loucher, on ne leur interdit pas d'en faire. lu J'en sais (pii ne s'en )rivenl jjas.... 'ai des idées politiques très arrêtées...» atlire un certain M. Boulet ; hélas! le ystère persistant dont il s'eidoure'au Parleent ne nous peret pas de les connai- Ire el c'est sans doiîle i^raïul doin- Le Péril Econoique Jaune Le péril jaune ne consiste pas seuleent dans l'expansion de l:i )uissance polilitpie du.lapon et dans la enace de ce jiavs d'exercer sur l'asie une hégéonie (pii en chasseiait les lùiropéens..a ce danger s'en ajoule un autre (jui nous touche de beaucoup plus près. Il s'agit de la concunence désastreuse (pie l'industrie Japonai.se esl en train d'organiser contre celle des )ays de race blanche sur tous les archés du inonde. Les facultés d'adaptation j)rodigieuses des Nippons leur ont peris de s'assiiler rapideent toutes les coii- (pièles du progrès el leur technique esl égale, sinon supérieure, à celle des ICtals occidentaux et de l'industrie aux éthodes pourtant si perfectionnées des Llais-l'nis. A ces avantages, les Japonais en ajoutenl deux autres qui sont capitaux : une durée plus longue du lra\ail ournalier et les salaires infies. Is ont donc tous les atouts leur perettant d'obtenir des prix de revient de beaucoup inférieurs à ceux de n'iporte ( uel industriel des contrées de race blanche. Au Japon, actuelleenl, on travaille couraent douze heures par Jour pour des salaires dérisoires. Certaines industries travaillent êe actuelleent, à Journée pleine, c'est-à-dire durant 21 heures. On c()n(;oit ce (jue peut être dans ces conditions et avec les oyens si perfectionnés de l'heure." la niasse de production. Les chilires cités sont lels qu'il en résulte celle conslalalion : c'est (pie le développeenl toujours plus poussé de l'industrie Japonaise pourrait bien être une des causes principales du arase de celle de PLurope. La )ro('uclion cotonnière, qui conlri- )ua tant à la prospérité de l'angleterre, a déjà reçu un coup teitible. De sept illiards (le «yards > dir colon lissé un \ard è(pnvaul à '.)1 centiètres 1 2 en U)l.'}, l'exporlalion anglaise tobait à 2.2 illiards eu Le arché de l'inde (jui, avant la giferre, absorbait plus d'un illiard de yards de toile de coton par année, n'en deande i)lus que (KH) illions en lu.'i2, alors (pie l'iportation eu provenance du Ja )on ontait ver- Cependanl, objecterez-ixs, on est 'l'obee en.soeil après une diidus instruit, on lit davanuuie au- \ d'(wlndté, elle fut r^^^^ jourd'hui (pi il // a un dei-siècle,' suscitée en IH'JS Mais pour tj intéres- tigineuseent à ()4;{ illions. On ser le public, il a fallu snbsliluer (ui,,,,,,,,.., y,,, peut parler, en présence de lels caractère pureent scienti/i(pie,/e L'i M. Molie, de 1 Aveyrou chillres d'une véritable con( uétc.ses travaux, une action inil,,(nis(,-\ éconoi( ue et les Blancs font Iricedontla plupart des afe.sta- ^"'te. inie relonne (pie la lions consistent en conjerences donl)rècédente législature a déjà votée déjà ligure do vaincus. ICn veut-on Tiil..M. (Gazais, encore une preuve toujours au sujet du colon 1-ji 1!M.'{, à la veille neespar'des liltér(deurs é/nz/'ir/crv a! f "^'P.'','' npeitul..m.cazals, issure (pi'il esl la lueta(,ue. Depuis sa reconstitiition, ' '1" : V" li;;;);.': ' n' 'i;;'! ',.//,.,,u>,.;>,./in,. 'XKi,,,././,. ''«-'Pi'hhca 111» (1 e lia 1 ssaiicc e 1 ( e( u- ^ f^ucne. 1 Luio )e eployait en;/, r/ : " Vidal, du l'iou/e illions de ba les de co'lon,u uhs dans Us nu is iluiu (pu. (loparteentdui s'inlilule i l"'»»- Aujourd'hui, elle n'en a plus nuits, nuiis.s(ins p(ir(iiiin(i(p' o b l u / a - ' ' " ' i,,,^,,;,, ; i i Lre'- et, /;on/ / ( / ( ^ v l i /.! ^ - ^ ' ' 'l ; " ' " si.ster,ilafatlu ' husser ' la coli.s(dion ^^'P'" (lis (pi il laul ''t':^ ctre iiiconscienl jiiconscienl ou : -,. annuelle au chijfre de 10 franc.s-pa- '"auvaise lois pour prelendrc i f 1 o a du des pioduits nipnier «(,ilfrnirs (,r! (pi uue polilupie socialislc peut poiis al tel 111 des (Icgres 1 uciova bles la S! c() tinte la n /,//ai//,,n! ^''^^'Horer notre sort... ('.e (lui ne : e/ «l'où ressorl éknpieenl le La.s.. lonliu lt puthualion ^,,,,.euve i'l:'"?;^'''^'oncurrence. Le péril d un buttetiikpii n esl plus(pi annuel, '^"M"-»-"'' u eu ( i lu, )i i u\t, 7., i i,. ^ 1 ri el coporte de '..^niuinnnl 'is êi (>0 jxnjes, nn au lie, lieu (pie c le pcu peuple pic souverain SOU 1U esl un U U bon bou "-'si c lit cu icures Idlics ue de (eu Icu parle desdo a lôo pages de l'ancien but tel in bougre de peuple. prix des articles. On vend en lùiseestriel, lestjiielles étaient aiitieeut l)ourrées de anières, par sur- l'âne, il v'a les proteslalions vèhé-;.j^m'oiiaise pour quel( ues sous la Mais il v a ieux (pie ces (o(i-à-! ''«I"-' chausseltes de fabrication croît. /,'/ Je suis t>ien oblige d'en entes des lénors de l'affaire Sla- ^ :> repasser éleclriviskv et celle-là ont vraient une i'p'^'^ P"'"'''ancs ; des cuillers à arriver a certaines dédiiclions, do:it la preière esl (jue si la cotisation save'iir toute particulière: «i:u)i-1 Ihé 2(1 francs la grosse ; des lagné des inanil'eslalions slériles. 1 P^'^ éledri(pies, des Jouels d'en- annuelle du groupeent avait été aintenue a son taux en lranc.s-or. écril M. Ciaral. J'ai organisé des au tiers ou êe au (piart des la S. L. n'aurait pu trouver di.v per- (cuvres sociales' d'assi.slance olli-1 siilaires européens, l'n sonnes pour.s'interesser a sa reconslilution, et la.seconde, (pi'on ne trouve plus dans notre ville ni dans la légion, de travailleurs dé.sinléresses capables de fournir a un bulletin seestriel ou êe annuel, des etudes scientijitptes, archéolo(/i(]ues ou Itllerairts têinoùinant d'une vitalité intellectuelle (luelcoiupie. C.e (pie Je dis (i propos de ta Société d'llndes, de Morlai.v. /c fionrrais d'ailleurs 1 etendre êi d'autres groupeents.savants coe ta Société Archéologiipie du Finistère, dont les bnltetins actuels sou/jrent ptut(')t de la coparaison avec ceii.x' dit ij a nue trentaine d'années. l'a ces rélle.vions sont valables non seulenient pour la Hrelagite, ais pour la l-^rance el sans doute pour tout l'univers civilisé. Ce (pi'il g a de certain, c'est (jii'au- Jourd hui on ne trouve jilus personne, ou à peu près, dans la nobles.se et la bourgeoisie, dans les projessions libérales, dans l'arée ou la arine, (pii s'interesse, de façon assez active pour leur consacrer (piet(pies heures d'éludés, ait.x' sciences naturelles, êi la Phitolo(pe, a l'archéologie, et a il'alitres spéculations intellectuelles dont chucuiie a sa valeur (hins le perfectionneent de l'esprit huain. Les causes d'une telle désafjéclion (I l'égard de la science pure? On les trouverait sans doute dans les clian- cace (jui sont en )leine èclosion. pneu (le bicycletle de anpie Ja- I']t voici M. Daliier (jui déclare )onaise ne coûte guère (pie 10 fr, «Il n'esi pas tolèrable qu'on conli- "" signale (pie l'industrie de lànue à drainer l'épargne el à Iroiii-1sera bienum à êe de livrer lier les èpargiianls. Ciràce au f()n-!bécanes à Tâ francs el des aulr(")le de ri-:ial. il l'aul défendre la los dernier cri à.").(){)() ou (i.cdo fr. asse conlre la cupidité des iinan-l " P^is à s'élonner si, ciers». ICnlin. M. Bonnaure ajoule : ' p:iieils avanlage.s. l'expor- H Pas de jibrases! L'hoiinèletè!J;> )onai.sc fait reculer celle dans la polili(pie. l'indépendance )ays de race blanche. L'Kurope dans l'action. ICI. avant loul, la ''''^'<"1 di\jà pour sa pari ()". el lirotection de l'épargne! " A cette que serait-ce si le protectionnise lioniièle élo(pience n'ajoulons au- n'établissait pas de barrières? Les cun coenlaire ironupie, sinon t ^'"'dices surpeuplées de la Malaicel autre extrait du «Barodel» dû i ^ic et de l'inde sont les eilleures à la plue de l'honorable M. BU'-i ^"'i^'idcs du Ja )on. Les colonies riol : «C.hers concitoyens, il n'y a. hollandaises et la Biranie absorbent dans ce (pii précède", ni bluff, ni.'t.')" de l'exportation, l'inde offense!»>.. el le reste se ré larlil entre la Daniel BBlCb:. Cdiine, l'aériipie ( u Sud et les autres pays d'asie. Le.lapon dont la politique est singulièreent active geenls profonds déterinés dans ne veut pas laisser l'.m'rique l'e.vistence, unication. par tes facilités la ultiplicité de des co- distractions de C(')lé el on a signalé, il y a (piel- ( ue teps déjà, (pi'il avait Jeté son : tourise, théâtre, cinéa, ( évolu sur le" seul état réelleent /'. S. r., etc..., (pli enipirhenl les indépendant du continent noir. (jens de se replier, de tirerd'eu.v-ées l'abyssinie. Ses agents travaillent la substance de leurs déla.s.seents. là avec un succès tel (pi'ils ena- Quoi (pi'il en.soit, on est contraint position qu'à force de perde la constater. (,)ue peut-il en adve- sévérance avait su y prendre l'iianir pour l'hunuinilé, étant donné (pi'etle ne peut aller (jii'en s'(u'centliant C'est ce (pie Je e réserve la jhhs.sibililé d'inditpièr une autre fois. ('Air, (i chntiue seaine suffit peine. K LI'FLLCl' sa lie. Ils cherchent à faire épouser une princesse nippone par un des grands féodaux du pays. On le voit l'action politi( ue poussée Jus(jue dans le doaine seiilienlal... k. j,

2 La Tribunn ; -«'; Al ' 4 I M O M i L A i x % Le Tirage de la Tobola de la Quinzaine Coerciale jeudi après-idi, à i3 heures, il a été procédé, devant l'hôtel de ville, place Thiers, sur une estrade spécialeent aénagée,au tirage de la tobola de la Quinzaine Coerciale. Pari les personnalités présentes nous avons rearqué :.MM Rourgot. aire de.morlaix : Le Rouge, président de l'union des Industriels et Coerçants ; l\ipe. président de la Société des Fêtes : Paris, président du Syndicat d'initiatives : Gallouédec et Squiban. huissiers ; L. Haon. iprieur ; Gui/ien, Kerlicot, (iailleaux,.auguste Le Coz, Cabon. Bonbe/.in ; Ouetïurus, qui taisait otticede speaker ; Boclé. iprieur : Debré. coissaire de police ; Larchier. etc. Cinq fillettes du buieau de bienlaisance tirent tourner les roues, en présence d'un public assez nonibreun. On procéda d'abord au tirage des prospectus nuérotes distribues grauiiteent pendant la durée de la Quinzaine Coeiciale. Prospectus Chacun des nuéros gagnants donne droit a un bon d'achat de.')0 francs de archandises. Nuéros gagnants : i..,î()2 i.>.4l7 it-ttti vsj.o'iç) lo-ys.} ^> >^77.i.tïSl ii.()'>7 3} 100 1)1..">3o (i.->.(). 7 }(ko()s 2.î.-'S7 dans ('7-3^)9 3.(>37 1)1.337 Tcnibola Je la Auiniainc Co nicrcialc On a procédé ensuite au lirage des lots de la Quinzaine Coerciale. Voici la liste des nuéios gagnants : Le n io.24(> gagne l'autoobile Renault. Le n gagne la salle à anger. Le n" 24.1S4 gagne la chabre a coucher. Le n" 7 i3o gagne l'appareil de T. S. F. Le n" gagne une oîobecane. Le n 4.S43 gagne une achine à coudre. Le n gagne une cuisinière. Le n" gagne le service de table Le n" gagne un vélo d'hoe. Le n" 1S.296 gagne un vélo de fee Le n i-'agne le carillon Westinster. Le n" gagne un réchaud. Le n gagne une énagère argent en écrin. Le n i8.3is gagne un service de verres. Le n' gagne un billet de la loterie nationale. Le n gagne un billet de la loterie nationale. Le n gagne un billet de la loterie nationale. Le n gagne un billet de la loterie nationale. Les nuéros : d'honneur fut servi au (îrand Café de la Terrasse..Vous y avons rearqué la présence de M.M. Le Rouge, président de I I'. I. C.. : Tanguy, président du Tribunal de coerce ; Pape, président de la société des tètes ; Paris, président du Syndicat d'initiatives ; Kerhoas, secrétaire en chef de la airie : (îallouédec, Squiban, huissiers; L. Haon, iprieur ; Masson, directeur du garage Renault : Ronbezin, Cozanet, ('ailloaux. Guizien, négociants; A. Le Coz. Fetiicot, Cabon. Oueflurus, etc... Diveises allocutions lurent prononcces..^l Le Rouge, président de l'i'. 1. C., souligna le beau succès obtenu par la quinzaine coerciale, copte tenu de pourcentage oindre qui lut deande aux coervants, coparé à celui de l'an dernier M. Le Rouge e.\cusa plusieurs personnalités, dont.nl.nl. Sarraute, sous-prélet ; Hourgol, aire de.nlorlaix ;.AuHray, président du tribunal civil. Il reercia.^1. Tanguy, président du Tribunal de coerce; la unicipalité; MM.Gouriou, architecte de la ville ; Kerhoas, secrétaiie en chef de la airie : les eiiibres du coité organisateur, l^l.^l. Larchier, Ciui/ien, tiesoiiei. Qucltulus, etc....\piès avoir indicjué que la iiuinzaihe coerciale avait été organisée Les Journées Régionales j du Parti Déocrate Société Anonye ;iu capital de -KiT.ooo francs Siège social : 8, Rue Gabctla, Morlaix L'Asseblée générale de la Société precédeent tixée au 3 Juin est relléiiée au Jeudi 28 Juin, êe lieu, êe ordre du jour. Le Conseil d'adinistration. Mercredi tnaliti, à 10 heures, oui été célébréee, en l'église Sl-Mariin, au ilieu d'une allluence eonsidérahle, les obsèques de M..leaii- Marie Guillou, industriel, présidenl de la Société hippique de Saitil- 'rhègoiitiee. vice-présii!etit de la Société des courses île Morlaix, décédé le 27 ai, en sou tloicile, i), ( uai de Léon, à Morhiix, à l'âge de (is ans. Le deuil était conduit par.mm..leati (îuillou, Queinnec, le docteur.martin, Pierre, Mnie veuve Guillou,.Mines Pierre,.Martin, Quéiniiee Mlle.Madeleine Guillou et les petils enlanls du délunl Derrière le deuil venaient tous les l'erniiers de la région de Pleyber-CInist. le personnel de l'ii)riinerie Guillou et des établisseents Quéinnec, plusieurs inaires, adjoints aux aires et conseillers unicipaux de rarrondissenient, les enibres de la Société hippi< ue de Saint-Thégonnec et de la Société (les courses de Morlaix, le présidenl et les ebres de la Chabre de coerce de Morlaix. la plujiart tles oiliciers inistériels de Mt)r- Chez les Bouchers et Charcutiers de l'arrondisseent Dianche atin, s'esl lenue, à U heures, petite salle des ariages de la airie, une asseblée générale exlraordinaire du syndical des bouchers et charcutiers'de l'arrondisseinenl de Morlaix, sous la présidence de M. Pendu, assisté du secrétaire, M..Vndré, et du trésorier, M Grignoux. M. Pendu expose ( éeni à la deinatu ue, conl'ore de M. le prélel, la unicipalilé de Morlaix, lui a transis un barèe des prix de la viande, en lui deandani de diinuer ces tariis alin de l'aire baisser le coût de la vie..\près discussion et divers échanges de vue, à propos du barèe lu par M. Pendu, l'asseblée adopte a l'unaniinité, les prix suivants : B(vuf: eollel, 1 l'r. ; plat de côte, i) à (>.,")() ; poitrine, n à (> l'r. ; jarret, 7 à 7,.")(l ; basse-côte, (),.")() à 7 l'r. ; côte 1. H) ;i 11 fr. ; épaule. 7 à M fr. ; culotle, N l'r. ; gile ;i la noix, S.')() ;i '.) l'r. ; entre cote, Kl francs ; aloyau, 1! fr. : tranche, 12 fr. ; rusteack, 17 fr. ; l'aux-lilel, 17 l'r. ; lilet, 22 francs. \'e(iit : collet, (i l'r. ; poitrine, 1!'r : épaule, 11 fr. ; épaule sans os. 12 ir. ; c(")le2', 9 fr. ; cùle l'\ 12 fr. ; (]uasi, 11 à 12 fr. ; rouelle. 1 I- fr. ; escalope, Ki 18 fr. ; gros bout, 11 à 12 francs. Moiiion : ragoût, 9 fr. ; épaule, M l'r. ; cote 2'. Ki fr. ; côte l's 19 fr. : gigot, 1'.) fr. Ces prix ne concernenl l)as l'agneau. Porc : lilet, 1.") fr. : côte. 13 fr. : échine, Ki fr. ; )oilrine Iraiche, 11 l'intérêt des coervants de.\lorlaix..^l. Le Rouge déclara que les... aix et de la i;egion ungral n o à it 12 J.i francs, n iiiu an au lieu ijuii de u(. 1.") 1.» fr 11 ;, ja s (Vanes, au lieu de 9 tickets distribués coriespondaient à bre d'industriels el do coininerçanls lard gras. 9 l'r. au lieu de 12 fr. ; un chitlre d'altaiies de fr. de Morhiix el de la région, les présidents et ebres (les dilvérenis 1.'} Iraiies ; lard i'iié, 17 i'iancs ; lard inaigre, 12 francs au lieu de Fn ajoutant les acliats pour lest iiels aucun ticket n'avaient été peris, le groupeents et sociétés de la ville, rognon. 8fr.,au lieu de M fr. ; l'oie, chiffre d'alfaires pour.morlaix. en etc... (i fr. ; saindoux, 8 l'r ; poitrine salée, 11 à 12 fr.. au lieu de 13 l'r. ; quinze jours, peut être fixé approxiativeent de li anes, ce Chrisl. ;i 11 h. ;i(). lard gras salé, 9,.30 à 10 l'r., au lieu L'inhuinalion se lit à Plevberilui est ai) )réciable. Nous ailressons à Me Guillou, de 12 fr. ; jabon blanc, ;!(> ir. M. Tanguy se leva alors pour telici- v^'uve du défunt, à Mines et MM. le M. Pendu déclare ensuite qu'il ter et reercier.ni. M. Le Rouge, l'n ban docteur Martin, Quéinnec et Pierre, s'est itiisen relation avec lùizen, lut battu en l'honneur du président de IT. 1. C..''1. Le Rouge tint à reercier.m l'angu), ainsi que.^l^1. Paris, président du S. I. ; Caillaux, Masson, qui avaient bien voulu, le preier, eagasiner les lots, le second, les exposer ;.^l. Guyader, ( ui avait is son auto à la disposition du coité L'on se sépara à 19 heures..aujourd'hui, vendiedi, a partir de 9 heures, il a été procédé au tirage des derniers lots de la tobola de la quinzaine coerciale. l'ii la leur nous prie il'insérer le copte-rendu de ces nuinifestaticns. Les journées des jeunesses déocrates, qui se sont tenues saedi et dianche à Morlaix, et dont les séances se sent déioulées à l'hôtel du Pouliet, ont été suivies par un public sypathique 6.8o3,., io..î3o '80. La réunion de saedi avait pour i'^v '^''Ti orateur M. Ravond Laurent, sicrc-,3.980 i.2.>y ' l-^y taire général du Parti Déocrate. unicipal de Paris, q 'rll' '^ ri^ exposa, avec un rearquable talent (> J 3.2I.> 20.02S i.>.,s.)0 les principales idées directrices ' du 3..S3.S. P. IJ. Aussi, lorstju'un contradicteur. La liste co )lète des nutnéros ga- M. Guy Le.Norand, tenta d'opposer gnants sera publiée et ise en vente à dessein la thèse collectiviste au.\ saedi, par les soins du Coité des i idées déocrates, il encourut une tètes, dans les bureaux de tabacs et dépôts de journaux de.morlaix. réponse pleine de bon sens, d'huour n'excluant pas la courtoisie.. La salle, coposée en ajorité de La tcbcla socialistes ou de personnes indilléfait d'heureux ^aénant<>! rentes aux idées du parti déocrate, Jeudi, vers 16 heures, nous appre-1 fit néanoins une ovation éiitee a nions que quelques heureux gagnants ' l'orateur. de la tobola de la Quinzaine Co-1 La journée du dianche fut arerciale étaient connus. jcjuée par une séance d'études qui On affirait que Pierre Léran, : donna lieu à la lecture de rapports eployé à la aison Carha, )lace [ intéressants sur la propagale, et par Lile Souveslre, en qualité de livreur. I une serie de réunions publi( ues dans était possesseur du nuéro , les enviions. Au cours de ces dergagnant de l'autoobile Renault. I nières, a StMartin-des-Chaps, à.nous nous rendîes iédiate- Ploujean, à l'aulé, les o.-ateurs déonient à la aison Carha, oit.m. Léran, j crates rencontieient leurs liabituels tout heureux, nous cotifia la bonne j contradicteurs socialistes. Mais ces nouvelle: 1 rencontres ne se départirent nulle «C'est bien oi, nous dit-il, qui ai j part de la bonne tenue ( ue des cigagné l'auto. Déjà l'an dernier, au i loyens libres aient voir conserver tirage de la loteiie de la pieière aux joutes oratoires qui ettent aux Quinzaine, j'avais gagné cinq lots, j prises des propagandistes égaleent niais c'étaient de petits lots. Otte aniés de bonne loi. fois, c'est ieux.» l'n banc uet, au cours duc uel de Nous félicitons viveent,^i. Léian, nobieux toasts lurent prononcés, ex-eployé des cheins de fer dépar- clôturait, à l'hôtel du Pouliet, cette teentaux, qui deeuie 28, rue Villeneuve, où sa lee tient une épicerie. Coe nous venions de (juitler M. I^éran. nous nous rendîes au Mire, el les jeunes IkJlec, Le Vol, etc.., Café du lonkin, tenu par M. et.me exprièreiil leur confiance dans le Messager, cjui eploient à leur ser- triophe des idées déocrati(iues vice Me Tilly, née Rolland. Celle-ci' vient de gagner, avec le nuéro 22820, le second lot, c est-a-dire une agnifique salle à anger Me Tilly, elle aussi est très heureuse. I-'aubaine { ui lui échoit lui est d'autant plus agréable qu'elle s'est ariée il y a deux ois à peine. «J'ai eu beaucoup de chance, nous réconloi taule journée. Tour a tour, MM. Rayond Laurent. P. Sion et Tréinl, députes, Mocaër, conseiller général, Docteur (ùiiezannes, Le ««««a HaiMliio (Ir l i c n o r a l c roikvsl Rre.st PARIS Rennes AtiHNCE DE MORLAIX conlie-t-elle, puiscjue le billet avec 29, Rue du Mur lequel j'ai gagné 'a été ollert». M. Tilly est eployé coe concierge au garage i'eugeot, rue de Cliaiifje, Monnaies oi- et ai>jcnt. Paie- Toutes o )érations Hancjue, Iknirsc Brest. Le lot que les deux jeunes ent coupons sans Irais. ariés ont gagné est, certes, bien Henscignciiients gratuits sur toutes Choisi et nous les en coplientons, j "cou.ta.es ollieiels slrietc- A l'issue du tirage de la tobola applicpiés de la quinzaine coerciale, un v à M. Jean (juillou.à Mlle Madeleine Guillou, aux petits-enfants du dél'unl et ;"i toute la faille l'expression de nos sincères condoléances. Socicté tics j-ctc.s Morlaisicnncs A.ssehlcc çcneralc L'Asseblée générale de la Société des Fêtes.Morlaisiennes aura lieu ercredi prochain (i juin, à 2(1 h..')0, à la airie, grande salle des Conférences. Ordre du jour : (>o )te-rendu oral et linancier. Henouvelleent de la Coini.ssion adinistrative. Iltant donnée l'iporlance de l'ordre du jour, les coinereanls ( ue les l'êtes intéressent se doivent ( 'assister ;i celle asseblée générale. Les hôteliers, les caleliers el tous les coerçants de l'alientation sont particulièreenl convotjués. Service édicsil Dianche.'! juin HKll, M. le docteur.martin, 2l", ( uai de Léon,.Morlaix. télè )hone 91, {Ie8b.;'i inuit. Le public est prié de s":tdresser iini( ueineiit au édecin ( ui veut bien assurer une peranence à son intention. l'hiftriiiacie <lc Service Dianche.'! juin, pharacie liarbier, rue d'aiguillon. ajjprendre le c()inuier<-e..s'adresser La l'nblieilc Moderne, Morlaix. l/orafie Succédant à un te )s radieux, un orage de courte durée, ais d'une violence inouïe, s'est abattu sur la région orlaisienne, ercredi, vers 19 heures..\près ( uel- ( ues éclairs précurseurs, le tonnerre s'est fait enlendre el une l)luie torrentielle eut vile l'ait de transforer lous b's ruisseaux en rapides fangeux, inondant les chaussées el plusieurs rues sur toute leur largeur et rendant, par endroits, la circulation assez dillicile. Les places de \'i;ires, l'iile- Souveslre c!t Thiers, en )arlieulier, présenté rent, au bout de ( uc ( ues inules, l'aspect de ( uarliers subergés. Da:is les environs de la ville, de violentes chutes de grêle ont eu lien et les autoobilisle.»;, craignant de ^()ir leurs \ilres se briser, ont été contraints de stopper en pleine roule, cependanl < ue. )ar endroits, (juanlité d'autres eureni leurs oleurs noyés par 1 incroyable abondance de )luie. \'ers lil l'orage s'était éloigné dans la direction de l'ouest. Chose curieuse, le baroètre n'a subi, jjendant loute h. journée, aucune variation a )précial)le el s'est ainlenu dans les en\irons de 7,38. aire de Sainl-Pierre-Quilbignon, président du Syndical déparletnental de la boucherie el de la charcuterie. M. (îrignoux dit (lu'à.morlaix, la taxe d'ahaltage unicipale est trop élevée..m..\ndrè, de son côté, eslie ([ue les consointnaleurs ont trop tendance,aujourd'hui, à acheter les orceaux de choix el à délaisser les bas orceaux, ce qui cause un certain iirèjudice aux bouchers. L'ordre du jour suivant esl alors adopté à l'unaniilé ; Ordre du jour : Les einbrejv du Syndicat des bouchers et charcutiers de l'arrondisseent de Morlaix, réunis.en asseblée générale extraordinaire, le dianche 27 ai, après avoir entendu l'exposé du )rési(lenl et en avoir discuté, considérant : 1 L'elTort de redresseent national accopli jiar le gouverneinenl ; 2" Les sacrifices iini)osés aux différentes catégories de citoyens sous fores de réductions de ti'aiteents ou de )ensions, décident : 1" De s'associer ;'i l'action tentée par le gouverneent dans ses efforts pour la vie oins chère ; 2 C.onslatanl ( ue les prix prali(iués an détail ont suivi le prix des l)estiaux sur les foires et archés, copte tenu de la lourde liscalité ( ui pèse sur la viande, denrée de ])reinière nécessité ; ;{" S'engagent à considérer les prix lixés coe barèe indicatif institués tous lesoispar les soins de l'adinislralion préfectorale, coe des prix axiu ; -1" Décident d'insliluer dans leurs agasins des rayons de viande ;'i bon arché. l'iinetteni le V(i'U : 1" Que le gouverneineiil étudie dans le plus bref délai un nouveau ode de liscalilè leur peretlant un ell'ort plus considérable pout la \ iatide inoins chère ; 2" Deandenl :'i leur clientèle de les aider dans la venli' des bas 3 P é f à F É t é!.. Supportez allè,i>renient les preières chaleurs! Dans la colleclion Spéciale fin "ÉTÉ" VOUS li'oiivei'fiz le vèleiiieiil Irois el soiiplo ijni vous piaii-a, an prix (jiie vous souliaitez ACTCKL» EMENT : Gr<'indc If.xposilion de Chcniisc.s «Laco.stc» (le... à «.50 et (le Panliilcn.s de Plaî>c, de 5ÎI à i Choi.v, Ciualiîé. l'ri.v \'c\-(iz nos Étalaûe.s CurificSt (Se ariafge Nous apprenons avec pl;iisir le prochain ariage de Mlle.\nnick Ascornel, lille (tu docteur.ascornel et de Me, avec M. André.Ménez, lieutenant d infanterie Coloniale. Nos eilleurs vcrux aux futurs époux el nos coplinienis à leurs failles. Kc.'re.VK'S (le l3i u^i(gue unicipale b'idèle ;j la tradition, la inusi( ue unicij)ale organise sa keresse annuell(\ (jui se déroulera dianche {irochain.'! juin, à )arlir (le 1 I heures, sous les balles. Au prograe : concerl, bal à grand orclieslie (les lotîtes dernières créations, avec le concours gracieux de Me et,m..uiduc, les aniateurs aussi endiablés ( ue rè )utés) ; jeux divers ; coptoirs variés De la joie, de la saine pour lous, [letils et grands. <ie la rexpokitin gaieté d'ktiuie.o* tjii violent Morlaix perwonnufie.leudi 21 ai, vers 2,'{ li. 1,"). la gendarerie de.morlaix était avisé par léléplione, )ar M. (.iielv. res- Uniraleurà la Harrière de Hrest, en Sàint-Martin-des- Chaps, cju'un de ses pensionnaires, le noé Yves Le (iolv, 27 ans, coissionnaire en bestiaux, causait du scandale. Les gendares (iuyoard el Cloilre se rendirent iédialeent sur les lieux et se saisirent de la ix'isonne de Le (îoll', ( ui, aupara\anl, avait été is en èlal d'arreslalion par.m. 'i'illy, garde elia )rtrc i'i.sl-,\iin tiii-des-cluiiiips, )our voies (le l'ait et rebellion. Le (ioiv s'ètail, en ell'el, débaltu au oent de son arreslalion et. s;iisissant.m. Tilly ;'i la ain, avait lentè de le blesser. I.e (iolv, conduit à la chabre de si'iretè de la gendarerie, a été r(>inis en liberté \endre(ii. 11 devra répondre de sa conduite devant le tribunal correctionnel. ISIe9i»9»C*e en tobant l'n coité a été constitué le sa- i Saedi après-idi, vers 1,") heuinedi 21) ai, en vue de l'organisa-jlapons.')9 ans, deeulion de la cinquièe ex )osi'tioii de I ' ".t-' (lidlac, passait. la Société d'éludés du Finisière (irand'rue, devant l'ieuble portant le tr 1.') (juand elle toba sur (kmle exjjosilion aura lieu du dianche 24 juin au dianche 1"' le trottoir, rendu glissant par des juillet. Les toiles seront accrochées eaux sales s'èchappant d'une goultière en auvais état. le saedi 2.'{. au plus lard, l'n droit d'accrochage de 10 fr. sera Blessée aux jabes, Me I.apous per(;u, sauf en ce (]ui concerne les ret'ul les soins (jue nécessitait son adhérents de la Socièlé. état ;'i la pharacie Cociuart, rue On peut co )ler dès aintenanl (liirnot. sur le concours d'un certain nobre de peintres de grande \ a leur et l'exposition de la S.IC. constituera une ani feslalion artisti(jue de preier ordre. M..1. le Marchant de Trigoii, secrétaire, 17, (juai (k Morlaix. fournira tous nienls nécessaires. MaBaHaaaRBaa : CliapeHerle : ije^n Casrell 10, Place Thiers Téléph. 2-95, IVIORLAIX Maison possédant le plus grand S choix de chapeaux et cascpiettes de arques à des piix déliant J S toute concurrence. S Chapeaux p' daes et tilletles S Réparations - Transfoi ations * ««.BDNaaana IVaiKwance Nous ap )rcnons (jne M. el.me 10. Paris viennent d'èire les heureux grands-parenis de la peti'.e l'](litb-.mai ie-l""rançoise. lille de M. le docteur Penther el de Me, née Marguerite Paris. Nos fèlicitalions el nos eilleurs orceaux. vonix pour la pelilc l",dilh-,m:trie- Les'nuMnbres du Syndicat de '''''»in;oise. rarrondisseinent de Morhiix sont décidés, par ailleurs, à coiienser l'ne fillette t»iekke leurs j)rix dans la êe esure en toliant ( ue seront diinués le prix de l'ocltoi el celui de la laxe d abattage unicipale. : Radio - eltîc : 25, Plncc Cornic, MORLAIX S Agence exclusive des jiosles de T. S. 1' DUCRETE I' el des a- Z l'liliclu» uis 7H0WS0N HCUSTCN J vous présente une ganiine co- plète (l'apparrils à des )i'ix inic- ressauts. C 2.'). -1.3«5 fis ; C,')() lis : C IT. 2.«oo fis : C 71) lis Ë 1 C W). :i.2«0 l'i-s ia ; C fis : : RilOIOl'HONO ii parlii' île fi s : 2 l.a.maison H)ss('(!e un atelier ' (le rcparalions et des tcehnieiens é )rouv(;s qui se tiennent à la dis- I posilion de toute personne dési- g rant faiie réparer ou transforer son ap )areil. a leudi, vers 17 heures, on a traiis- ])orlè à rhô )ilal de Morhiix, la petite Scouariiec, ;'igéede 11 ans, dont le père est jardinierchez.vlexandre. ( uai de Trèguier. I ji jouanl, la )au\re )elite a fait une chu le si inalenconlreuse,( irelle s'esl blessée sérieusenieni une jabe. 1^1 le a reini les soins de M. le docteur Martin. l...vre HlorlaiKienne Voici le prograe du concerl i ( ui sera donné le jeudi 7 juin, à,! 20 h. ;io, au kios( ue do la place'; Thiers: I. a) l'elile piece (op. ;i('>), S(.iii - J MAN.N ; b) Meu'l du liouriieois (ieii- : J lilhoiunw, Li i.i.i, )ar la,ieunc Lyre! de l'école Publii ue du Poan-15en ii- 2. Marche lies (lois Méilnillés, \ -L \ Dou.n ;.'{. Le Secrel t/c l.u I.oode ' l (Ouverture), A. Di.i.ni i.(^) ; I. Scènes \ î i)lll(i(jeoises (en 1 )arties), Pra-! j,ni:i. ';',"). I.e Cireiuidier du ('.ducase '; (Dèlilé), Cl. Mi:isri;iî. Arrêté unicipal Article ]..\ dater du ardi "29 ai, lout (lé )ôt d'ordures, gravois, vieille ferraille, est interdit )lace Dauesnil, sous )eine de reguier, ii-oiiinivention. 2. La circulation est interdite sur le chein de Toul-ar- Parc, depuis l'avenue de Kernéguès jusi]u'a la place Parc-au-Duc. Arl..S. - M. le coissaire de police et M. l'arcbitecle de la ville sont chargés, chacun en ce ( ui le concerne, de l'exécution du présent ai I été. l*a5t>maqe «le coureurs nioloeycliwtc»» Deux otocyclistes, prenant part à une épreuve organisée par la aison (înoeet Rhône. MM. Na;is et l'ernard. de Paris, (jui avaient i uillè Lille à inuit, sont jiassés (ians notre ville ercredi ;'i II h. Ils ont poursuivi ;inssitôl leur randonnée. Ils doivent elvectuer le tour de la l'rance ;'i oto. \ \'<k i >ik Torpédo Citroën arche. S'adresser ;i.m>".^anocim», notaire ;i Tau lé. «i RIALTO-CINEMA i : Deux grands fils : I i nïï i I S i cl : Ilefilinde PA! i Avi :c : : * j (ieorges.mai'loy-pierre AHNAC i Alice l'i.s.sor et l'rance DllI-LIA CINÉMA Vendredi 1' Dinianehe i SAINT-MARTIN. Siicvli 2 (Soirées) (iik'linée et soirée) j'hi nuitdenoi avec LIANK IIAID ACItALlIES I I î

3 » La Tribune n PRÊTS D'ARGENT dans un délai axiu de 20 jours Sérieuses garanties exigées Avances pour construire et extension Coerce Iniportanl f^roiipe linancier disposant de plusieurs illions copsenlirail prêts à parliculiers par tranche de 2ri.OOO 2')0.0()tl IV. Taux crinlérèl en lin d'opéralious RIEX A PAYER»'AVAIVCE Rebourseents en 5, 10, 15 ans axiu Bens. grat.. écrire à : M. Rouillard Lucien. />gent en banque 10, RUE LEPERDIT, RENNES. Téléph. : Conservez cette cffre, elle ne parait que chaque quinzaine Lu chronique de l'auto Mrae de la jalousie Saedi alin, vers 9 li. iio. alors Technique autoobile (jue la ri'o de l'aris présentait une eerlaii:e aniation en rai.son du arehé lieixloadaire, M. Félix Les preiers aulool)iiistes. Dupont, re >réseniant en auloopossédaient une voiture, étaient. I ' I V Ï Pouvait devant le feu.\ ( ui. il V a VUli-t c'in( ans. ' en êe teps que des eondncleurs, des écaniciens. Il le fal- hoe et une jeune lille ([ui pas-! garaijic Merer. apercevait un jeune lait : les pannes étaient courantes, isaient c i - de\ant Mlui M sur le. trottoir. i-- il fallait savoir les trouver et V re-! M. DuponI eut I iédier. Les autoobilistes de celte I '^"""f l'"' " époque héroùiue cherchaient i tfiil coup de p<.tn- dans le dos l)ien connaître leur achine, à ile la jeune lilie. (^ette dernière poussa un petit cri, recula el se s'expliciuer en détails le fonction- neent el le réglage de leur oleur, iiss-inlérelaientà la techni-i tandis.juc le jeune,iue et sen faisaient honneur, ^.ur i entalité était coparable à celle de nos odernes.san.s-lilistcs à qui i., 1.''. 'l"^' rien, dans la construction cnslriu-lion.rl,n d'un jk'j'ssait, M. Dupont S en ai)procha appareil et d'une la )e de 'l'.s.f 11 constata que son anteau avail aucun phénoène expliquant une "l'.^' coupure V^"'!'/."^" dans le dos. La jeune réission, la propagation et la ré-1 ception des ondes ne deeure étranger. Mais l'industrie de l'auto d'être frap])éc d'un coup de couteau. Le lêoin se lança à la poursuile a le grand défaut d'avoir peidu ratlrait de la nouveauté et de la lie l'agiesseur el le rejoignil place jeunesse. La plupart des aulooi)ilisles n'éprouvent aucune curio- des.lacobins, alors qu'il déclarait l'acte ([u'il venait de coettre à sité de connaitre coent fonc-i un agent de police. lionne un oteur et pour( uoi. On ' Le cou[)able. Isidore D..., 2Sans,! arbrier à Morlaix, fut aussilol forte que la 20 C\' l'.l2."). ais on n'a aucune envie île savoir pourquoi. i'n autoobiliste croit en savoir assez lors( ue la capacité de son esprit se hausse à reconnaitre un carburateur et une agnéto, un capot de ('itroën el un capot île Renault. Pourtant l'industrie de l'auto a soulevé des jiroblèes passionnants el c'est une véritable liislraction que de suivre dans ses détails l'évolution de l'auto, d'exainer les solutions nouvelles, fruit de rec herc h es se n sa l i 0 n n e 11 es e l ê e de controverses lechni(]ues qui ne le sont pas oins, (doine l'art, l'auto a ses écoles..si la plupart des problèes sont d'une technique très aride, nécessitant, pour les résoudre ou siinple- cois- isairede )olice, tandis i ue sa vic- I tie..mlle.maria Louédec, 11) ans, sans profession, deeurant rue de la l'ouasserie, à Morlaix, recevait des soins à la pharacie Queinnec, rue d'aiguillon, où l'on constata que sa blessure était heureusecnl sujjerlicielle el sans gravité. Interrogé par M. Del)ré, cois sairede police. Isidore D... reconnut les faits. «il y a environ 1.') ois, dil-il. je faisais la connaissance. à.morlaix, de Maria Louëdéc. (.Nos relations devinrent bientol plus inties el, pendant quatre ois, nous résolûes de vivre arilalcenl. Nous logeâes en garni, S, rue Arorique, a Uecouvrance, puis nous allâes nous installer durant iiuit jours à Sainllean-du Doii-l. il va une huilaiiic ent les coprendre, les connais- ', '..,, sances les plus diverses touchant. Ours a aîtresse e quitta a toutes les scienses, ^ du. oins.. les la suite (1 une discussion. recherches et les travaux des ingénieurs spécialisés sont-ils exj^osés vait se rendre ce alin au arché, «Sachant cjue a ailresse de- par des revues et des ( uolidiens je suis allé à sa rencontre, rue de dans des études de vulgarisation l'aris, el je lui ai deandé de reprendre la vie coune. accessibles à tous. Si les autoobilistes étaient dans «Llle refusa calégoriijueeni el leur ajorité des gens avertis di s ^ «f a i s pas peur choses de l'auto, certains conslruc-, J ^^ leurs se ontreraient sans doute plus soucieux d'ollrir à leur clien- : ^ '-'"f" PO'"'^' lie crédule, autre chose,,u i,ne /''"^"V" ' ''VV' quincaillerie sans no soils. S u? ndso^ capot de leur arque, les r é p a r a -,,, te.nsseontreraientplusconscien-\/' Passant sur la place l u cieux, les voilures dureraient plus, \ ; ; s o n doicile^ Mne '.Maria J-oui'dec aliira ( u avant Conîentfait-onunebra.^ure? jde la irapper, Isidore!)... l'aurait Nous voulions bien croire ( ue ce-^ enacée de ort si elle n'acceptait lui qui nous a posé la (i-uestion pas de revenir vivre avec lui. n'est pas un aateur. l)ien (jue cer- D... a été conduit saedi aprèstains de ces derniers )euvent réus-j idi devant le j)rocureur de la sir une lirasure aussi bien ( ue des! Uépubliiiue. prolessionnel-s. i Après avoir subi un inlerroga- Pour réussir une brasure, il faut toire, il a été inculpé de coups et (jue la tepérature de fusion de, lilessures el incarcéré à la aison l'alliage ej)lové, soil à )eine infé- i d'arrêt de Créach-.loly. rieure aux tepératures des )iècesi A no!er ([u'un aulre téoin de la à braser. 11 faut donc utiliser des scene du alin..m. Treneau, de alliages variables avec les étaux Plouguerneau, ( ui se trouvait dea réunir. Cela sullit à indiquer (jue vaut le garage.mérer, rue de Paris, la brasure est une opéralion assez I a conlirè la dê )Osilion de M. délicate qui érite beaucoup d'al-, Du )onl. ^ tention et du coup d'o il. ' Les alliages nécessaires se trou-, l'ne fillette renversée vent dans le coerce en baguel-1 par une auto teseten poudre, souvent élangés alin, vers II heures. M. deeurant à l.ocquénolé. surlaces à réunir, aéliorant ainsi suivait la rue d'aiguillon dans une la prise de la itrasure. l.e )rincipal auto ( u'il conduisait, venant de la est de disposer d'une source de rue e Paris. Il tenait bien sa chaleur convenai)l : feu de forge, lape à souder ou à braser. Il faut netloyerà fond les pièces à braser, droite et roulait à une allure odérée, (luaiid, alors ( u'il se Irouvail à hauteur de la aison Potin, une lillelle. la petite Madeleine lîéoul. à l'aide d'une lie ou d'un grattoir. puis les iobiliser solideent de inanière (,u'eiies ^'ons^'!'-i pi^^;;,;;;/;; ri;;:;^;^;,"- âgée de 10 ans, doiciliée chez ses au, s'élança venl pendant leur chaulle la posi-i lacobins pour Ira- on qu elles.loivent avoir une ois ; le travail terine. Le te iobili-j ^ ^ sation peut être réalisée ovens de forlune ( ui lut heurtée par l'aile ! droite de l'auto et projetée sur la serre-ioints, lils de 1er Les i.uiiussùi:. L'auloobilisle s'arrêta chaullee;. de bo''ate sont de soude. (1 abord ()uan(l. s a la u te p o u d r é e s a lihetle ( U! portait une blessure sans gravité )éralure est atleinle, ap )orler la au-dessus du genou gauche )ras jre sur le borate l'oni u ; ajouter u:i peu de borax, laiu is i ue la La petite lîèout fui reconduite à son doicile après avoir reçu les biasuie fond. Veillez a ce (jue la soins nécessaires à la )haracie source de ciialeur ne donne pas de Le Mailre. fuée, ce ( ui coproettrait la La police unicipale s'est livrée réussite de l'opération. à une enquête. KDOAUI), Cliaii/feiir d'inilo. AVIS Les notaires de Morlaix portent à la connaissance de leur clientèle que les études seront ferées les lundis, du 1 juin au 2i septebre. Hiillotiii riiiaii<m( 'I* Les archés ont besoin de souiller el spécialeent le arché de Paris désire ^ voir \'onir». Cela ne sigmiili(> nulleent ( ue la reprise soit terinée, ais qu'elle a besoin d'un palier de consolidation. Nossi-Hé est ileandé à fr. l'action el à 2,200 la part. I.e dividende sera porté de (io à!i0 francs el, de plus, il sera reboursé 12.") francs sur le caj)ilal. Le Marché des Uenles et la diinution du loyer de l'argent ( ui en est la corrélalion devait entrainer,!ogi(iueenl, une réduction des taux des Bons de la Défense ("/est ce ( ui vient de se )roduire. Le coité linancier de la (>aisse autonoe a décidé d'abaisser de 1,2"/, soil à ;i 1/2 " le taux d'intérêt des lions de la Défense. Il est probable ( ue celle décision sera [)rochaineent suivie d'une autre visant à réduire )arallèleenl le taux d'escopte de la l}an( ue de J'^rance..\insi s'allire davantage la jiolili- (jue d'argent.'i bon arché ( ui est 1 la base de l'o-uvre de déllation Hospitaliers Sauveteurs l^retons Asseblée Générale tenue au Havre, le 20 Mai 1974 si-:cri()\' Dr: ohlaix Liste des récopenses Le 2(j juin lik}:}, le jeune iniill étant tobé à l'eau, s'accrochait aux jabes de son caarade Priser, el tous deux allaient Périr, ( uan(l NL Mipj)olyle Le Quéré, arin-pêcheur à Penzé, se jeta tout habillé dans la rivière de Pen/éet I les sauva. Mrtiailli' iriionnciir cl diplôe Le lundi îï! juin liki;), Pierre.\pparnou, ',) ans, de lîoscolv, s'e.sl porté lout habillé au secours d'un aulre enl'anl ( ui, ayant perdu )ied. risquai! de se noyer sur la pi;ige de Koc'Krou et le sauva. Diplniuc (rhoijiu'iir. ii)si(/iic cl livre Le nrdi.') se )tebre l'.kî,'}, Me 'l'roadec, de Morlaix. a porié secours à la jeuiie "\'velle.scanit, entreprise par le gouverneent, tobée dans le.larlol : l'a soignée d'i'nion Nationale el ([ui devraill el''i>'iienée à ses parents trouver sa conliralion dans une" Dil'lni' ' ' (riioniiciir ''' cl ' - insiiiiic. nouvelle étape de hausse des Renies. Si celles-ci se sont un peu alourdies, c'est en raison de l'éission iporlanle du gouverneent général de r.mgérie dont les coiulilioiis ne pouvaieni anquer de provo( uer ( uel( ues arbitrages. (>e fui une occasion aussi, pour la spéculalion, de peser un peu sur les cours, bien que la gioupe se présente aintenant avec une position nelleenl allégée. vrai dire, les pressions sur ce grou )e onl été dictées beaucoup plus par les événeents de j)olilique extérieure..\u deeuranl, les conjonctures restent Irês favorables pour une nouvelle rei)rise dont l'échéance, pour être peut-être relardée par l'éission en cours, n'en est pas oins certaine. C/esl, réiiélons le, la conséquence logi( ue d'une polili( ue d'argent à bon arché. Ranque Générale de rouc.st Etat-Civil de Morlaix (lu 21 au P>1 Mai i'.i:^) NAISS.VNCES Sione Moal. quartier du Chàleau, (ille de.iosej)h et de Marie Pauga. Marie Barbier, quartier du Château, fille de Joseph el de Cécile Bédel. Marguerite Dagorn, (juartier du Cliàteau, fille de.lean el de l-'rancine Morvan..lean Daniellou, 20. rue Ange-de- ("luernisac, lils de Ollivier el de Perrine San( uer. Marcel Corrèze, ().'<. rue de Brest, (ils de Marcel el de Jeanne (îuillou. Marie Le Houx. N'al-Pinard, lille de '\'ves et de.marie Boga. Pl'HI.U:.\TU)NS l-'rançois l-'loch. coin))table à Labéz'elk c et Marguerite Moal, s.p., loi), rue (îai)etta..loseph Bo])ars, caporal-chef au 2 à Brest et.\ngèle Laurent, eployée de coerce, au (héou. Lile LaurenI, sergent au 2' H.L(^., à Brest el.marie Mérour, s.p., à Brest..MAiUA(ii;s (iuillaue ^'annou, jardinier el Olga Culot lille de salle. Jean (>adi()u, e )loyé de (cheins de fer el Marie Paul, s.p,.lean Barbier. ano'uvre el Marguerite Le Ciac, (ioesli( ue. DKCKS Pierre l-'ichou, veuf de (ieneviève Mousler,.')(> ans.') ois, ( uarlier du (Château Marie Le I''aou, veuf de Corentin Slèphan,.)2 ans (i ois, ( uarlier du (Château. l'rancis Kerné, 12 ans 1 ois, quartier du Château, Marie Lanneau, épouse de (iustave (>)ltar(l,." ans 1 ois, ( uartier du Château..leaii (Iuillou. é )oux de.marie Queinnec, ().S ans, '.), ( uai de Léon. - Alphonse Balard, époux de Marie Le (ioascogne, 2il ans -1 ois. 12, rue du i'orseiir. Marie Lannou, épouse de Ciuillaue Le Lann,.V2 ans 11 ois, ( uarlier du Château. - 1-'rancis llerry, époux de.leaie Ollivier, (12 ans S ois, i uartier du (Jiàleau. Anne Le Coz, (SI ans 1 ois, quartier du CJiàleaii. -.Iac(]ues Sion, ô ans 7 ois, ( uarlier du (Château. REMERCIEMENTS MORLAIX - PLEYBER-CHUIST.Me.I.-M. C.UII.LOIJ ; le Docteur et Me MARTIN ; M. et Me P. PlLkKH ; M..lean (UilLLOl! : Mlle Madeleine (illl.i.ol! ; Me et M. Louis yukin.nhc ; Me et M. Auguste yi;i-:inm:c : Me et M. Alain (Jl'I'INNl'C ; M. el Me (îustave CHI'MINAM, el toute la laille, très Aux eoukeritk toutliès (les nobreuses arques de Le conseil de revision pour le 2" s\nipalhie ie(,ues dans leur deuil. contingent de la classe VSM el le l- I t'-xpi ient, aux personnes qui les leur contingent de la classe ]< se lien-teoisnees, leur sentient de dra à la airie de Morlaix le lundi reconnaissance, i juin prochain, h..'h). I MHBHHHHHHIHM^^^MMI i Le 11 février l'.kll, M. Crignou, archand-boucher, rue (^ariiot, à Morlaix, s'est bardient jeté à la tête d'un cheval eballé, ( u'un enfant êlail chargé de garder, attelé à une voilure de fere, el ( u'il n'avait pu aitriser. Diplôe lihonueiir el insiyiic Le jeudi 7 décebre Ulii'î, au nord de Hocli Lédan, la bartjue de.m. Corbolliou. ayant chaviré el celui-ci étant en danger,.m. h'rançois (luillesser, du Diben, en Plougasnou, en bar( ue lui-êe, se porta viveeni au secours de l'autre pécheur, le recueillit et le soigna.. Diplôe el inskjnc d'honneur. O O Û Le.') août, près de la Boche Bouge (Loc(iuirec),.Mlle.leanne Bivoalen, couturière, avenue de Kernéguès, à.morlaix, s'est jetée à la er pour aller sauver un enfant, le petit.lac ( ues 'l'roccard, entouré par la er, el qui avait déjà de l'eau jusqu'au cou. Deuxièe sauvetage. Mcddille d'honneur el diplôe Le jeune Bouder, 17 ans, archand de journaux, se il à l'eau le 10 juillet P,).'}.'< et raena un bai- gneur, Jean Périou. qui, )ris de congestion, allait couler ans la rivière, au lieu dit <( La Belle I-au», à.morlaix. 'Diplôe d'itonnenr, insigne el linre Kn août à Cliàteauneuf-du- Faou, Baoul Boger. M ans, élève de l'école priaire supérieure de garçons de Morlaix. avec l'ile Filaent, s'est porté ellicaceenl au secours du petit.lean l.ucas, ô ans et dei, tobé dans le canal de Nanles à Brest Diplôe d'honneur el linre lùi août lllii.'i, à Chàteauneuf-dul';»oii. l'huile l-"ilaenl. 17 ans, avec Baoul Boger, a contribué au sauvetage du petit.lean Lucas, f) ans et (lei. tobé dans le canal de Nantes à Brest. Diplôe d'honneur, iinij/ne el livre. \ tous, nos )lus chaleureuses félicitations. V/ W W M. GI.AStR, +4, Boul. Siîbastcpol - Paris l'ûiirni.ssciir ilcs AssMiaiicos.Siciiilos des.socicliis ilo Sccoiii's.^tuljiols (lo.s Griiiulcs Aclinlnistriiliciis JE,Sviiî» C'esi 1.rrri.TiiatiMl Je loiuff u*.- ikmsoiiiip-i aiu'imkî? rte lici ii. (711 il i>orii5 II' nouvel.'piiarcil sans rcmsurt il. A ^ C D '<' "iiki Sp<'Clall.Mi.> il', ULAOCtf PARIS. 44. BJ SÉRASTOPOl lîii a.liiiiiiiiii l'.i'i iiotmiii.t aiipurt'ils, ilo l'ac.iluii hiciil»l-.anie ^e n^'ullsp NJIIN nêne.saii-notillrunco»» Ml lnlcrr«ipllo>i(leiravall. les hitntrn les plus v»luinln«u.'«eb ft!<><: plus relieu^n (llliiii(>ni it.jtaiilaiii^inciit rte volnnie et iltsparalsseni peu à pou coplfc- Icvnt. Oevant (i(! tolb n^siilif" îrnraniisloiijniirspai écrit, lou<! cru7. alli-liits rteiutiiii- il.11 VI-ni ST dres.scrsans retard M CLASr.R I NI l.'iii f"! Kr.-iUllI.'liii' l'essai di' st'-< 'l'i'ian.i * t h MOKLAIX, '.I.liiin, liimel du Coiiîoi ce. SAINT l'ol Dl'i I,i;()N, ardi 12 juin, Ik'iIoI (le friinco. I.ANIMVISIAI, i:^ juin, lumel du Léon. CHUIES MATRICE et tcu.s Organc-s, Varices, Crthopcdic «I.A.SKU, 44, «d.scbaslcpol - PAIM.S l'itudc de M' SANQf Tînilé, ',K, iiolain A VENDRE A L'AMIASLE en A Pen-Allan CARAMEC (sur le versant de la rade de Morhiix) Tivs Iksiii L\»iTaiii il Irai il' boisé, contenant I.',)!;! luèlres cai rcs,.louissance iniédiate. Pour renseigneents,.s'adresser au notaire. Grandes fêtes bretonnes à Roscofr i\oiis donnons ci-a/)rès, à titre docuentaire, un aperç u du procirannuc des fêtes qui agréenteront ta tenue du Collège BardUiue : Saedi 2S Juillet Malin, arrivée el installations des congressistes. A n heures, audition des binious bobardes et corneuses, kéception des congressistes et des délégués des I sociét(?s bretonnes par la unicipa )ité. Présentation. Vin d'honneur. A 14 heures, réception des délégués olliciels des sociétés nationales d'h cosse. Réception de la petite reine d'hcosse Marie Stuart et de sa cour, par le coité des lêtes. Cortège historique ;i travers les rues, précédé des corneuses el fanfares Arrêts aux carrefours, devant les vestiges de la chapelle Marie Stuart et devant la aison 011 se réfugia Charles Stuai l en i7 Ki. Inspection des enseignes coerciales de langue bretonne. Un jury spécial attribuera les récopenses. dont 3oo francs olterls par M. Kugène d'herbais. druide Marcheg Arvor, Moscovite. A 20 heures, séance solennelle d'ouverture du festival. Allocution du président. M,.lallrennou (Taldir). Poèe breton de.m. Hugène d'herbais : Saliul Du Rosko. Conférence sur l'histoire de Roscotl par l.éon Le Berre (Ab Alor), Concert de gala donné par les bardes et bardesses les plus réputés. Allocution d'un délégué des Higlilands d'hcosse. Récital de poésies. Déonstration de danses de Cornouaille, par les Korollerien Breizl/.el. Dianche 2g Juillet Matinée libre Une esse sera dite en l'église paroissiale de Roscoll, à l'intention des bardes défunis. A 11 heures, gerbe et poèe au onuent aux orts. A h..3o, sur la place du \'il, ouverture des barrières du grand théâtre de verdure, où, sur une scène en plein air, lace à la er, évolueront : les Korollerien Brei/.-1/el ; les Denved Gwen ou.moutons blancs de Pontivy; les Korollerien Kerné-l'hel, de la Montagne ; oîi l'on entendra les binious et bobardes de Carliaix : le Cercle des étudiants bretons de Paris ; le barde Kile Cuell, Me et leur nièce Marie-Jeanne Cabioch : les bardes léonards Kergrist. Moal et Stéphan ; les solistes.lean Suscinio des concerts Laoureux), de \ itré ; le baryton Stanislas Milbeau (des concerts parisiens), de Carnoët ; les bardesses Ltriza Fléouter, Ga'it Le Bihan- Pennanros, Suzig Morvan, Eiwanez Galbrunn..Marie de Kerouel, Marcelle Tanguy, Anny Le Bourhis. Les druides Charles Rolland et Ellla Kœt Skau : Le cornenuisier Gweltas ; La pianiste Yvette Brelet, du Cercle celtique de Nantes. A la lin de la représentation, concours de costues bretons de fee du pays de Léon, doté d'objets d'art par le barde d'honneur, arquis de La Houssaye L'n jury spécial, présidé par.mes Séité et Cabioch, distribuera les récopenses. Pendant le théâtre de verdure, buffet breton (galettes, crêpes, cidre). Entrées : chaises. lo fr. ; bancs,."i fr. ; debout, fr. La usique unicipale de Morlaix se fera entendre. De is à 19 heures : gavottes et jabadaos sur les allées des Taaris. A 20 h. ^o. grand bal avec orchestre. Les habitants sont priés de décorer et d'illuiner aisons et rues. Lundi 70 Juillet A S heures, vestiaire des bardes à la salle de la airie. Cortège : départ de la place de l'kglise par les ( uais, ju^qu'à Sainte- Barbe. Céréonies du Gorsedd Digor, terinées par les investitures de l'année. A n apéritif d'honneur ollert aux bardes et aux invités par le coité des fêtes, à riu')tel Bellevue. A i.î h..lo. ouverture des barrières de l'arène.les grandes luttes bretonnes. Entr'actes : petite saynète bretonne, interprétée par les paolred Santec : ( Sac'li ar Maricluil» : clurur du (Hiant de arche des lutteurs, du docteur Le Ca : «Kun Gerzet ar Ciourenncricu». A h..10, han( uel otliciel de cl() lure du congrès. Mardi 31 fuillet De S heures à 10 heures, à la salle de la airie, concours scolaires de langue bretonne, A 11 heures, excursion (en bateau) à l'ile de Balz. «INIIIIIIMA'IMRIRI»» Office unicipal lie placeent firatnit Offres d'eploi : Pour Morlaix el les environs : une cuisinière, une blanchisseuse, des lilles de salle pour la saison, une bonneà tout faire de loà.')0ans. Pour Plouanac'b : deux aides de cuisine, un )longeur. Deandes d'eniulois : Des enioyéesde bureau slénosdaclylos, des'ai'uvres, ébénistes. La Tribune Sportive GAS DE MORLAIX Coité -MM. les ebres du Coité sont convo( ués ardi.") juin, au siège social, rue Général LeFlô, à20h,li0, A l'ordre du jour : Copte-rendu linancier delà saison de foot-ball.'i désignation d'un délégué à la /éunion de la L.O.F. A,,à Bennes, le 10 juin, a près étude des nouveaux projets de cha )ionnats de la Ligue de l'ouest. Présence indispensabbj de tous. Athlétise f.es séances d'entraineent conlinueronl aux heures habituelles les ardi et jeudi, à 20 heures, et le dianche, "à 9h..'{(). Préparation de la section aux cbaj)ionnats do Bretagne, à J^rest, le 10 juin, et prè- )aralion de tous : seniors, juniors el inies, an Challenge de )arleental des patros, à Lesneven, le 17 juin. S )écialeent convoijués : l-'raïk-ois T'udal, Couchouron, Desprel/, (iuézennec Yves, 'Jeuzit.Jean Courses de - HIPPISME Carhaix La deuxièe journée des Courses jura lieu dianche )rochain.."5 juin. Voici la liste i es chevaux restant engagés après les forfaits : l'ri.r Ernesl Bernard. ICpreuvi; interrégionale de la Société Sjjortive d'i^ncourageent el de la Société des (Bourses, Izara 111, Iras-lu II,.lobic, lup T onton Plouz, Irène Isla, Inalendue IL Pri.v Henri Marchais. Au trot onté. Cas, Ilaarle, Holocauste. Herès. Gigolo M, Hagar 1), éna VI, Gazza-Ladra, (ieorgina H, janyède IL Sleej)lc-Chase-Cros.s-Countrii inct régional de la Sociélé Sporlive d'iùtcuuraç/cenl et de la Sociélé des Courses. Fclatde Bire, Heure d'flé 111, Chai)eau Bond, Ilastediion, la-pe-nan Du Ciuesclin H, Courant d'.\ir, Héraut H, Inalendue II, Haraia, In Salah, Dia anl Bose IH, Pri.v (h' la ville de Carhaix (plaie),.losué III, Joyeuse Vl, Lapous- (ilaz, Jobic, Jasin V, Jour d'fspoir III, Joue-les-Atouts, Jupiter VII Pri.v de la Tour d'auvergne cl dn Crédit Xanlais. Au trot onté ou attelé, Flavacourt, (ias. Haarle, Ksdorée, Boby H. Holocaiislo, Gigolo M. (iénéra'l Orange, Feu Follet V, Hagar 1), KteocleC, Fontainebleau, Florence 111, DycU, Huelgoat, Bonne Idée, (iagale, l'^picure II, Fresnay. Sleeple-Chase de la Sociélé ilu dei-sang. Heure d'iclé 111. Cha- )eau Bond, Hasted-Bion, Du Guesglin II, Courant d'air, Gange, Haraia, (ilaneuse 111, Fervach. Les courses de Morlaix Ainsi ([ue nous l'avons déjà annoncé, la Société des C.ourses organise cette année trois réunions sur l'hippodroe de Langolvas ; ces réunions auront lieu le dianche 24 juin, le lundi 2') juin, el le dianche 1() seplel)re. Le total des prix à distribuer atteint le chilvre de l.'iô.ouo fr., non copris le ontant des entrées. Voici un résué du prograe des trois journées, dlanchf 21 jfin Epreuve inlerrégionale de la Sociélé des Courses. l'iate :iu galop (1' série) 1 2'', et région. 7..')00 francs. Pri.v de l.ongchap. Plaie au galo]). Hors série. Pi.OOO francs. l'ri.v de la Ville de Morlai.c. -- Sleeple-Cba.se (1 francs. Pri.v de la Sociélé du Dei-sauif..Vu trot attelé. ' francs. Pri.v du Con.seil général el du Crédil S'anlais. Sleeple-Chase. C-hevaux de selle, francs, ll'ndi 2.-) jl'in Pri.v général Le lion. Plate au galop,.\ réclaer. 7,000 francs, Pri.v du Pradigou. Plate au galop. Ilan(iicap,'î).()00 francs. SIccpIc-Chase de la Société thi Dcnii-sang. (Chevaux de selle. Poids oyen el lourd. S.(100 francs. l'ri.v de Pentiélé..\u trot onté ou allelé francs. Pri.v du Val-Rouqe. Steeple- Chase. lo.ooo franc-;", dianciil: k; skptkbbl: Pri.v de I.angolvas. Au trot onté, '.1,000 francs. Pri.v de lirelagne. ~ Plate au g!ilop. Chevaux de selle. Interrégional,."),.'ifl() francs. Pri.v de Chanlillii. Plateau ga- 'oj), 7.001) franc.s, Pri.v de Vincenncs. Au Irol attelé. U.OOO francs. Pri.v des Daes. Steeple-Chase à réclaer francs. A Dans le but d'attirer à nos réunions de courses le plus de chevaux possible cl pour répondre aux desiderata des propriétaires et en- Iraineurs, la Société des Courses a décidé de prendre à sa charge les à

4 I^a Tribune r c n i -- ïiktî - ï.-'v, J. V'- ^ "iiyf. j-*-1 - >, JPcinturcs en tous Genres - Décars 2 S Anciennes JMtMixons FLOCH A NiCOLAS frères S, Hue Gabetta 3IOMtt.AiX Télép. O. S 1»» 0 Droguerie : firanri Vht^ix rfe JF'tipiers JPeints ^ l-\vchisinlf tiour lu rnjiou des //I(I;Ï/(/C,< Duas, Peters Lacroix l'ouot, Landy, Saliibra Travaux d'eglises cl d'apparteents 2 Succursale à Carantei- Spécitiliiéfs tic St-Gobaln ' Téléphone 0.27 (Uaccs cl l'arc-lîrisr pour Aiilos ««I^AAABBAAMANAAIBBAAHAIA» frais (le location ties boxes iiécos-î Aussi. Ii'iions-nous :'i adresser saircs aux chevaux ( ui )reiuiroii! nos plus sincères IV-licilalions aux part aux éj)reuves. allileles. enj^lohanl vaiik ueurs et Les couiinerçaius et particuliers ; vaiiicus, les uns pour leurs vicloiqui disposent de boxes sont donc ' res, les autres pour leur couraj;e instaent )riés de l'aire connai-1 sans oublier le jurv ( ui. lui aussi, tre à M. du Penboat secrétaire tré- s'est dépensé sans copter, sorier de la Société, place 'l'hiers n ;{()(téi. le nobre de boxes, dont ils ilis )osenl et le prix île lo-; lîcmiltat.s tcchniquc.s : cation par boxe, avec paille et par ^^^^ _ j,,..,.,,!(;'. classési : 1. Auré"an (('. 1)..M.) ; Aussitôt après les courses es ^ uon ; l>onl-aven) : ;!. (ielvrov )ersonncs ijui auront lourni i / c, ) j joxes )ourront présenter leur note pour réyieent chez le secrétaire-. - ^erie : 1. l-.ssioux (A.S.H.): trésorier en indiquant le nobre kerloch (Ponl-Aven) ; CueH de chevaux lof^és et le no de leurs U'--^-''^ )- projiriéfaires ou entraineurs. l'^inai i;. 1. ex-;e( uo : Auréf^an (C. D.M.) et l'issioux (^A.S.H.), en Les ccurscs de Sainl-Pol 10" 1,.') ; Iluon (Pont-Aven) ; 1. CuelV il-:.s.k.) ;.Y GelTroy (d.d.m.) ; (). Keiloch ( l'ont-.vven). i{i:sui;i'ars Prix liu (jouihtnccnl de la liépnbli(]ne, de la Sociélé d'eiicoiiraiieinent pour anu'tioraiwn du chenal fi ançais et de la Société sportioe d'encoiira- (fcent. (4..')0() francs. 2.(>()() ètres, "Tpartants)..Mutuel unilié : 12, t"),r)0 et (),.')() : 1. Ena VI. (aiivarch )ropriétaire : 2. Ipeconrl, Kerhervé- >ouet ; Indigène. Prix de la Ville de Saint-Pol-i!eiJon (4.NU0 IVancs, ;5.r)0().. partan/s. Mutuel unilié : 11.')() : 1. Dainoiselle IV. A. Riclier, (>astelhin ;'2. Cliapctni-Iiond, (1 Cotteur, (îesson ; 15. Bienvenu II,,Douen, Flint. Prix du départeent (4.300 l'r. ii.ooo. 10 partants). -.Muluel unilié : S.ÔO, (5, 2,.'), 7, : 1. Florence 2. Fontainebleau, Guivarch propriétaire ; (iazza-lmdra,.losselin-.iobin. Prix de la Sociélé des ateeple choses de France SiO fr. ;{..)00. 3 partants) Mutuel unilié : 10 IV. : 1. ihiratch, J. II Capbell, (îesson : 2. Pouet-Pouet, L. l^atti l^ )ancelier ; ;{. Kerduel, cote de Carcaradec. Prix de Lanverec (1.100 Ir., partants). Mutuel unilié : ]0..')0, 5>, Kl. : 1. Collier ronije, Col- Jiou, propriétaire : 2. Bonne Idée, Charles, proj)riétaire : Inconnu, Le Mer, j)ropriétaire. Les ATHLETISME Chapionnats du Finistère d'athiclisc à Morlaix ("est grand dounnage ( u'il y ail eu si peu de onde a assister à celle belle réunion pendant hujuelle les athièles, se donnant de tout c<ï-ur, nous lirent assister ;i de belles luttes. I.es perforances réalisées sont satisfaisanles, cai- il faut noler (jue si le tein,.s éh.it splen- Les deux jeunes, Auréf^an et Ilssioux, se iletachent dès le départ pour teriner enseble, pendant (jue la lutte est pres( ue aussi Farouche entre Iluon et (iuelv. I(H) luflrcs scniorx. 1 '' série i2 classés): 1. (iuvader (S.L.), en M" 4.") ; 2. Shock (.A.S.H.).!2' série :!. Pérennou i.v.s.h.), en l'j" 1.") ; 2. Houvier (A.S.H.). série : 1. Tanguy (Ci.!) M.), en 12 ".') : 2. Iluon (Pont Aven). l-"in\i.i. : 1. Tanguy ((l.dm.), en Finale des 'iliu nwlres seniors Shock (A.S.B.), en.vi" 4 :> ; 2. P>ellec (Cl. 1). M.i : ;i. Benjaiji ((i.n.m.) ; 4. l)isès(k.s.k.). " Shock, en courant son 401) è- Ires en.vi" 4 ô, a réalisé un très bon lc )s ( ui (loi! le classer pari les spécialistes de cette course on Mrelagne. Celle course l'ut la plus palpitante de ton les les é]irfuvcs. Dès le début, les concurrents s'égrènent et c'est (iestin (pii ène, suivi de,ié/.é(juel, Berlhou el Phélepp. Puis (iestin baisse de pied el Berlhou, le chapion de l'an dernier, atleint il'uii alencontreux point de coté, lioil abandonner.,ié/.é(iuel el Phélepp s'en vonl seuls de concert )endanl (pie divers concurrents doublés doivent sortir. Jé/é- ( uel ène loujours, ais à deux tours de la lin, il seble fatigué el ralentit son allure ; c'est là (pie Phélepp coel une (>rreur de lacli(iue (pii lui a coûté la victoire; il avait, à ce inoenl-là, la possibilité de partir el il esl certain (pie, frais coe il l'élail, Jézé(iuel ne l'eut i)as rejoint ; ais non, il reste derrière son adversaire (pii a le te )s de se reposer, et dans la ligne droite, (piand le «vert lesnevien» veul atbuiuer, le «bleu répond bien et réussit à enlever le litie de cha])ion d'un rien. Saut en lo/uenr seniors. 1. l':rnesl Picart "(S.L.),.3. 7,S ; 2. ('orre (C.D.M.), ; 'A. Né/.et (A.S.B,), 3. 2(; ; 4. Cara(iec(Lcsncven), 4. 7S. Le breslois Mauviel jiarl à loule allure, ais s'ellondreà i-cour.se, cependant (pie Tanguy prend la téle pour teriner devant Le Lay (pii a fail une belle course. Finale (h's 1.'>0(1 ntelres seniors. 1. Troniou (A.S.B.), en l';i2" ; 2. Péron (Cl. I). M.); Cuen-llaro (Pont-Aven) ; I. Iverdraon (A.S.Ii.); I''iu<dc (h's SOI) nictrcs Troniou 3. Le Troc(pier (A.S.B.). (.\.S.I}.), en 2".'" 1;.") ;,2. Péron Dès le début, Troniou part en ((i.i) M.) ; ;;. Le Bot (A.S.B.) ; 4. lèle, ais (uien-llaro el Pérou Créach (S.L.). Le vainqueur a n»ené toute la déniarreni et énenl de 20 ètres à 200 ètres de la lin ; Péron l'ait course et gagné aiséent, >en(lanl une erreur en restant derrière (pie Péron obtenail aussi facileent (luen flaro au lieu de partir alors sa place de second. (pi'il en avait la possibilité el c'est l 'incdc des,').(h)ii nuires. 1..lé/éainsi ( ue Troniou les reonte (luel (.\.S. B.), en KV r)0" 2/3 ; 2. ])()ur battre Pérou dans les derniers I'hélepp(i.esne\cn). à une j)v)ilrine ; vingl ètres. (îeslin (A.S.B.)..Saut à la perche, seniors. I. \'elly ; 2. Kerrien, 2. ('.2; ;> Slèpbany, (tous trois de IT-loile Sportive du Kreïsker). Saut a la perche juniors. 1-.Meseur (lo.s.k.), ; 2. ex- ;e(pio. Mer (Lesneven) el Kerloch (Pont-Aven), 2..'12 ; I. Abautrel (Lesneven) ; 3. Beiiault (Ci.D.M.). Saut en hauteur juniors. 1. Ilerrou (A.S.B.), 1. (io ; 2. exa'(pio : Iluon (Ponl-Aven) el Meseur ivs K.) et Mauviel (.\.S.B.). 1..=^3. Behiis '/ X KHI étrés. 1. (iàs de Moi laix, en 47" 2,3 (Tanguy, Bellec, C,orre, Anrégan) ; 2..Association Sportive Brestoise ( Bonvier, Duas, Mer. Shock) : Ponl- Aven ((îuyon, Kerloch, liarlhéléy, linon). (Bourse intéressante el enée de bout en bout par les Ci;'is, cependant (pie r.\.s.b. dislance netteent Ponl-Aven. Relais ohipiquc WO.'SOI) '.^IID 1( Cas de.morlaix. en 2' IN" (Benjain. Corre, Bellec, Anrégan) ; 2..\ S. Brestoise (Shock, Mer, Duas, Bouvier); 'A. Slade Losnevien (Phélepp, Caradec, Mésauslourn, Abautrel). Cette course fut Irès iielle. Shock l-ale dr.s ^2011 étrés seors - n>lres, 1 Shock (.A S.B.), en 2-1 ; 2. «petit Corre en très languy ( i 1).M.) ;.5. (.aradec (Les-»,.ande fore, a surpris très agréaneveni nevenj :; 4. Iluon non rpnnl-avf'nl (Ponl-Aven) Ui i)leent les i... Morlaisiens en "... coblant le retard et en passant le Shock, Irès en verve, gagne celle 11" I 3; 2. Shock (A.S.B.), à 73cen- épreuve ; il a eu l'avantage de par léoin à son co-é( uipier avec ciiui lietres ; ;{ (iuyader (.S L.) ; 4. lira la corde, tandis que Tanguy i,p.,ceiie avance a élé Bouvier {A. S. B. ; 3. Perennou (A.S.B.) : I). Iluon (Pont-Aveni. 4'anguy s'adjuge indiscutableent la victoire. Lancer du poids Daniélou ; ) i l'aiiga (Lesneven): (i:.s.k.). 10. ()(! : 2. Picart Kinile Pas(puer (A.S. B. (S.L.) '.). lis ; ;;. Péron (S.L.), 9. M ; 4. Mer (A.S B.), i). (il ; 3. Bouvier i A. S. B.), 1). 31 ; (>. Madec (A.S.B.) ; 7. Carriou (P.-A.), ; S. Carolï il-^s.k.); 9. Maitiii (Lesneven ;i 10. Kerrien (ivs.k.). Lancer du dis(jue. 1. Picarl Kniile (S.L ), el : en jet supplétnlairc hors cha- pionnal ; 2. Daniélou (IC. S. K.). ' 2(i, S9 ; i!..mer (A.S.B.), 2l)ni.20;! 4. Bouvier (A. S. B.), ; ' 3. Carriou (P.-A.), ; () \ elly (1-:.S.K.), ; 7. Péron (S.L.); S..Martin (Lesneven); 9. Iac(pu's Lesneven ; 10. Caroll'i (L.S.K.) : II. Madec (A.S.B ). Saut c/i h<nitenr seniors. 1. l'j - nest Picarl (S.L.), ; 2. Velly (L.S.K ) el l-:ilc Picarl (S.L.), e.x- ;i'(juo, 1. ()7 ; I. Ilerrou (A.S.B.), 1. ()2 ; 3. Benjain ((i.i).m.),. 37. Le saut d l-.rnesl Picart esl une des bonnes perforances de la j(jurnée, (r.uilanl plus (pi il le lit a\i'c aisaiici'. I'in(de des.'ihu étrés juniors. -- \uié;;an (1.D..M.), en 40"; 2.;u;vol(.\.S.l}.): dide, par contre, hi )isle,.sans cire ^,Y ^ ^ il. Cuell (ll.s.k.) ;."). Quéravec auvaise, n'é'iail n elail ce[)en(i ce[)en(l-inl i»:is (A.S.l Manach,{'..!)..M.) tr('s j)roj)ice aux teps records. (>elte réunion (l'atlilé'lise, avec Très jolie course du vain( ueur la participation de l'a..s. Brestoise, (, parti à rc.xiérieur, sut leon-' du Stade Léonard, de l'i-^toile Sportive du Kre'isker, du Slade Lesiie- teriner nellecnt preier ; (^uelv, 1er aiséent ses concurrents pour vien, de la l'ieur (r.\jonc de Ponl- ( ui a\ail ené jusiju'aux derniers' Aven el des Ciàs de.morlai.v, s'est, 11)0 luclres, s'esi lait reonter jiar en soe, déroulée au ieux (Iravol (jui, lui-êe, s'est l'ait j)our le <^rand jilaisir des sjteclateursvenu Ires l'orl. ((jiller au poteau par ("lelvrov, re- î P-i''^' position a 1 exterieur. i aintenue, puis augentée au Finale des l.wu ètres juniors. 1 dernier relai. du fait d'un auvais 1. Tanguv (IC.S.K.), en.t ;i,s " Le Lay (C.D.M.);.'{. l':ssioux passage de téoin de l'a.s. Brestoise. Les (Iàs ont netteent gagné, el ils ont prouvé (pi'ils avaient de très bonnes réserves. Iprierie - Mécanographie Louis BOCLE 9 ' Rue Gabetta. MORLAIX - Téléphone 2.39 Tous travaux O O O O O Coerciaux Adinistratifs et d'edition Agence Régionale des Machines ii Ecrire.\telicr REMINGTON " de réparations pour Machines à Ecrire toutes arques NOMBRtUSHS CCCASIONS Ueinâton, Underwocd, Conlin, Rcyal, Oliver Conditions spéciales pour enlreti(mi périodique à doicile des Machines à écrire I-OIJRNI'IURES POUR TOUTES MACHINES Pièces détachées. Rubans, Carbones, Stencils, Encres, Housses, Feutres, etc. \'EMK El REPARATIONS DE S'IYLOS \'oir notre Ma^a.sin d'exposition BODB Ktudes (le M'" COlJlîSIN cl MAXACIl, avoués à Morlaix..M'- HAGOT et de LAtT-Oltl-ST, notaires à Morlai,x. Vente. par suite de coiivcrsicn de.saisie l'>n r(';lu(ic el p;ir le inisu-re de.m' ls.\{i()t, notaire ;'i Morlaix. Le Mardi 12 Juin à 14 heures En la Coune de Plou^on ven Preier Lot Au Village de MiHricl-Iîras Un IVïil Corps eoniprenatil : 1 ljn(î Maison dite G Ty-Hian» 2- t.'ne soue à porcs. :> Uni- Cicclie. I' Le bout idi d'un édiliee en ruines. '> La oitié (bout idi) d'un édiliee sous ardoises. (> Moitié indivise dans puils et au^e. 7- lin fointil..s- lùnplaeeent à iuinier et à bois à feu. Mise à prix : j.coo francs Mêe Coune et êe Village l)eijxi(ie Lot l IKÎ picmh» (h' (('ITC la!)(>iirahl(' «Porc-nr-Bis», d'une contenance de SI ares S'.i eentiares. Mise à Prix : S.cco francs Mêe Ccane et êe Villiige Troisièe Lot hiboiii'jibh' «Parc-Bis-.Moan», d'une contenance de ares centiares. Mise à Prix : S.500 francs Mêe Coune et êe Viliaxc (.Quatrièe Lot I jh» Pièce' (!<» Tcri'cl lerre dite ('(îoarioii-ar-.minor ou «r.o;i. ; die Uélary, d'une contenance de '.M 1 ares, centiares. ' Elude de. M'' I.dSTANLEN, iiolairc à Ploufïonveii Adjudication VOLONTAIRE LE LUNDI 4 ]V\\ 1974 à 14, heures E:i rktiide de M" LOSTANLEN En la COMMUNE de PLOUGONVEN Aux dépendance.s du PB EM 1ER LOT Ker^crre ' Les Edifices d'habitakon et d'exploitation cours, aires et dépendances. 2 P A R G - G R S sous terre labourable. eadasir('^ fcclion II sous le iiui^ro 3.ÔL d'une supeiflcie de 72 ares»ih centiares. ' Prat-Ar-Pont-lzclla pré cadastré II n SUO. d'une superlicie de.07 arcs, IS centiares. > Goare-Ar-Voas-Foen lande, cadastrée section H, n. 2.07, d une superficie de I Ii..'J^ a. 90 c Mise il prix : lo.ooo fr. DEUXIEME LOT Parc-ar-Kcreoi' terre i>.l)oural)le. cadastrée.«eelioii 11, n..v)(), d'une supeilicie de «0 ares G1 centiares. MISK A PRIX : 7.C00 francs TROISIEME LOT Pai*c-tiuélen lerie labourable, cadastrée seclioii H, sous le nuéro.074 d'une supeilicie de ares G:» centiares MISE A PRIX : i.cco francs guatltleme LOT Parc*-llibaon labourable, cadastrée seclion 11. n. 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Pendant ces alternatives de luxe et de isère, la counauté peut-être soutirait oins de ses aux que de la confiscation de ses franchises. Toujours battue et opiniâtre dans sa lutte avec les juges, elle résolut entin de poiter plainte à cette double loyauté de Louis MU et de Kiclielicu, devant la(pielle tout ployait, et en i(),î7. des dé )utés élus par dctc notiirié se irent en route pour Paris. Ils avaient ordre de.se jeter suppliants aux pieds du loi, d'exposer l'ai biliaire, le auvais vouloir, les alversations des juges, el surtout le déplorable état de celle ville (pu, naguéie venu,, encore opulente et lidéle, bâtissait des )laces fortes el prenait la noblesse a gages. Louis.Xiil lut atlendii. 11 ccnliia les lettres patentes de Chailes l.\ cpii ne s'exécutaient point et donna toit aux ju;;es royaux. Mais le ParleenI de Mrelagne, )our soutenir les vaincus, lelusa d'ciiiegistrer l'édil ; le débat s'envenia et la unicipalité, de guerre lasse, en partie gagnée, linit par transiger sur son dioit. l a souveraineté unicipale changeait tiop souvent de ains pour (pie la bourgeoisie apportât, dans ce duel héréditaire, de la persistance et de l'unité; ais par cette cause aussi, le cobat recoen(,ait loujours, la haine ne pouvait périr. Ainsi, api es les hoes de ansuétude el dt conciliation, apiés les iprobes, il en surgissait d'autres de pure tiepe doute, lorstpi'en i().?ç), le peuple se souleva à l'occasion de la perception des taxes. Dans le désoidre, des juge» plob, 1er. étain, etc..., à la chaige ' souvent dé.uinie, ses enneis, ses la voulut, cl les édits bursaux contiluièieiil a venir en aide l'épargne, luient altraités, on bitila les portes d'allecler partie de ces nouveaux 1 e-i entants ce abusaient d'elle, cl la de plusieuis aisons, on pilla êe venus a un suppléent de loiutalion luinaient. Son 1 ôlel, par exeple, en 1 oulcvcisant le pays On vit aloi.s des bouti(pies, cl l'ellci vescence devint si violenie, (pi'a la ic(piête du reflet de la dépréciation du arc, des juges, par des ccncieigcs ipii el coettre, coe sous son patroau )iolit de la CoUciiiale du Mur. l'ai } était déjà exploite sous la piolcction des croupiers italiens diiiger la cour Sénéchal, le coandant des ciuatie l'ancienne londalioii en argent de ' piclevaieni sur les archandises les I nage, les plus odieuses alversations. évcchcs accourut avec toute la aré- cette liglise était devenue insullisante;; taxes d'entrée les plus arbilraiies. On invcn'a les dioils de tibre, d'enchaussée du loi. Il ne parait i)as ( ue toutelois celte clause, d)t Daiiniénil, i Noés par le koi. ils s'ailogeaicnl ' regisirecnt. el en iti^.^. le surintenla ilice soit inteivenue uans celte ne tut point obsti véc. pai ce cpi'il lut! ce dioit de souveraineté coe inhc- I dant ne ciaignit pas d'adjuger pour giavc conjonclure, coe en i()(/(). reconnu (pi'elle avait ê\c fnii/dii/ru.sel.es archives disent qu'on dût pendie iiieii! j/hscrce par le Kecicnr du Mur. pioccsou de coûteuses Iransaclions rcnt à leui- chaige, el il lallail des 10 années et oyennant un illion, ; les ip()ls-biilots de Bretagne qui plusieurs coupables, et que le cale Les octiois ne pioduisaient guère : pour les déposséder pioduisaient.>()() 000 livres par an. ne se letablil (pi'à l'arrivée des co- alors tpie 2..p)0 livies. L'année sui-i L'n i(). i. le concicigc. écuyer de j (,'olberl ne vint (pi'en ititji rétablir un paynics IrUiiuloi.sc.s ; elles ajoutent, vanle, la pesie dévoie la population, j l'échansonnerie de la iciiie, élait un peu d'ordre dans les finances, et luii êe en Kw.'. dût créer de nou- que le gouvcrneui appela aux ai es I les paitis sont lapproches par les [ lioiiie enli cju enani, de >olonle la noblesse des enviions, ais elles oines de Cuburien, el vous les \oye/. i opiniâtre et son usurpation fut longue se régaler scptueusenient. a\eclesi Pour se piocurer de l'argent, on velles charges pour subvenir aux guerres du teps. Louvois archa dans celle voie, et c'esl lui qui disait à Louis XIV : Toutes les fois que Votre cjui lultaient Ici es, et ipiloyables, tant qu'ils restaient sur la brèche. De tels hoes régnaicnl sans (pi'onlie la leslilntion eu Taureau, le : line. Dans cet abîe d'o >prol)ie el de 101 lui accorda de nouxeaiix dioils désolation, dans ce goi.lfie où chaipic d'octioi. Ainsi on iposa les peaux, ;elloit de déliviance la nn urli issait de les balles d'étoiles de laine et de soie, i plus en plus, par de iu)u\ellcs icchù les tonneaux, les thaïgeenls. les tes, la pauxie ville faillit jx'iir. l'aiblc, se taisent sur la ilice bouigeoist..lean Guillousou, sieur de Kerguevaiec, était alors aire ou procureursyndic, el je ne sais si ce fut par suite de celte éeute ou de cpielques divisions intestines ( u'en i().jo, le loi ne voulut jias (ju'il piil le coandeent du ciiâtcau du Taureau. La Cour envoya un Hnseigne des gardes au loil, ais la place lut reslituce aux bouigeois en ^''le êe lenlia si bien en giâte a celle épocpie, bons Péies, a l'auberge du Pèlerin, i ax ait ainsi constitué en cl]iccs royaux En iti.pi, au contiaire, le Iléau passé, ' héri'diuiirci, dans plusieurs villes, la quel elle se ranie, le recteur du des charges d'auneurs de loile, de Mur, lièie du Sénéchal, est exclu des j vendeurs de poissons, de esurcui s délibéialions de la Co':;nninaulé, el de chaux, porteurs de sel, coupeurs celui-ci ini ii ie contre elle un lou- de bois, etc.., qui n'ayani pour gages droyanl paphlet, dans lecpiel il la que les taxes cpie les lilulaiies inveivenace de l'indignation du ciel. <i taient, grevaient le coeice. La /'/////w/i'il serait i conciergerie de I luv.el de ville de trop long de diie les é )isodes el! Moi laix était un chice de cette nature, l'achaincnient de celte guerie inles- l.a pénurie du trésor ne juslitiait pas ces oyens, l^n i(i. 2, les inipôls ne pioduisaient que So illions el le dclicil annuel atteignait.'>0 illions. Richelieu oi t. Ma/aiin ciea de nouveaux clliccs, vendit la noblesse à qui Majesté crée un office. Dieu crée un sot pour racheter. Malheureusenient on pouvait, sans froisser les privilèges de la province, l'inonder de ces t Ires royaux, et on ne s'en til pas faute. (</ suivre. Certifié par le Géraot soussigné i'uur légalisatioq

5 1 Deuxièe Année - N 104 Hebdoadaire - Centies Saedi 9 Juin 1934 û ' f. * M.y flm JOURNAL RÉPUBLICAIN DE MORLAIX ET DE L'ARRONDISSEMENT RÉDACTION-ADMINISTRATION : IMPRIMERIE LOUIS BOCLÉ, G^'S RUE GAMBETTA, MORLAIX TÉLÉPHONE ' irf t. La Grande L'itlée tl'un «ïraïul i:isscl)ioinent doocialiiiiu' osl à l'ordio ilu Jour. Qu'il sayisse di- ivaliscr rc lasscniblcnumil aiitoiii' tl'iin plan do «iviiovalion républicaine cl de déocratie ccononii- ( ue». selon les teres de M. Henri Pichot au (Congrès de 1 l'nion l'édérale des Anciens (".obatlanls. ou de synthétiser toutes les «forces cpii assureront le tiiopbe d'un ordie politi- ([ue et éconoiciue». ainsi cjuc le propose M. Marcel Deat au (Ionj<rès tics socialistes de l'rance, ou cie «constituer la (lauche nouvelle», selon les suj^gestions de la Jciinc' Ri'publiiiiw. la «grande concei^tion de russeinblfiucni des rcpiihliciiiiis dans une union Iari»e et durable, seule cai)able de sauver la r»épubli( ue en la rajeunissant, en la reviviiiant. exij<e un proijvav conunnn tait de sincérité et de clartc. Equivoque il faut courageuseent aborder de front toutes les (piestions privera-t-il du concours désiiitéressé îles chrétiens dont la fer- qui risquent, en créant ré(pii\o- ( ue, d'epêcher ou d'all'aiblir ce veur dcniocratiipie est aussi regroupeent, ou de l'établir sur grande qu'incontcslable ; c'est des bases factices. Pari ces toute une asse irintellectuels, ( uestions, (pii cieent la division d'ouvriers et de paysans (jui, entre déocrates et l'union entre rejetés des forations de gauche éléents dispaiates, il en est doni le prograe sectaire une ( ue tout républicain a le actuel, d'ailleurs, trouble leur devoir de regai der bien en lace :! conscience. ris( nent, ou bien celle de WinticlrvicdUsiw. i I d'être voués à l'inaclion civi( ue, Pour i)eaucou ) de l-'rançais, est considéré coe de gauche, d'eblée el sans autre garantie, toul hoe cpii airire sa foijils ]HMdraienl anlicléricale ; inutile de délinir j leurii cirectifs. le sens êe de ce ot, l'éti- ([Lielle sullil ; est rejelé des )arlis de gauche, tout hoe cpii n'accepte pas cette étiipiette danliclérical. dont lions )arl()ns et ipii, d'ail- o/r.sr/i/c, a l'e.raincn..sons un a.spect i >b's articles, qui ont bien leur ipor- \ 'V'-^' t'es coplaisances (pu n ont '.. ' '.. i y».. I I '.! n ) W) t 1* M \ W'i* 1 >1 < M» I I «J f l*>l I I i t I) leurs refusent le (pialilicatif \ infinient oins sipliste (pie celui lance. Or, on doil convenir (pi a rien a voir avec l'adinislration (pialité égale, el êe.souvent inférieure, les /iroduits français, tle par de la Justice. (( cléricaux», veulent avoir leur (pii nous esl révélé par les cinéastes divin : que la niasse des travail- ])l;icc pari les autres déocra- déniocra- '^alan On coiu;oil (pi'il en aille ainsi. le écanise dn chaïup' actuel, sont La agistrature se divise en deux leurs a j)our i dle essentiel de! tes : le iilaii coun doit elinii-i D'abord, pas un pags au onde, d'un firix d'achat plus éleve (pie les catégories bien dislinctes, la agistrature debout, ijui esl entière- perellre à une inorité de,u'r toul ce (pii pourrait froisser nalurellecnl, pas plus la France produits siilaires provenant d'aiidcla de.-i frontières,.[nciine capa- ent aux ordres des poinoirs jiu- vivre une vie de privilèges ;! leur conscience. La (-aiiclic non- <»dre^ ne peut.se.suffire a luivclle doit ignorer ces )elilesses ee, pour la bonne raison (pie (jue, la achine reni;.da(,'anl certains etaii.r, cobustibles, alérian.v el denrées ne se trouvent (pie (pie, aucune esure douanière applicable sans ris(pie de coplication, esl inaovible et devrait, jiar conblics i.i la agistrature assise, (pii éconoiipieent riioe, celuici doit s'estier bien l'.eureux nie a besoin, pour souder tous sous des longitudes ou des talilndes siirannées. La lîépiibliipie rajeu- ne peuvent prévaloir contre cela, le séipienl, se ontrer inaccessible, de lecevoir une indenité de ses cléents, d'un cient piirilié, déruiitivccnt débarrassé de tries de fibricalion ou de Iransfor- déterinées, pjisuite, certaines iinhis- jialriotisine du consoaleiir étant, ais ( ui al )ayée, a\ ide d'avanceent. n'ose pas se ontrer trop chôage ; ipie la fraïute fiscale dans neuf cas sur di.v, conditionné est un péché véniel, tandis ipie ces roches elti itccs (pii,jus(pmci, alion sont et seront fataleent, de par des (iiiestions de coodilé personnelle el de porle-onnaie. d'accord son souci d'ohéissance intransigeante et cherche à ettre la revendication du sal aire \'ilal j'oui lé/.ardée. par les conditions geo(fraphi(pies, esl un acie de rébeillion ; (pie Paul H()l Ll';i'. éconoi(pies, sociologi(pies et autres,.1 pri.v éjpil, (i (pialité éijale, lorsque les producteurs français se.seront Nous assistons ainsi à des déci- avei les obligations de sa charge ipossil>les a accliater dans bon le Parleent est, pour le oins, jïn gj lilï II liiriïlë liili i nobre de contrées. is an diapason de leurs concurrents, sions de justice (pii sentent le convenu ; on a recoandé d'être sé- inutile, (lu'il n'est jaais de leurs articles auront la préférence de.le sais (pie la France esl. coniparaliveenl a beaucoup d'autres paijs, vère : les Juges se ontrent sé\ères vacances assez longues pour lui, La seaine de 40 heures leurs destinataires ludnrels, el la {pi'on devrait êe le supprier ; vous ])ourre/ penser et n'aura nulle raison d'être. discutée capagne «Achetez Français!» e.rceplionnelleent favorisée par ta sans aucun discerncenl. Mais à la Conférence du Travail nature, (pie l'on g trouve en (puiidilé c'est surtout au cours des inslructions (pi'ou sent jus(prà (piel point dire lonl cela el bien dauties certains produits naturels de preiere D'ici-la, elle ris(pie forl de porter choses encore : peu iporte ;.Mercredi alin, la ("onl'érence Inlernalionale du Travail a aijordé la cultures les pins variées ; ais pré- M. Xalan : le cinéa, (pie dans la cer. Par suite, la.lustice fraiu;aise. idililé, el (pie son sol se prèle aii.v a finx, aussi bien dans la fiartie de les agistrats se laissent inlluen- si vous ajoute/ ( ue vous êtes pour la laïcité stiicte. (pie vous discussion /4énérale de la seaine de tendre pour autant (pie cette nation, con.soalion conraute. Ce qui ne clukpie fois qu'il s'agit d'atvaires considérez coe un danger quarante tieures, qui revient devant êe en g incorporant son epire vent pas dire (pi'il faille se cridser se rattachant à la )olili(pie, donne elle )our une deuxic^e discussion. suprêe le retour des Chartreux colonial, j)ourrail, du jour au lendeain, par l'effet des esures appro- (pli.s'enrichissent ri la barbe iles (pie par saccades ; ellj a des pré- les bras lais.ser faire les forbans l'ipression de ne se anifesicr M. (ICrsled, iirésident du groupe jia en leur (Chartreuse, (pie la présence des Sd'urs de cliai ilé dans conclu : tronat a l'ail un exijosé cpi'il a ainsi priées.se passer entièreent du reste douaniers en ruinant nos cultivateurs, entre antres. inexplicables. bcn un ot. tout en cipitations outrées el des leuteurs de l'univers, serait une insigne les h()pilaux esl une enace Le fait (jiie t'orgaiiisalion iiitenialidikite (lu Iraniut s'est ()ecii/>èe de cher- pour le régie, vous obtiendrez (il>erration. K F. F F LIA "/'. èlant coposé d'éléents sains, cher des reèdes an chninage et (ju'on Suf)f>o.sons nn inslani, cepciuhinl, elle constitue une institution dont I. IL'^I.MO'IILLU.H'" BL^ILL!. 18:8111" IB, «8WULL nn dipl(')e d'hoe de gauche. (1 is en avant ta réduction ohlifidloire (pi'avec ses c(donies, ce pays s(dt à les rouages iont faussés. Il est Inverseent, pensez et proclaez (pie les l'ctats viviont en (jrandes espérances. Matenaid seur, à re.vdiision (pie de tout autre, dans car les citoyens linissent jtar ne de ta durée du travail, a fait uaitre de êe (/c devenir.son propre fournis- giand teps d'y porter reède, A LA MANIÈRE t'e.xdnien a été fxiii.s.se l'i fond et a alxiiili étal iranarchie tant (pùe les ille el une branches de la consoation. La (piestion éconoi(pie tice. et rien n'est plus pernicieux D HÉGÉSIPPE SIMON plus croire à l'intégrité de la.lus- (I (les conclusions (pii sont au total décevantes. il vaut uiieiix (itiel(iiie regret.société des )euples ne réglera y serait-elle rés(dne du coup '.'... C/esl pas les appétits égoïstes des (pi'on ])insse en éjirouver, s'arrêter à Après le vole (pii a cumuré le débat (pi'un tel sceplic isiiie, lors( u ii ga- Vous ])ourre/ soutenir (pie la Société des Nations esl une absurdité, le désarent une utopie, la course aux areents une nécessité ; ( ue le cajjitaesl une institution de lise droit Carnet d'un Norîaisien ÉCONOMIE EN VASE CLOS «Ai'hetiv. l''iançais!»... Ai'cc luic loïkibu' consl(iiic(', M. S'alan s'c/jorco, clukuw sciikiinv, de coniutincn- les vous le ic\s )oii de la niillions d'ankilciirs de vinctna r/iii liberté de conscience, (pi'il est l'oicnl iléjilcr sur l'ccrdii ses u acituiliinlunnain de proscrire des êtres >' du dcroir ipcrieiix de nachcsous prétexte (pi'ils ont le cou- des prodis nainau.v de leurs opinions et (in'ils >seuuane al autre Je procédé î?,.., 1- M ' \de persuasion reste Ij uienie : :ute prcicrcut 1 exil a un coprois!,.,,,,;./, contraire a leur loi. l hranrhe de ranricullure l^t votre cas sera aggravé encore de l'èleixu/e ou de l'industrie eu plein si vous ap])uyez vous-êe vos travail, ptds donne un aperçu des conceptions déniocrati(pies sur iniportations faites au détrinwni de vos conviction de chrétien ; si cette branche et, enfin, fait intervenir, avec plus ou nuiins d'habileté, c'est la notion chrétienne île nn dialo(]iu' entre un curieux et un fraternité huaine universelle produc'eur, ou bien entre deu.x' cpii, logicpicenl, \-ous aène à «idoines» dont le caractère 101) "/ reconnaitre (jiie les hoes français est accusé par une barbe naissent libres et égaux endroit ; (jénéraleiuent al rasée. ( ue l'on doit resi)ecter toute liberté et toute vie ; ipie la guerre, l'asservisseent du faillie ou l'usura /'(j/(/.rdu capiialise sont des cries ; algré toutes \'os idées généreuses, vous êtes un sus])ccl : vous n'entrere/. pas (.lans la cotinaulé républicaine. Le grand rassebleent se I.a conclusion (pi'un spectateur n'ai/anl pas en l'occasion d'apjirofondir les problèes des échannes. d'éconoie politi(jue et sociale, peut tirer des fds ainsi présentés, et snrloiit de leur enseble, est (jue la notable part de son activile étant préciséent dirii/ée irers lu vente à l u (longrês de a ui:»f.;istiatiire l'étrajer. Or, un paijs dont les vilmit diî se tenir à Lyon, (^e Conférés frontières seraient i ne.roratiteent eiii )riimtc aux eircoiislaiiees el ferées à tous les produ'ts ddilieurs, aii.\ (piestions (pii vont été traitées se verrait polient r<'fuser l'entrée une réelle iportance. Il était organisé des siens, ressentir(dt ainsi très rapideent par l'association aicale l.-s désastreux e/jets d'une: des nki«;islrats - ( ui. groupe... la plu- proilnclion eu (/rande partie inulili-'lua^istrals di; l'"r;nice l't.able cl ceux du arase inévitab'e )arfaiteiucnt ( ua!iliéi; pour de sa 'narine archande et de.sc.v N'^i^^euper de leurs intérêts proies I sionnels. transports en (jénéral. Pour en revenir à la France, qui. coparativeent à d'autres pai/s. a peu à soujfrir du chôaye bien qu'elle iporte cluujue année de l't illiards de archandises de plus (fu'elle n'en exporte, le nationalise ecoiîoupie est-il vraieni pour elle une r,éce.isilé vilale l'our s'en rendre copte, il ij LE SORT DE LA MAGISTRATURE l'iinani- I L'asseblée a adopté à niité le va-il suivant : «L'Association aicale de la niagistraline. réunie en congrès annuel au Palais de la.lustice de Lyou, allirine tout d'aboid son att-.iclienient aux deux priueipes de la sé))aration séparation des Douvoirs pouvoirs et de./v «. fa la^ls'r^'lsliil^ueeic'iln^nïè tli/jérentes données du prohlee et en particulier, les raisons d'un excédent si foridable de ses entrees sur ses.sorties de archandises. On arriverait. sans doute, à celle /jropte I-'rance produit tout ce qui est indis- (onstatation (pie ce n'est pas toujours })en.sable a.wn existence, que lonl ce P'"'!'["' snobise (pie le conhoaqu'elle produit est inévilableent fronçais accorde.sa clientèle a supérieur coe (pialité a ce (pii ih's /)roduils étrangers, éuie lorsvient d'ailleurs et. (jne, par consé- hd serait loisible d'obtenir (h-s qiienl, il faut <, acheter français «, proilnils siibiires fabriipiés a l'inteel n'acheter que français, afin de ''lenr de.ses frontières, faire prospérer la production fran-, (-ctains pays étrangers, coe çai.se et éviter de favoriser les nations l'aniériqne et l'alleagne, ont couconcurrentes an delrienl de la pro- P'"' (]-yt'niple, une aitrise diiclion nationale. M. Xalan, ijui a.sans doute oublié ses origines de juif heiatlos, insuffle ainsi a ses clients un nationalise. à preiere vue,parliciilièreenl séduisant..1 la fin de la bande, le.spectateur oyen ne peut anquer I ou bien de suivre les prétendus j,. lpr()tecleurs de lenr.s libertés reli-! loul ce dont foi euses, liabiles ])ro!itcurs d une.,/ eipiivoiiue (pu fait adirablejeu el sans hupielle pour acheter chez on voisin. je négligeais te fruit de on travail ent leur Ainsi le eilleur de incontestée dans la fabricution des achines-oulils, à coudre, à écrire, a calcul er. etc..., et pis(]u (i présent, il napparait (pie la France puisse de siloi rivaliser avec eii.r sur ce terrain. On peut en dire autant en ce ipii concerne les conserves de fruits, les confitures et autres «délicale.s.ses» I dans le traiteent desquelles les Ftats-lhiis el l'angleterre sont, pré-.senleenl, ibattables. Par ailleurs, une f'abri(pie française de la hrance. peut-elle loiit ce qui ai nve chez \ plwloqraphiques livrer des appareils coparables à ces nous de l étranger est, en quelque ',uerveillenses «caéras > sorfies des sorte, du superflu, et f)eut être obtenu usines d'iéna, de Slntlqarl el de les chels de la agistrature : cous taie avec satisfaction (]ue la probité, riinparlialité el la oralité de la igistraturedeineurent intactes ; esinue (pie les fiaranties protectrices de la dignité des agistrats:, iiotainent le caraclère secret et liiérarclii(pie de leurs notes professionnelles, doivent être ellieace- inent sauvegardées et (pie la plus étroite solidarité des ebres de la agistrature doit s'allirer visà-vis de tous lors( u'il s'agit de aintenir les traditions d'honneur, de désintéresseent et d'indépendance (jui sont l'apanage de la agistralure française». Toul cela est fort bien dit, et sans conteste, la grande ajorité' des agistrats se trouve del'ic très exacteent dans cet ordre du jour..mais l'alvaire Sla\ isky et les autres récents scandales n'ous ont donné une ipression oins édiliante d'un trop grand nobre de ebres du corps Judiciaire. A'rai dire, on esl saisi d'un senlienl de pitié à leur égard. On sait bien que s'ils avaienr )u n'écouter que leur conscience, leur conduite aurait été irréprochal)le. Mais la I 'heure esl Iron <.rive nonr '«''re i>ags, a qualité peut-être Leip:iq? : politique qui touche (pie les divers partis ' " se ndu'z '^/V Il i'-o^l pas pi.sqii'aiu vicier, a is la à exainer lovaleent ' I-rançais qui achele un produit \ aiquilles a coudre el aux haeçons,, provenance étrangère anque, i de pèche pour le.s<iuels..sans qu'ils (pieslion. Dans le rassebleent r,r conséquent, a.son devoir et va s'en doutent, les Fiançais ne soient Iride deain, cliacun doit vive \ contre son intérêt.» b n loin s de.sheffield et de Coventru. libre de ses opinions religieuses I }hdheureu.senu'nl, la réalité co- A"' puis, il faut, de plus, tenir et philoso )hi(pies ; les chréliens davantage de f'acettes et.se \ ''"'"pli' de la prrsenlalion el du prix tout pour ain sur la i agistrature coe sur les autres ; institutions ; elle en règle l'ananceent ou i)lul(';t le dérègle et le souet à des conditions inavouables de docilité, à des services ren- nations ; (jue la Conléreiice du teinj)s. ne pas.s'ol'sliuer dans une r(///.s'.s7' oins (pie sur. i'.ar il ne suffit pas désareent doit siéger en peranence tant ( ue tous les jiays direction et ne pas leurrer le onde en de produire : il faut produire dans entreleniint de (tangereiises iltiisions. des conditions avantageuses coe Puis.M. Jouliaux, rc )()n(lanl aux ol)- (pialité et coe pri.v de revient, el n'auroni pas is bas les ares ; servalions de.m. (lùsled, ontra la si la production nationale.s'avère (pie le travail doil être organisé nécessité de aintenir le niveau de plus onéreuse pour le con.soniateur en tenant coiiledes conditions I vie de la classe ouvrière. Il terine (pie des articles siilaires pris hors nouvelles créées par le niachi-! ' des fro:; Hères, on ne voit pas ce (pie l heure aciiiette. la (iiiestion (pli ce consoinateur (jagnerait,,11 définitive, a n'avoir plus le choi.v pour nisiiie ; (pie le jn-ogrês social se pose (levant ta ('.onférence est la doil tendre à la ré )arlition des j.s.,,; /,.. La Conférence doit-elle suirichesses ; (pie le respect de la ' lue certains goiiverneineids et siihsti- ses achals. personnalité huaine ipli(pie tuer (ui.x' (técisioiis de.sa deruiere session. fe ne sais (iiielle procédure d'en déficit (onsiderable des la.x'es doua- On.s'apercevrait, par contre, dn le niainlien des libertés essentielles dont le systèe parlenient de preière classe de la (iiieslion (piéte (iiii n'est au fond (/u'iin enterrenières qui, toul de êe, rapportent entaire est une des garanties (le (puirante heures ; tes patrons s'en fondaentales ; vous serez néan- sont réjouis, tes ouvriers s'en éeuvent. oins considéré coe Iraitre à la Hépublicpie si vous ajoulez i iraii no des êes principes Aux autres délégués gouverneinentaiix de.se j>rononcer. I.a suite de la di.scussion a élé renvoyée aux jours suivants. bien (piebpies illiards par an au budqel, el dont les tutcances forcées auraient pour effet de libérer qnel- (pies illiers de fonctionnaires. PU puis, (incline nation oderne ne peut vivre sans exporter, une électoral. Jeudi, M. I{arl)()t, député d'ille-el-vilaine, s'en vint trouvei', dans les couloirs. M. (ieorj^es Pernol, dont la vif^oureuse intervention en faveur de la 1{. I'. avait été très a )plaudie i)ar les i)artisans de la lét'ore. Monsieur le président, lui dit-il. Je viens 'excuscr de n'avoir pas voté avec vous. «Mais, vous cop.iprene/, t'iie/. oi il y a une {^endai erie : il y a toujours eu des {gendares, je tiens à les j^ar- (ier. Avec la H. I'. on e les enlèverait. Alors, vous coi)rene/.. j'ai été ol)ligé de voter contre! M. l'ernot ne put s'ei.i )èelier de sourire et d'assurer son interlocuteur qu'il ne lui en voulait pas. (juand on pense que les «erpéisles» ont été battus à on/e voix et qu'il a sulli de six Barbet jioiir aboutir à ce résultat. gne tous les rangs de l'échelle sociale. Le (Congrès de la agistrature s'en est exacteent rendu co )le el tout en distrihu;int force éloges à renseble du corps Judiciaire, il a très bien vu que la.lustice française ne retrouvera son près tige qu'autant (pi'on fera de la sé- iaralion des pouvoirs el de l'indépendance des Juges une réalilé. Le vo'u (pie le (Congrès de Lyon a volé se borne à proclaer son" attacheent à ces principes, car les agisirats sont lro ) disciplinés pour procéder publi(pieenl, par voie de revendications. Mais un )rojel a élé is à l'étude, (pii cherche à concrétiser ces nobles abstractions. Loent assurer réelleent la séparation des pouvoirs, la séparation (le la justice et de la j)oliti(pie, et l'autonoie du agistral? Ilh incorporant dans le projet de réfore de riclat (pii s'élabore lenteenl devant les (Coissions de la (Chabre, un statut du corps judiciaire (jui deviendrait autonoe, ayant à sa téte un garde des.sceaux ne faisant pas de politique el par consé(pient ne dépendanl plus d'une asseblée )arleenlaire..mais (pii garanlirail ce inistre de la.lustice non politicien contre les s.jllicitations des [)oliliciens. On ne nous le dit pas. 'rhéori(pieenl. ce serait parfait. r>es agisirats ne verraient plus leur avanceent dépendre des interventions d'hoes )oliti( ues..seules copteraient les notes professioieiles recueillies par la chancellerie. Lt du éecoup, laiiueslion des incoplabilités j)arleen taires perdrait lieaucoup de son intérêt. l'ii avocat (léi)uté pourrait [)l;u(ler (levant ces Juges ; ceux-ci ne leraient pas plus atlention à sa (pialite d'élu du peuple (jue s'il n'était (pi'un siple avocat. Ils ne s'occuperaieiu (pie des éléents de la cause (ju'il viendrait soutenir et se ontreraient à son égard pai-- faiteent indépendants. Nous le voulons bien, nous ne deandons (pi'à appuyer ce noble dessein des agistra'ts d'oljtenir un statut les ettant à l'abri de la poliliipie, (pi'il s'agisse des juges du siège ou des agistrats du paripiet. Nous reslons, par exeple, très peu assuré de l'elvet salutaire des dispositions préconisées. Il n'en faudrait pas tant pour ipie la.lustice fut adinistréé avec intégrité, en toute indé )eiulance d'es- )ril. Il sullirait (pie le inistre de a Justice fut lui-êe un hoe de devoir ; ce sont les icurs jioliti(pies qu'il faut reforer beaucoup plus que les intitulions..maurice Dl'VAL.» Bl IB Il 11 SI II H ai I Les Jours sans Guerre LA FEUILLE DE CHOU Quand eerluins touristes déhas(iiient dans une ville de prorince, ils croiraient déroger à la tradition s'ils ne deandaient, êi haute voix, au garçon du Café du ( 'oiniuerce, «la feuille de chou thi patelin». Il esl, en effet, de l>on ton de blaguer la petite presse de i)rorinee. On est un esprit fort e' subtil (piand on plaisante 1 Lclio de la Hidassoa, te liéveil de I.oire el-saone ou le Républicain des Uouches-du'l'arn. Le journal de province a ses na'ivelés el ses exagérai ions. Mais pourquoi chercher dans ces feuilles odestes <» qu'il ne peut s'y trouver '.' Vous ne coparez p is le Bon.Marché arec tel ugasin ae Ta:aseou (pii cherche pourtant, sur l'avenue de ta Gare, êi satisfaire sa clienlète. Le Journal toc l n'a point de grande at>ùion..son but est linuté à son riujon d'oetion. Il n'a pas d'envoiiês spéciaux (i l'étranger ; il lui suffit pour intéresser ses lecteurs de publier les cours des foires et tes variations ae l'étal ciril. Il est un lien failial. Il prend part aux douleurs et aux joies de ses inu>nnés. 11 e.rprinie letiis doléances. 11 esl te confident d'un «groupe d'électeurs» qui proleste contre tel arrêté préfectoral ou luunicipal. Il est, en un ol, le reflet de la vie provinciale. En période d'élections, il s'anie davantage. Il s'irrile contre le candidat du journal adverse, ce qui n'epêchera point les deu.v rédacteurs de Irinquer enseble (i ta preière occasion, l'ourquoi pas '.' Les députés fraternisent bien êi ta buvette de la Chabre '.'.. Feuille de chou.' C'est bien vite dit. Mais les railleurs seraient hieii eharassês, s'il leur fallait rédiger un seul nuêio de la Tropelle Mcndoise. Au reste, les connaisseurs, et je parle des journati::les de ta capilale dêclarenl volontiers (pi'on dépense, sourent, aidant de laleni dans les * feuilles de chou» que pour replir les quatre-ringts colonnes des astodontes de ta presse }iarisienue. Mais les plaisauleries les plus soltes ont la rie dure. Ce qui prouve, d'iiilleurs, qu'il g a plus d'ibéciles qu'on ne le pense On conlinuera donc êi (( hécher < tes feuilles de chou, connue ou plaisante désorais le pantalon cl les godasses de M. Albert Lebrun. Georges JdXFAl'. M..'.il

6 La Tribune :r V! nv LA -. î M O M L / l I X ««a Morlilix Socictc lies pctcs Morlaisicnncs il V a cinquiinlc ans A ssr 111 h I j {V II ra I c Le IS Mdi ISS'i ciil lien l'cleclion du Mcrcrcdi 6 Juin 1974 de la nuinicifxilili'. IA-S inccs PCRsonnalitès conseriwrent leurs /onctions. M. César lionsscl ancien ins- llliiii'iil pri'scnls : MM. l'apc pecuntr des Douanes, fnt rééhi inaire. ih'chen, lioiilieziii, Kerhoas, l.c MM. Henri Le Bolloch, aiwat, /uc-limnarcluuui, Moij^n. Meiioii, niieradjoint, et Balardelle. dcnxicnie ' Pii-arl. QiielViiriis adjoint. Service édical Dianche 10 Juin HKU. Monsieur le ilocteur Ascornet. 2.'), rue de i'aris, Morlaix. téléj^hone 1-07, lie S heures à inuit. Le public est prié de s'adresser unitiueenl au éileein ([ui veut bien assurer une peranence à son intention. Fliarniacie «le?»ervice Dianche U) juin. )h;uniaeie Co(iuart. rue C.arnol. Ouin-ciinc - Coniincrcîalc Nous rappelons ipie la ilistribulion des lois a lieu tous les jours (saui' les dianchesi, de'.> à l'i heures et lie 11 à 17 heures, cluv. >L Cailleau, (>, rue du Mur. l'our les )rospectus illustrés, s'adresser à la peranence, à la airie. Les lots ou bons d'achats non réclaés au IS juin deeure la )ropriélé du C.oité. Les listes des nuéros gagnants sont en vente 0 Ir..'>0 chez les archands de journaux. utuelle «lu Clouierce et de rin«lu»»trie (^Seclion de.morlaix).saedi [) Juin, à la.mairie, salle des Prud'hones. perception des cotisations et paieent des indenités aux heures habituelles. l.e coité des létesde la.mutuelle est prié de se réunir au êe lieu Objet Organisation de la tobola. II II II II la II II II II II II it ciiez C a r l i a Couturier Place Eile - Souvestre ORLAIX Grande Seaine de MISE EN VENTE de Robes et Manteaux peur la Plaôe et la Capaçnc 3laiik'aii\ coloris ode KoIM'S en Ijcai nage. en lin naliirel 100 Liaient excusés : MM. Auiiuc, Bogrand, C.aër. IMton père et lils. l'ape prend la parole et donne le coi)te-rendu oral de la S. 1'. M. Les anilestations suivantes ont été organisées sous sa présidence : V.VM : liai d l'nlants ; bal de h. Mi-C.arèe ; cosaipies ; )articipation l'oire-lcxpiosition. \\y.v2 : Bal dl-:ntanls : bal du l'ont d'argenl ; concours de boules ; léte lies l''teuis; concours de vitrines. li);;;} : Bal de la Mi-Carée ; bal d'iùit'aiils. likîl : Bal de la MiC.arèe^; concouis de nsii ues. i'uis M. Pape donne le coplerendii linancier des exercices précédents. La coission adinistrative actuelle a ])ris ses l'onctions en llkîd, et le budget était à ce oent de : r).>s()l l'r. IT». i:n l'.kil, il était de : 1 r.,j()7 l'r. :)U. i;n 11U2. il était de : IS.NNI Ir.;}."). l-:n HKi;;, il était de : D.d'iU Ir.Ul..\u ;!1 ai l;»;)l, la Société des l-"ètes.morlaisiennes a en caisse : '.i.2()i) Ir. 2(1, aux( uels il y a lieu ' ">nt ''''.i""'^''' l e'venant à la S. ai frs et toute une sélection d'articles dernière nouvraule à des prix exceptionnel. iu II HJI II II.IIJl il.l*j!i * Tennis-Club orlaisien l'ne rencontre entre le T. de Douarnenez et le T. C. de.morlaix aura lieu à (>>atserho le dianche 17 Juin, à (juatorze heures. Les (^lubs procédant actuelleent à la sélection de leurs eilleurs joueurs, les nos de ceux-ci seront couni( ués la seaine )rochaine. ogqoaocôâccccogccicccogoogcg ' l-\'m. sur l'excédenl du concours de usi( ue. I (À' copte-rendu linancier est lapprou\é jtar l'asseblée. Puis j.m.m. Pape, Bonbe/in. Moign et Quetl'urus t'ont savoir ([u'ils ne deandent i)as le renouvelleent de leur andat, lùi ell'et, il est nécessaire de ettre de nouveaux ebres à la direction de la S..M., ais naturelleent leur concours restera assuré aux successeurs. Les nubies du coité de la S 1'". M., présents, conlirent égaleent ( ue si les précités se retirent, ils les suivent..ni. Lerouge, président de I r. 1. L.. su.i;gère de diviser la ville de.morlaix par ( uartiers : rue lie Paris. Si.Mathieu, le centie, St-.Martin, e de Brest, N'illeneuve, etc... j)uis de réunii" deux ou trois coerçants par (juariier, qui coposeront le coité de la S.1''.M..M. Pupe contire qu'il ne peut se charger de celle tâche, ais qu'à l'occasion lui et ses collaborateurs se feront un plaisir d'assister à une reunion de ces coerçants. C'on»»lt:itiuii tie.s noui-ri.s.son.s i.a consultation des nourrissons aura lieu à la airie de Morlaix (petite salle des ariages), lundi 11 courant, à L") h iil'. i\olariat L'exaen des candidats notaires du départeent du Finistère aura lieu a Qiiipcr, au siège de la Chabre des not.iiies de cet arrondisseent. rue des Regiiaires, n.x"), le jeudi.') juillet ii).>l, a neul heures du atin. I.es candidats devront taire parvenir leur dossier à M. le président de la (ihahre des notaires de l'arrondisseent de (Juiinper. le dianche r ' juillet iip I. au plus tai d. i:iiani»ionnat de Tennis* du Collèfie de <àarvon Les linales du chapionnat de tennis du college de <;ari;ons de.morlaix se sont déroulées jeudi après-idi, sur les courts du Tennis-Club orlaisien, à (>)alserho, en présence d'un public nobreux. (Juun/iionnal des rirnes. Si- Les >le (linale). Schlener bat Le (loascoz j)ar(')-l et ().'!. sont très éfiants. Ils ne,, touclicnl, i)as -, Double (linale) Sehlener- ^.&r''^ des appf.ts I ptoye/ i U c.j, re-béca par «P U R I T A T» qui vous délivrera deli i <..i ( i nitiveent de celléau en un seul jour. joui, Inollensif pour tes aniaux doestiquesres du jeune Schelener( ui adroit signaler les ileux belles victoi- I-;xige/. la arque. I^eiusez catégoriqueent si on vous propose un pro- ('Juipionntd îles niailres. Si- a de vives félicilalions. duit siilaire et non celui que vous ple (linale) : (aeisèas bat Pinoteau par i'»-l et (i-d. avez deandé. Pour détruire radicaleent tous insectes et les parasites des aniaux et des végétaux, aelietez un bidon Audition usicale d'«agrisect». Un brossage de ce produit el vos aniaux ne soulfriront Le ercredi l.'i juin, à 20 h. 1."). plus des païasites. aura lieu dans la salle des ('conférences de la airie, une audition Pour les ouches, eployez «PU RISECT», insecticide puis.sant cl d'o deur agréable. des élèves de piano de Mlle ^vonne ]Trin( uet el des élèves de violon el Concessionnaires :.MM. BARBIER, pharacien 1 JAUGEON, i»liaracien, lintanf, ptiaracien ' VINCENT, ptiaracien C.XKANTLC : BARBIER, ptiaracien LANDlVlSIAf : PINVIDIC, Doct.-Vct ST POL I)K LI-.ON : TOSTIVINT, phar Audition usicale Le jeudi 11 juin, à IT) heures, aura lieu dans la salle des conférences de la airie, une audition usicale donnée jiar un groupe d'élèves de MIk' A. Mingenbacli. d'acc()nipagneenl de Mlle l''rançoise.mores, 1' piix du Conservatoire de Paris, {'elle audition est gratuite. On )oiirra se )roc des piogral'y-bre'iz, nies-invitation a lôile-sou vesire. place luaipection dcvs I>riga<le9» de tpendarerie M. le coandant N'ouzelle, ciief d'escadron de gendarerie, en résidence à (^hii )er, a inspecté jeudi alin les brigades de gendarerie lie Morlaix. 2 Les enfants déclarés adis au concours des Ijourses t"' série, sur le vu du certilicat délivré par l'inspecteur acadéique. Les candidats non pourvus du certilicat d'aptitude aux l)ourses série devront joindre à leur dossier, constitué coe il est dit ci-dessus : 1" l'n livret scolaire établi par le directeur d'école, i)ubli(pie ou pri- \ée, coportant : a) Les notes obtenues dans les ditl'èrentes atières avec indication du coènicient : /)) l.es places dans les co )ositions avec ention du nobre des élèves classés ; i) Facultativeent, une ap )réciation générale du directeur sur l'aptitude aux études secondaires. 2" Leurs cahiers de devoirs visés par l'inspecteur pi iaire pour les enfants qui ont été instruits jusquelà dans leur faille. Aux dossiers, ainsi eonsliiué<», serowt jointes les épreuves écrites d'un e.vainen d'cntric portant sur le prograe du cours oyen (2" année) et de la classe de septièe : a) Un copte lendu de lecture suivi d'une dictée, avec questions ; h) Des opérations d'arithétique accopagnées de problèes siples d'applications du systèe étriipie. (À't exaen aura lieu, pour les deux collèges de Morlaix, le jeudi 2S juin, a S h..'50. Les candidats sont tenus à subir l'exaen dans l'établisseent où ils désirent enter. Les dossiers coplets devront parvenir à.me la Directrice et.m. le Principal, avant le 2()juin, dernier délai. Si le dossier coplet a été envoyé pour la date indiquée, le candidat sera, sans autre foralité, adis à subir les épreuves le 2(S juin. il ne sera pas envoyé de convocation individuelle. Les failles seront avisées du résultat de l'exaen, le f) juillet au plus tard. l\)ur tous renseigneents copléentaires, s'adresser par lettre aux chefs d'établisseents. La Kcre»>se de la usique unicipale Enseigneent Secondaire ariafiek Collèfie et Keole Priaire Saedi dernier, M.!.. l'ataidt, Supérieure de garçons Collèges de Garçons La keresse organisée dianclie après-idi, sous les halles, à l)rocédé au ariage civil de Mlle adjoint au aire de Morlaix, a Distribution des pri.v cl de Jeunes jolies de Morlaix Le principal du collège, directeui de 11^. S., sera reconnais- M heures, [)ar la usi( ue unicipale, a ol)lenu le re succès ( ue CJiochon, du Havre, conducteur llenée Le (iolt, avec Joseph sant aux personnes généreuses ( ui Conditions d'adissioi) les an.iées précédcnles. de travaux aux entreprises Inizan. voudront bien, cette année coe des élèves dans la classe de sixièe A K5 h. ;{(), les usiciens se réunirent devant la airie, puis délirié, Les léoins étaient, pour le a- par le passé, lui assurer, soit en à la rentrée d'octobre.w M. L.. Prigent, et poui' - la a- ""- espèces, soil en livres, leur particiriee, ^. AnOine l.e DeunIL indus-,,, i,.,?,,: lèrcnl aux accents d'un pas redoul)lé entraînant, sous la direction de, I palion a la prochaine distribution Dossier à coiislituor pour loiis les solennelle des prix, M. Ker^oat, sous-chef, jus( u'au\ caiulidals : l.a céréonie religieuse a élé ; 11 reercie viveent à l'avance halles ( ui avaient iccju iine décoration intérieure du eilleur goût. célébrée lundi atin, en I eglise; tous ceii.x et celles ( ui lui j)crel- 1 Uo rcm'lilical édical aîloslani St-Melaine. Le service d'honneur Uont ainsi de rèco )enser coe i iu' renlanl n'osl allciiit ni iriine La usi( u(! unicipale donna était assuré par MM. Bannou et ; ils le éritent les eilleurs élèves aladie conlai-ieuse, ni d'alleclioii alois, sous notre aiché couvert..meuric, (lu'accopagnaie.nt Mlles^du collège et de l'école priaire ou d'iniinnités constituant un e- un concert très applaudi, sous la Y vonne et.leanne Iluel. ; supérieure de garçons de Morlaix. péclieinent à une scolarité norale ; baguette de M. iverhoas, chef de la société. A l'issue de la céréonie, Me Prière d'adresser les dons à.m. l'n acte de naissance sur papier Bientôt, la foule ne tarda pas à Le (loir a reçu ses invités dans les princi )al du collège à.morlaix. tibré ; allluer et ce fut l'entrain des jouis salons de l'hôtel d'iùirope. '!" l'n certilicat de revaccination ; (le fête. Collèfie et Keole Priaire 1 l'n certilicat de bonne conduite délivré par le chef du dernier riés satislirent tous les goûts et tou- Mardi après-idi. ;i 1.') heures, Les coi)toirs nobreux et \a- Supérieure de jeuneiv fille.% étai)lisseent fréiiuentè. tes les bourses. Ils étaient tenus : M le docleur Le Jeune, adjoint Distril)utioii des pri.v le bazar par Mines Kerhoas el Branellec ; les jeux de liécheties, par ariage civil de Madeoiselle l'i'^.p.s. de jeunes lilles de.moriaix au aire de Morlaix a procédé au La directrice du collège et de Seront, après exaen de'leui's dossiers, adis délinitiveent, MM. Bo/ec lils, 'riièpaut, (Iriinec Anne.\scornet, lille de M. Aseor- appel - aux personnalités aies sans autres conditions : et (^aron ; le jeu de assacre par net, docteur à Morlaix. el (le.me,! de son établisseent el leur deavec.m. André Mène/., lieutenant ande de l'aider à distribuer des I" Les boursiers nationaux noés par arrêté inistériel ; la )èche à la ligne par.m. A. Chau-.MM. Iveru/.oré, Lachuer, Toullec ; vin ; la roulette électrifpic par.m. Chapellerie jjean Castelj 10, Place Thiers S Téléph. 2-95, MORLAIX [ ' Réparations - l'i ansloi alions «««I M B < Jiez les ^'picierk en firoa» du Finift»t^re Jeudi, s'est tenu à Morlaix, le ('ongrés du Syndicat des épiciers en gros du Finistère. L'an dernier, cette réunion s'était l'aile à Brest, sous la présidence du secrétaire généra I M. Duhe..leudi atin, les congressistes se réunirent au grand hôtel d'iùirope, sous la présidence de M. (ialiche, épicier en j^ros à lîresl.,\u cours de la réunion de travail furent discutées diverses ( uestion intéressant l'épicerie en général, la défense des lietits clients et la sauvcf^arde du petit et iiioyen coerce..a idi, un banquet réunil (îo )ersonnes environ, lari lesquelles.mm. (jaliche, i e Brest, président du Syndical ; Lé )ine, viceprésident ; Holley, de Brest, secrétaire ; Le \'essel, de Brest, trésorier. Au dessert, des alloculiotis lurent jirononcées par MM. (ielé, épicier en gros à Brest, el Lobard. A l'issue du baïkiuet, les congressistes visitèrent la (Irande (>onliserie de l'ouesl, à Saint-Mai tin-des- (^haps. L'an luochain, le Congrès des épiciers en gros du Finistère se tiendra à (^hiiper. Pour rehausser l'éclat de la l'ètc. un orchestre, coposé de Me.Vuduc. de M.M. i'"aouen, N'eyrac, (îuillou, N'erborgh, Périou, ('ocheais, i.e Tous, dirigé par M. L. Auduc lit tourl)illonner les danseuses el danseurs, le plus gaienl du onde, en exécutant de façon ipeccable les toutes dernières nouveautés. I.'orclu'stre obtint un i)eau succès, succès d'ailleurs érité. au 2'' régient d'inlanlerie colo- livres de prix à ses eilleures élèloniale, à Brest. ves. Les téoins étaient.mm. le coin- ''-I''-' leercie à l'avance tous andant Barvel et.maurice Ascor- ^'l'h^ (jui voudront bien lui adresnet, clerc de notaire à I^iris....,,, en especes. La cereonie religieuse a ete ser soil des livres, soit des don.s (>aradec ; la loterie à 0 l'r. 10 par MM. Larvor el b'avi'r ; le jeu des co'uis ])ar.me et Mlle \'erborgli ; le jeu des anneaux par MM. Lourlec et Jeau; ; les palets par MM. ^'ves Lachiver et l-'aucheur ; les célébrée ercredi, à 11 heures, en quilles par MM. Kergoat, Marrec, l'église de Saint-Mathieu. Avifii. aux énafière» de la place Uauniesnil Bo/ec père et Jégou..M. l'abbé Hervé, vicaire à Saint- Tandis cpie les joueurs pouvaient Mathieu L'arrêté pris )ar M. le aire de satisfaire leur «passion», les gourets... et gourands, auxquels on locution à l'adresse des nouveaux de jeter les ordures sur la place prononrii une délicate al-.morlaix interdisant aux énagères avait heureuseeiit j)ensé, pou ariés. Le service d'honneur était Dauniesnil, dans le but de perettre la construction d'un ur de vaieiit déguster d'excellents gâteaux, bonl)ons, chocolats ou glarier, l>olland el.ménez, acco )a- soutèneent le long du chein de assuré par Mlles Le Jeune, Serruces. à la pâtisserie tenue par.m. gnées de M.M. les lieulenants.mayer, (îourvez, lîaioii el.m. J. es )rolestations de la part des Toul-ar-Parc, a aené de légiti- lionnel. Lnlin, coe lout avait été prévu, un l)ull'et buvette, tenu par.m. Me Ascornet a reçu ses invités pouvaient plus se débarasser de Léost. l'issue de la céréonie, habitants du ( uarlier. (>eux-ci ne (Conseil, perettait aux personnes dans les salons de l'hôtel d'luro )e. leurs ordures, sous peine de contravention. a oins d'aller les je- présentes de caler leur soif dans Xour olvrons nos eilleurs vieux les eilleures conditions. lie bonheur aux nouveaux époux ter très loin de leur doicile, ce Des pochettes-surprises abondaent garnies furent vendues ents à leurs failles. Désorais, pour leédier à cet et adressons nos eilleurs copli- qui n'avait rien d'agréable. par MM, A. 'i'anguy, (',. (Pastel, 1.- ineonvénicnl, des voilures du service de la voirie raasseronl cha- l''aouen, Jane Marcel, Pérou, ^'venat, Mlle Madeleine Branellec. Nous soes heureux d'a ) )rendre le j)rochain ariage de Mlle que atin les ordures que les énagères devront déposer devant la Louise (iuiader, lille de.mecuia lier, négociante, route de Paris, à )orte de leur deeure. Morlaix. avec M. Henri Auger, journaliste à Touis. Fianvailles Nous soes heureux d'apprendre les liançailles de Mlle Paule Branellec Tanguy, lille de M. el Me Branellec Tanguy, négociants en vins, rue de Paris, à Morlaix, avec M. Jean-.Albert Mochol. Nous oll'rons nos eilleurs vieux aux futurs époux et adressons nos coi)lienl.«; à leurs failles. I>e ^<»n»eil de Kevi.sion Lundi atin, se sont déroulées, à partir de 1) h. oo. à l'hôtel de ville de.morlaix. les opérations du Conseil de revision. La coission était présidée par M. Sarraute, sous-prél'el de Morlaix, lequel était assisté de M.M. le colonel (îillet, coandant le 2'' régient d'inlanlerie coloniale à Brest, représentant le général Durand ; Mallégol, conseiller général lie St-Thégonnec ;.Mingain, conseiller irarrondisseenl de Pleyber-(>brist ; le lieutenant-colonel Chaerois, eoandant du bureau de recruteent de Brest ; Morel et Du )uy, édecins ajors de Maison possédant le plus grand J S choix de chapeaux et casquettes P' classe ; David, édecin ajor de arques à des prix défiant J de 2' classe. â toute concurrence. Sur les l.so jeunes gens qui se S Chapeaux p' daes el tilleltes présentèrent devant le C.onseil de revision, HO ", environ d'entre eux, lurent reconnus bons )our le service aré. Les conscrits, la boutonnière garnie d'insignes el de rubans, l'étèrent joyeuseent, en ville ou aux environs, ce jour ipii aura inarqué une élape dans leur vie. A la Copafinie «les eaux Nous apprenons (pie.m. Morfoas, venanl de Bennes, vient d'èln noé ins iecleur de la C.onipagnie des eaux, à Morlaix, en replaceent de ^L (îaignoiix, noé à Bennes, Nos eilleurs souhaits de bienvenue. Brest (le roiiosi PARIS Uen nc.s AGENCE DE MORLAIX 29, Rue du Mur 'l'outes opérations Manque, Hoiirsv, CJiange, Monnaies or cl argent, l'aienienl coupons sans frais. Kenseifineiiicnts graluils sur toutes valeurs, (".ouitiiges otliciels slriete ent ap iliqués. Nos coplients aux f.iilles et nos Meux de bonheur aux futurs époux. : R a c i î o - C e l t i e S S 25, Place Cornic, MORLAIX S S.Afîence exclusive des po.stes de B T. S. t- DUCUETEI et des a- J S ptiticjfhius THCMSCN-KCUS7CN a vous présente une gae coin- S plèle d'appareils à des prix inlé- ressants. î Société Aicale Le ])résidenl inforivie les sociétaires ( ue le secrétaire-trésorier s(.' tiendra à leur disposition, pour la perception des cotisations, le Jeudi 11 Juin, de 20 heures 21 heures, ;i la airie. C 2.'). I 3»5 fis C I50 l'rs C ««0 frs rue collision C 7( frs Saedi après-idi, vers 1.'» heures, une collision s'ésl produite. C H), li s c <S(). :i.25«l'rs l)lace Lile-Souvestre, devant les il [larlir de fn agasins «(.\ux Travailleurs», en- I,!i Maison possède un atelier ; be l'auto de M. (îestin, voyageur, i de rcparalions et des lechnieiens deeurani 21, rue (iraveran. à éprouvés ipji se tiennent à la dis J Brest, ( ui faisait dei-tour sur J position (le toute peisonne liési- place pour gagner la rue de Biest rant faiie réparer ou transforer j i, i-ainion de la co iagnie des son appareil., cheins de fer départeentaux qui «a..b-iibii-. C.ainbetta et se Idirigeait vers la place l-jnile-sou- Triliunal de siple poliie A rinstruction Mercredi ; nalin, il a élé procédé, au ])alais de justice, à la confrontation de Me veuve Houé, ancienne secrétaire de airie de Plou né venter, inculpée d'escro( ueries, avec les téoins dans celle grave altaire.! vestre. raccident. seule l'auto de..^^oagée. Les dé- Dans son audience de saedi! f^:'"'s furent constatés i)ar M' Sipiijuin le tribunal de siple police j''ssier à Morlaix. 'du canton de.morlaix, sous la pré-j sidence de M. Toullec, juge de! t^ontre des rochers paix, assisté de.m. Troadec, gref-! lier, M. Debré coissaire de j Saedi après-idi, vers 1.") Ii..'iO, police, tenant le siège du inis-jun accident s'est )roduit sur la tère public, a rendu i ualre juge-' route de Morlaix à l.oc( uénolé. au enls pour ivresse pul>lique. 1 i lieu dit Toul-.^lao, dans un virage, jiour tapage nocturne, 1 pour ivres- M. Lacut, négociant on T S. l-\ à se et tapage nocturne, I pour - Morlaix, se dirigeait vers Carantee fraction au code de la roule, M dans une auto qu'il conduisait, en pour infraction à l'arrêté )réfecto- U'iiant striiieent sa droite. ral du.") ars LKi.'i. Coe il se trouvait dans le virage de Toul-Mao, il vit arriver en sens inverso un autocar ai)partenanl à M. Irvoas. do L()C(iuénolé, Au Palais Nous soes heureux d'apprendre ([ue M. Crouan, juge de ',V' Ce dernier, déporté sensibleent conduit >ar.m. Théophile Pape. classe au tribunal de 1 ' inslance de Morlaix. vient d'être prou sur place à la 2' classe. Nos vives félicilalions. Line hattue aux renards 11 y a ( uelques jours, une battue aux renards était organisée,-sur le territoire de la coune de Sle- Sève, par un groupe de chasseurs de Morlaix el de Pleyber-Christ, sous la direction de M." (iuégol de Traoulen, lieutenant de louveterie. Au cours de la journée, un renard et un blaireau de forle taille furent abattus par les adroits chasseurs ( ue nous félicitons. Avis de la airie L'allocation aux vieillards, inlires el incurables sera jiayée, au bureau de Ijienfaisance (rue.\nge de Ciuernisac), lundi II juin, de U à 12 heures et de Ki h. ;U) à Kl h. L'allocation aux failles nobreuses el la i>rie d'allaiteent seront )ayées le êe jour. sur tia gauche par suite de sa vitesse, accrocha on [lassant la voiture de M. Lacut, puis alla se jeter contre les rochers proches. I.es dégâts sont peu iporlants. C.onstat de.m Squiban, huissier à Morlaix. L'nc i'ciiinic et une fillette.seul rcnversée.s par une aalo Saedi, vers 20 heures. NL Beiizit, coerçant, deeurani à Pleybor-Cbrisl, faisait arche arrière dans une aulo qu'il conduisail, rue.\nge-de-(îuernisac, après l'arebe du viaduc, se dirigeant vers la rue de Ploujean. Soudain, Me Poslic, 20 ans, qui traversait la rue pour rentrer cluv. elle, portant sa lillette, âgée de ;i ans, sur les l)ras. fut heurtée par l'arrière du véhicule el projetée sur la chaussée, Me Poslic et saillie, atleinics tîe contusions nuilliples jiaraissanl sans gravité, reçurent les soins de M. le docleur Le Duc. Le brigadier (Charles el l'agent Moreau se sont livrésà uneeiiiète.

7 - l 7-t. ' I^a Tribune fi ^. 1 ' - XI Ï Koriau-Soectacles CINEMA SAINT-MARTIN Saedi i) (Soirér) Diinanclie 10 (atinée cl soirée) ACTUALITKS Une fois dans la vie I la Belle Marinière I : d'apiés la coédie lie M. Acliard : et lui drae policier î j avec Clive BUOOK j i Sherlock - Holes j A partir de la seaine prochaine la atinée du dianche scia siippiiée, soirée coe d h bitiide. Sans laisser de traces Un Monsieur bien habillé Ail pays de Morlaix L'arc de triophe de Lapaul-Guiiliau La paroisse de (iuiiliau avail autrelois ])our Irève une ijiorlanle l'raclion de son terriloire connue sous le no de I.apaul-15odénès. donl l'église, ilédiée à Noire-Dae et à saint Pol, passe pour avoir été bâtie sur replaceent d'un onaslèio l'ondé par l'évangélisateur du Léon entre ri'^lorn et la Pen/.é. Il y a en Léon trois autres lieux ([ui i)orlenl le no de Lapaul, à savoir : Lapaul-i'Ioudalé/.eaii. I.a )aul-lmoiiar/.cl, paroisses, et j RIALTO-CINÉMA 1 I.apaul, villai^e d'ouessanl. Par : ailleurs il existe en C.ornouaille : (,eue S( :uiie : une coune île Paule dont le j Madeleine HliNAl'D j no se prononce l'aoïil ; et l'on : Pierre HLANC.llAU peut noter (jue la (À)rnouaille brittani( iie. elle aussi. i)ossède une j Jean C.AHIN î paroisse de Paul, voisine do Pen- : et Rosine DllUKAN S /ence. Si l'on ajoute à ces divers s dans I to )i)nyes les Tréhaol, W's Kerhaiil, les Mt'f:/>(iiil, etc.. disséinés à travers le pays l)retonnant. on i)eul se rendre copte d». la dillusion du culte thi preier évè( ue du l.éon, i ui a laissé lians les nos de lieux lie chez nous, les traces inlinient plus nobreuses ( ue celles laissées par d'aulres l'ondateurs d'évcchés, coe saint (À)renlin el saint l^itern, par exeple, ilont aucun toponye. à a connaissance, ne perpétui' le souvenir. A répoi ue de son érection, la paroisse autonoe, La[)aul-l)odénés abandonna le second éléent de son no pour le replacer par le no de sa ])ar()isse-ère, (iuiiliau. G\S DE MCRLALV B. A.P. cl B. P. E.S M. 11 esl rajjpelé aux candidats ( ue ces épreuves auront lieu à Brest les ;U) Juin et l'''juillet. Hasseblenienl au Polygone de la Marine pour les épreuves de lir à «S h.'io le atin. Challenge d'athlétisine Les chapionnats auront lieu le 17 juin, celte année el coporlcnl les épreuves suivantes : A Li:.sM':vi-:N Seniors , L.'jOO., ;i.oo(l lu. Sauts en hauteur, longueur et à la perche. Poids de 7 k li,')!) el disque. Helais 1 \ 2M. el.")0()!- ioo ;i()0 ' 200! 100. luniors. (io. Uelai 1 x 150. Sauls en hauteur, longueur perche. Lancers du jioids de.") kilos el dis- ( ue. Miniiius..')(). Sauls en hauleur el longueur. Les entraîneents délinilil's auront lieu ardi el jeudi à 'JO heures au stade de Coalserho. Présence indis )ensable de tous les seniors, juniors et inies. MARCHE Le Circuit de Lannéanou 17 Juin 193+ Xous inloroiis les archeurs du Kinislèie que le 17.iuin se disputera, sous le palronage du Coité des Fêles de Lannéanou, une épreuve de 9 kiloètres environ, dotéé de lioo ivs oe pri.x. Certains excellents alhletes du Club Sportif.Nlorlaisien ont assuré les organisateurs de leur participation. Fspérons que quelques aateurs de la région \oudront l)ien se esurer à Alors (lu'elle n'était encore (ju'une sii)le tré\e, Lapaul décida de bonne heure de participer leur tenir la dragoe haute. ceux-ci et qui sait V - peut-être il arrive lies hoinines trcs iiilclligeiits de vivre bcleenl. (a'iu ne au grand ouveenl arlisti( ue Les engageents sont re^us jusqu'au joui de l'épreuve, chez M. Razer tloil pas nous élonner, car soin eiil, dans ie(]uel de\aient se lancer ces lioiues-là onl le lort iraccorder trop peu d'ipoi laiice ai:x pc- (luanlité d'aulres counautés président du Coité des Fêtes de léonnaises. Il est êe rearqua- Lannéanou. liles olioses. Les ibéciles ( iii vivent d'une anière inlelli{4enle ail devance sa paroisse. ))le à cet égard que la succursale sont-ils oins nobreux? I,a statistique ne nous l'apprend i)as. Je i:n ell'et, lenlrée de (iuiiliau -se cciirra le 29 uillct Plciicscat-Morlaix-Ploucscat peux du oins alliier (juc j'en ai dans la copétition artistique ( ui connu un se anilesla plus particulièreent l'ne grande éi)reuve de arche C'était M. Malilal. Tout le onde! t-'h I>fon au cours'des xvr el xvii- ise disputera le 20 juillet prochain connaissait son no. car il n'avait siècle, seble êlie aniuée par la sur le )arcours IMouescat-.Morlaixrien d'autre à l'aire que de se pio-''"'idalion de son calvaire, dont le Plouescal, soit sur une distance ener lenteent dans la ville en socle porte la date de l.');u); ais le d'environ M.') k. fuant des cigarettes, lit. coe porche de l'église de Lapaul. esl, Déjà, l'aiée dernière, l'épreuve à toutes les êpoijnes de l'année, sa ini. de l.').'!;! ; el si le dais (]ui cou-^ St-Pol-de-Léon-Plouescal-Morlaix toilette élait celle ([ue coandail ronne ce onuent est contepo- avait enthousiasé les sportifs du l'état de l'atosphère, on rear- rain à (juelques années près de Léon et les organisateurs, heureux ( uait son élégance ipeccable et l'etle dernière date, il faut voir du succès, avaient décidé de faire l'on finissait toujours par dean- dans ce travail la ineniière ani- ieux encore cette année, der :«Qui est-ce? I l'eslalion connue du slyle lîenais- ij'après les preiers rensoignel'n de ses cousins 'avait fourni sance dans tout le Léoii. ents, ce but sera atteint el nous sur son copte < uelques rensei- La lourde Lapaul. ( ui date de 1 é p r e u v e faigneenls précis..m. Matilat, ren- est encore antérieure à tous ^ih'v l-^-'o"', lier, avait vingt ille francs a dé-, i^s grands clochers Renaissance de grandes lignes le penser par an. Bien ([u il lut celi- Léon el de Cornouaille, el aniue bataire, ce revenu ne lui aurait pas ainsi une avance assez considéra-: ^^ du «tour du Léon» peris de ener une existence de celle siple église trèviale le i)atronage de la fastueuse. Mais il avait peu d'ia- sur (luanlilè i uanl!lè d (t églises egtises paroissiales. p: J^'esl el se disputera gination et peu de désirs : il était i sous les règleents de l'l'. 1"\ Des différentes annexes et de avec le contrôle de ses délégués el sobre et frugal ; et très lût, il se,,,..... r contenta délinitiveent de la sa- ' oi.ilier de cette eglise, du Club Sportif Morlaisien. tisfaction d'être, toujours et par- '.'f 'i"'ons rien, a 1 exception 1 i,, départ aura lieu à Ploue.scat tout, un onsieur bien habillé.. ^ f'op «e (jui sert avec passage par : 11 résolu ainsi le problèe du ' ' ' i Kerlissien. Créach-Avel, Cleder, l)onheur sans beaucoup lèlléchir,. I Sibiril, Plougoul. St-i'ol-de-Léon, car il était bête. Mais, avec de Tin : I-t'S portes triophales de cie- Plouénan, Pei.zé. Morlaix. St-Marlelligence.il n'aurait sûreent jias licres s'accliatèrenl en lirelagne lin-deschaps, Sie-Sève, (iuiclan, trouvé une solution eilleure. > pendant la iièriode gothique el ce Plouvorn. Herven. (>lè(ier, arrivee Trente ans desuilc,sa inisesoignée! genre architeclural a fourni des lui procura des jouissances (pioli-1 spéciens plus ou oins ai-- diennes ([uanls à La Martyre, à SI.lean 11 n'était jaais i)ressé. Ca lui du-doigl. a Noire-Dae de Chàperinettait d'oijserver toutes l'es rè-! teaulin. à Penarc'h, etc... Mais gles de la politesse et (Féviler, dans la Kenaissance devait lui offrir de la foule, les gestesbrusijués el a-, nobreuses occasions de se ré )anladroits. On surveille, d'ailleurs. ' dre en jiays bretonnanl, et parlicuses ouveents d'une aniéré licreenl dans le Léon, ( ui possède les plus parfaits ou les )ius plus attentive lors(iu'on craint les vilains )lis ( ue pourraient prendre curieux (lu genre, avec ceux de les vêteents. Sizun, (le Sainl-Thégonnec, de Monsieur MatifaI achetait clnuiue Herven, et autres... jour \'I-kli() de Paris, ce (jui con (A'lui de Lapaul, algré ses vient à un.nonsieur bien habillé ; )r()porlions )lus restreintes, ne et, au café, il parcourait le 'icps. inaihiue pas c e caraclèie. (doine Jùi lisant toujours les êes journau.x, on finit i)ar avoir (juebiues nec, il esl accolé a une ancienne ceux de Sizun el de Sainl-Thégon- opinions stables ( u'on exprie chapelle funéraire. A cause de son avec aisance. (>onie sa vie inlellectuelle élait de faible intensité, seule ouverture entre deux pieds- éiroitesse, il ne j)résente ( u'une notre quida n'éprouvait d'ailleurs droits donl les faces extérieures pas souvent besoin d'éettre des sont ornées de colonnes dori( ues, irtées. 1-hi général, il ne i)renait el (jui soutiennent un enlableenl )art aux conversations ijuc par sa anière polie (Fécouter les autres et par ses.sourires approbateurs. cause de son silence el de ses sourires, beaucoup de personnes lui faisaient la répulation d'un hoe réiléchi et spirituel. Sans chercher, guidé par son seul instinct. il avail tout de suite trouvé le oyen le plus siple de i)araitre intelligent. Mais il (levait surtout son bonheur à la certitude ( u"il avail d'être bien habillé. 11 jouissait de la déférence ( u'on lui anjuail partout et (ju'il devait à sa ise élégante. Qu'il se onlràl de dos. de face ou de profil, il ne pouvait pas être gêné j)ar les regards ( ui se )Osaienl sur lui. 1^1 il ne connu jaais cette tiidité (jui lorlure irainl jeune hoe pauvie. Il était bele. Le soeil de sa pensée n'était troublé (jue par les discussions ijuil avait avec son tailleur ou avec son cheisier. Mais un ibécile très i)ien habillé peut traverser la vie avec une assurance, une sérénité (pie désirent vaineent les alheureux qui ont un cerveau et une àe... AUSKNi:. v-hargé d'une élégante balustrade. Sa plate-fore, coe celle de Sizun et celle de Berven, a servi de chaire à i)rêcher à l'occasion de la fêle des Morts. Illle sert, )résenleenl, de socle à un calvaire rudientaire coposé d'une croix principale, avec croisillons inférieurs porlanl d'un c(')lé la Vierge, de l'autre, saint.lean ITlvangéliste el des croix des deux larrons. l'ne inscription esl visible sous la corniche li és saillante du onueiil du c()lé du cietière, et ra )- pelle < u'il fut exécuté, en KKIO, < u leps de M. Haniiou el de K'ertangui, fabri( U('. \'u de la rue (pii traverse le bourg. lois( u'on arrive du c()lé de Landivisiau, l'arc de triophe de Lapaul fore un enseble charant avec la croix du cinielière, plus archaï(iue, ais alheureuseent utilée en partie. Il léoigne de l'existence, au xvir' siècle, en cet huble bourg breton, d'une aristocratie i)aysanne ouverte aux choses de l'arti et (jui, rappelonsle, a le érite d'êlre venue à ces choses bien avanl les populations de paroisses plus iportantes. F. (loi iivii J à Ponl-(.hrisl, en Plouescal. Tous les clubs de arche de I Ouest sont invités et cerlaineenl nous verrons un bon nolire d'as. ( ue la dislaïu'e n'ell'raye )as, lutter faroucheent pour enlever la eilleure place. Des prix intèiessanls viendront récopenser les eilleurs. Notons dans la liste : une chabre à coucher, un sei N-ice de table, une bicyclette, elc. Des prix s )êciaux seront attribués aux eilleurs du déjjarteenl..\vec un tel prograe, le succès est cerlain el. sur loul le )arcours, (le nobreux s )orlifs snivronl a\ec inlêrêl celle grande épreu ve. Nous en reparlerons. Les engageenls sont rei-us, dès aintenant, au siège du {>lub S )orlif Morlaisien, 2, place hlile Souvestre,,Morlaix. V/ y y '"-i M. GLASER, 44, Boul. Scbastopol - Paris l'cai-ni.ssciii- des AsKiiriinccs Sïciiilcs <lcs.seciclés ilc.scc-oiirs Miiliicls (Ic.s Ciniiulos A(ltiiitiislr;ilioiis JE s.s UIJFHH. C usl 1.rTTMTiiatiMi (! touifi.'! Int ikm-soiitic'!.iiiciiiin!-' (le licni tiii ont poi'ii^ ic tioiivcl.ipiiarcll sans reo.sori il. PI ACC3 " 'fin' SiK-clalLsic (11' M. ulatfcn PARIS. 44, Rd SÉBASTOPOI Kn a.lopiaiil wi noiivd.ni.x appiirt'us, doni l'acllonblciiliil'.aiiio se n'allse naii» gënc.sanssoullranrrw ni lnlcrruptlo>i(i(! travali, les hurnlea l(;.s plus volnlncunes «M les plus rchclle» diiiiitiucnt.naiiian('!in(!nt rte volue et illsparalsscnl peu à peu coplèteent. Devant de telb r(*siiliatp garantislonjourspar écrit, tons ceux atteints de hcrnlo dul vont «'!' dre.sser sans retard îi M GLASER ifnl lenrfci. ffratullonipiit l'esshi do «(ïsanpai'cll.-i ilc '.1."i < h. 'i MOULAIX, '.I.Iuin, h(')lel du crée. SAINT l'ol-dl-; LF.ON, iirdi )'2juin, hôtel de imiincc. LANI>lVlSlAt, I.Hjuin, hôtel du f.éon. CHUTES MATRICE et tcus Organes, Varices, Orthopédie GI.A.SKR, 44, nd SL-bnstopol - PARIS Les Propos de Sosfhène 'C'est on ton naturel" Dans la aison contigiie à la ienne, habite un inénaj;e (jue j'ignore,.le sais que ces personnes s'appellent M. et Me Uouleau, pour avoir vu ce no sur l'enveloppe d'une lettre que le facteur, un jour, j^iissa )ar niégarde dans nia boite. A part ce détail, je ne connais rien d'eii.x ; j'en suis d'ailleurs fort aise... Oh! rien., rien du tout... On insistera : Quoi Klle n'est pas boinie?... Faites un petit geste de la ain, avec un air gêné : -- Mais non, ce n'est rien... Rien, viius dis-je... Un siple petit ver... Ah?.. A pai lir de ce inoent-r", angez en paix vos trois cerises. tous les convives, fort occupés, vont passer le lesle du déjeuner à décortiijuer leurs fruits un à un, à les exainei avec éliance, à retirer la peau, h les anger sans hâte, et êe >i v décou- Le Petit Avocat-Conseil TOUR D'ÉCHELLE ET CLOTURES Le tour d'échelle C'est une servitude qui donne au propriétaire du bâtient auquel elle est due, le droit de poser des échelles et des échalaudages sur l'héritage voisin, quand il veut réparer son ui. Celle servitude n'est établie ni par Line fréquentation assidue de ces vrir des petits vers qui n'existe, ont bonnes gens doit être pénible, en el- dans leur iagination... 1 nar l'analotme ciue l'on ne. r, i > hr let. pour autant qu'il e soit possi- on repassera le plat, il v a " " clablu ble d'en juger à travers la ince épais seur du ur qui e sépare d'eux... C'est que l'audition de la voi.\ de.^le Rouleau est un supplice encore inconnu jusi u'à nos jours, (^'est surtout le soir, après huit heures, quand le silence solennel et angoissant plane s ir la cité et iiue, seul dans la aison, le lic-lac onotone de la pendule se lait entendre, que sévit l'insupportable crisseent de l'haronieux organe de a voisine. Celle voix, grossie par la distance, linle dans on bureau, stridente, toujours trop élevée de i uel( ues notes trop aigi'ies, toujours foicée! aussi... File fatigue l'oreille, y produit un chatouilleent constant qui exaspère a la fin....renleiuls alors, une voix de basse : c'est y\. Rouleau, sans doute. ( ui ré )ond... Puis, la voix leénine s'élève encore davantage ; elle se tend, enlle, éclate, vibre et vrille le lypan... Hier soir, coe le silence lugubre, seblait se taire encore ()lus pesant, les êts sons suraigus giiiicèrenl soudain, puis.se turent brusqueent, l'i les paroles.suivantes de M. Rouleau 'arrivèrent : Mais, je t'en prie, lloitense. n'aie donc pas toujours ce ton. coe si tu étais en colère!.. Ft l'organe de Madae Rouleau crissa : Mais, Jules, ipiel ton.. C'est on Ion naturel... Son ton naturel, dieux de l'olvpc : (jue serail-il s'il lui prenait lantaisie de de\enir.surnaturel '.'... Ah! le «Ion naturel» de certaines fees, cobien il est faux et discoidanl, parfois, et qu'ils sont à plaindre, leurs époux, s'ils ont l'oieille usicale suiloul!... Û û Pour ceux qui ronflent L'hoe le plus spirituel el le plus charant, tant qu'il est debout, peut devenir odieu.x dès qu'il s'endort, pour peu qu'il ronlle Il n'y a pas d'aitié, pas de tendresse qui tiennent contre le ronfleent ; le ronlleent provoque la férocité, et un ronlleur est exposé à recevoir un auvais coup de la ain de son eilleur ai. Car le ronlleur est obstiné dans sa usique ; le réveil, les bousculades, ne le font taire que pour un instant ; il reprend aussitôt. et avec un» descende» particulier. arrive rapideent à de terribles iitations de torrent qui gronde... On ne s'iagine pas la puissance que peut acijuérir le ronlleent chez des natures d'ailleurs délicates et luietles : des êtres vaporeux, qui ont passe leur journée à gazouiller coe des oiseaux, passent leur nuit à ugir coe de grandes orgues, et ce contraste a parfois des etlets désastreux sur le bonheur des énagés. Le beau sexe, en effet, n'est pas exept de celte infirité : on est êe forcé de reconnaître, si pénible (]u'en soit l'aveu, que certaines fees sont aussi fortes sur le ronlleent que sur le piano ; eh bien! une fee qui ronlle... je ne vous en dis pas davantage. Donc, essieurs, el vous surtout, esdaes, appliquez-vous à ne pas ronller et à ne pas dorir la bouche ouverte ; vous y gagnerez d'abord ce soeil cale el silencieux, qui ne )rovoquera ni le rire, ni la colère de vos voisins ; vous y gagnerez aussi de vous réveiller avec une bouche bien plus... salisfaisante ijne si vous l'aviez tenue béante toute la nuit!.. O Û Û O Dn bon truc Nous soes à l'époque des cerises et, chaque année, à celte saison, des souvenirs de jeunesse e reviennent. Ce que je pouvais les adorer les cerises 1 ais, cobien rareeni bêlas je pouvais en anger à on saoùl. On vivait sipleent... Nécessité rend ingénieux,.l'avais trouvé ainsi, pour diverses circonstances de la vie, des trucs qui e perettaient d'arriver à es tins. N'oici, à l'usage des gains d'aujouid'hui, le "truc que j'eployais pour les cei isés : Vous êtes en faille : on apporte, au oent du dessert, un petit plat de cerises. Ft vous constatez a\tc inquiétude qu'il y en a )eut-êlre en tout une cinquantaine pour six personnes. Quand on vous passe le plat pour Co- la preière lois, n'en prenez, très discrèteent, coe vos voisins, ( ue II ois ou ( uatre au axiu. Croque/, résoluent la preière ; puis tirez la viveent de votre bouche, en la posant delicateeiit sur le rebord de votre assiette. - Qu 'y a t-il V vous deandera-t on. Haissez les veux : I ' Connue toute seivilude, elle peut soyez seul a reprendre tl<-'s cerises.... ('elle recelte, qui donne les eil ' 1,., leurs résuhals. se 1 ecoande. signalons-le tout de suite, plus par son ellicacité el [)ar son ingéniosité ( ue )ar son honnêteté.... Ft il sera bon de ne pas l'eployer trop souvent... û û O L'école des journalistes Quand un candidat journaliste se présenté a la rédaction d'un journal, on lui faii passer un exaen. X'oici prive, jugeent ^ous-seg hi Par la destination du père de faille : < ) Par prescription trentenaire. lîlle peut résulter des usages locaux, l-n l'absence de titre, de prescription, d'usages locaux, que devra faire le propriétaire qui désire réparer sa aison et qui se trouve dans la nécessité de pénétrer dans I héritage voisin afin d'y dresser des échelles ou établir des échafaudages? a) S'entendre aiableent avec le voisin ; (luekiues-unes des questions (pi'on lui pose : b) A défaut d'entente, appeler le Deande : Quel procédé t'n référé devant le président plovez-vous pour paraître bien I '''''""al civil, qui déclarera l'ur- infoi iné? Réponse :.le publie un laitdivers vieux de plusieurs seaines el denniité qui peut être due gence et noera un expert chargé de diriger les travaux et fixera l'iiije déclare : «Seuls, dans toute la presse, nous avons annoncé dans notre nuéro d'hier, etc...»!) Coent terinez-vous un ariicle auipiel vous voulez donner un caractère exceptionnel de tinesse el de prolondeui R 'rrië'la ine par des points ' ^ o ^ ^^ d^ suspension qui vjulent eil dire i^^.^v^i;.'ïe'ïsi^r'^'" Les clôtures t'n héiitage est réputé clos lorsqu'il est entouré d'un ur de avec porte ou barrière, ou lorsqu'il est entouré de palissade, de treillage, d'une haie vive ou sèche, faite selon /; - Coent enregistrez-vous I, propriétaire peut clore son un déenti cinglant pour en delruirel'^'l T ' ' P""'" ' ^Tf i nr riîn;-ou ^ nos ^n^siif n'aul;; K.: f d! ^^ ^^ " conslater, confirer de ce point déenti point ne fait l e. v I a i t i - i P""'.' ' exploitation, soit agricole, soit industrielle de sa protude absolue de nos inforations I). Si un buveur distrait absorbe 'l*?,'^',,., de l'acide phénique au lieu de ihu,, ^^'lacun peut contraindre son voi.sin. coent,îualifiez-v.sref.i.-,liver.'^i qualitiez-vousce fait-divers R..le l'appelle une fatale é )rise. taubourgs, a contribuer aux constructions et réparations /). Si un inculpé esl condané, de la clôture faisant séparation de que dites-vous? leurs aisons, cours et jardins, assis R-.le dis (( Malgré la brillante ès dites villes et faubourgs. plaidoierie de M' X...», etc.. La hauteur des clôtures est tixée /). Ft s'il est aciiuitlé? suivant les règleents particuliers ou R. Je dis : «Grâce à la brillante les usages constants et reconnus ; et. à défaut d'usages et de règleents, plaidoierie de M"".\ A -^Oue vont chercher à Paris les! ^^^^aration entre voisins. qui sera construit, doit avoir au grands artistes? R. La consécration détinitive de leur talent SOSTHFNF. oins.>. 20 de hauteur, copris le chaperon, dans les villes de."io.ooo âes et au-dessus, et 2. (>0 dans les autres «aaa Le ur doit être en pitrres et.içonnerie, suivant le vœu du législateur. Celte clôture ne peut être ni en bois ni en pierres sèches. De êe, la palissade, la haie ne sauraient être considérées coe clôtures. N.VISS.VNCI-S L'épaisseur n'a pas été lixée par le.\lanistepban,quar ierduchaleau,m^ ais il v a lieu de la J^ Etat-Civil de Morlaix du 'M.Mai au 7.Iuin t Ils de Adrien e de Madeleine Char-!,onsidérer sullisante pour soutenir le bonnier. - Jacques Le Coz. /.; poids de la açonnerie. Les fonda- Crand kue, hlle de Auguste et de j^j.^^t ^^^^^ Marcelle Le Co l.- Ceiard llenno. ^i^^.j,,,^^ ne puis.sent passer d'un quartier du bateau, lils de André et ^ -,, de Pau elle Bassier. - eannine Ra-1 Co oréenl aux dispositions de ron.,0, rue Gabelta, lille de han- VOIS et de Miuie jvuv --.André p,-ietaire peut contraindre son vjisin kaoïil, 1, ruede Callac.tils de Rene,,o,,ibuer à la construction d'un et de Cerinaine.legou. ur de clôture et à frais connnuns. l'i;ni,u:.\ru)ns Ce iendant, tout copropriétaire d'un Henri Auger. journaliste à Tours "'ui' itoyen peut se dispenser de et Louise Cuiader s. p., 12, route de! contribuer à la reconstruction en Paris. -- Henri Raoul, enuisier, I abandonnant le droit de itoyenneté. -L'i. rue du Mur et (leraine Abgrall, I pourvu que le ur itoyen ne soucouturière. S, rue des Brebis.! tienne pas un bâtient qui lui appar- Louis Callarec, plâtrier. Château tienne. Treblant et Marie Raoul, couturière, i L'câcût des toits.(.s, rue du Mur. I -r, ' lout propriétaire doit établir des.m.mu.vgiis, anière que les eaux plu- (kh)rges Chochon, conducteur de viales s'écoulent sur son terrain ou travaux et Renée Le Golf, s. p. An- sur la voie publique ; il ne peut les dré Ménez, lieutenant au 2'' R.l.C et faire verser sur le fonds de son voisin. Anne Ascornet, s. p Louis Ilerry, Du oent oîi les eaux sont tobées co )table et Juliette Houlhic, couturière. sur le terrain du propriétaire du Dicciis toit, l'article tilo du Code civil joue,! et les eaux peuvent suivre la pente François Herry, époux de.ieanne ' naturelle du terrain, sans que le voisin Ollivier, (>2 ans S ois, quartier du ail à se plaindre. Mais si l'eau est Château. Anne " Le Co'z,' slfans j conduite du toit au sol par des tuyaux. ois, quartier du Château. Charles Cadiou, époux de Marie Gaouyer. 13 ans i) ois, 2(), rue du Mur. - Sione Madec, 7 ans I ois, quartier du Château. Marie Bougeant, ans S ois, quartier du Château..lean Fery,.îS ans, t uartier du Château. Marie Fouler, 1 an i ois, quartier du Château; Fraincis Picart. veuf de Anne Le Bihan, S2 ans.') ois, quai de Tréguier. - (ïuilleelte Troadec. \'ve de Becca, 77 ans 7 ois, rue Sainte-Marthe. Marie llliès, Vve de François.NIadec, ()i) ans ^ ois, quartier du Château. Frnest Le Roux, époux de Marie voisin Dollias,..S ans Château, 1 ois, quartier du elle peut provoquer un ruisseau sur le voisin, et l'article ti^o n'est pas applicable. l.es eaux doivent tober à une distance supérieure à 1 ètre de la liite des héritages. Celte distance est généraleent lixée au double de l'avanceent du toit. Si l'héritage voisin est clos, le caniveau servant à 1 écouleent des eaux pluviales (caniveau longeant la clôture) doii être pavé, alin de ne pas nuire aux fondeents du ur de clôture et éviter les infiltrations qui pourraient se produire sur le!ond t^n caion flabe Dans l'après-idi de ercredi, sur REMERCIEMENTS la route, entre Morlaix et Quiper. un caion chargé de coke, appartenant à MM. Prigent et Lautrou, garagistes au Chap-de-Bataille et qui M. Charles CADIOl' el son lils : M. el Me ('.. P1:NN ; M. et Me aenait son chargeent à Morlaix, a L. KAOl'KN et toute hi faille, i teu et a été'coplèteent detrês touchés îles nobreuses inarques lie sypathie reçues dans Iruil. On suppose que le sinistre aura leur deuil, "prient les personnes qui été causé par des étincelles, sorties les leur ont téoignées, de trouver ici l'expression de leur profonde gijatiluite. ; du pot d'echappcent el se couniquant au coke, vint tlaber la carrosserie du véhicule, dont le chargeent seul était assuré.

8 I- ^v l-'-a,'' t.a 'l'pibnnfî s W M : J P e i n t u r ' e s e n t o u s G e n r e s - D é c a r s Anciennes Maisons JFLOCH A \icoi.as frères S, Elue Oawnhetta ^ Droguerie T^iép. a. H2 firtgnd Chix Succursaie à Cafftn/et' TéiépHone 0.27 Chronique tie i'ttpiers JPeints l-^xcltisinli' ihiiir lu rriiioit dca inartiiics Daas, Pcters Lacroix i'ouot, Landy, Saliihrn Travaux d'eglises et d'apparteents de Tiuito L art de changer de vitesse Il l'aul bien ieconii;tilro iiiu' l'i.' n'esl i)as au cours clos i ufiiiui's leçons (lui nirnonl au pi'iniis (kconduire que les néopiiytes do laulo peuvenl apprendre à se servir forrecleuienl ol à [tropos d'une boite à vitesse. Chanj^er ilo \ilosse est une oj)éralion ( ui oxiyo du tact, de l'aisance et de la précision, l'iiliser au nùeux son véhiculé avec l'aille du chanj^onienl tie vitesse est presi ue une science (jui deande iiuel( ues connaissances en écanique Aussi, les ni)uveaux venus à l'auto sonl-ils bien excusables de l'aire crier, de teps à autre, les engrenai;es de leur boite et d'utiliser leurs iap )orls le plus souvent à contre-sens. Loin do leur reprocher leur inexpérience, nous allons lâcher, en quel( ues lignes, de les réconcilier avec col ori;ano un peu ilélicat qui lut notre cauchear. à nous aussi, lorsijue nous étions débutants. poignet pour arriver à ettre en prise deux engrenages, il sullit, sur les châssis actuels, de pousser sur le cran voulu, du bout des doigts, le levier qui est suronté est-ce assez signilicatil? d'une boule et non d une poignée. Donc, point de bndalité. ais de la délicatesse et de la décision, itigées avec plus ou oins de vélocité suivant le caractère do la boite et, surtout, de la nature de l'ebrayage. spécialités «le St-OolftMin Clucfs cl l'arc-lirisc pour Aillas les l'aire cior dcsospéréonl au secours: ils ne peuvenl. en eltet, poi lor inslanlanoonl la vitesse de l'arbie priaire de l.soo (vitesse à la( uollo il se trouve au oeni où on débravo), a L'.MHI (vitesse à laquollo il tourne lors( u'on est sur la socondo). Si nous voulons jiassor convonabloenl de la Iroisioe à la seconde, il nous iaudra olvecluor une aniouvrc poretlanl d'eballoi l'arbre ii iniairo avant do le olli t' en prise C'est la inanœux ro dilo du double obravage ( ui se prali(iue ainsi : on débraye, on et io levier do vitesse au )oinl ort, ou obrave, on eballe le oteur et. par sûile. l'aibre priaiie, ol, lorsque ce dernier a a'.toint une vitesse sunisanlo, on débraye el on passe à la seconde, ('elle nnino'uvre seble un peu coni ;li( uéc, ais, en fait, on ariive Iros rai)ideenl à roil'ocluor satis hésitation ot sans dinicullé. Du peul nu''e la sinipliiior nolableenl en aenant le levier do vitesse de la prise directe au point orl sans débrayer. i;i)(i,\hn, chaun'eur d'aulo. Tout il'abord. si des conducteurs un peu neufs passent al leurs vitesses, c'est, le plus souveni, iiu'ils ont appris.à conduire sur de \ieux «lacots» ijui n'ont plus ([ue Assurances Sociales lies rapports très values avec l'auto Ccncours peur vin^l cniplci-s oderne. Alors ( uè sur les voitures d'un certain a^e. il faut développer d'in.-spcctcufs staàiairc.s quelque ell'ort ot exécuter i Par un arrêté du I!) ai lu.s-l, le parlois aintes contorsions du inistre du Travail a instilué un concours i)our un iniu de 20 eplois d'inspecteurs stagiaires des assuriinces sociales. Los épreuves écrites, jjour la région de IOuest, auront lieu à Nanles le 2 juillet. Peuvenl concourir, les Français titulaires d'un baccalauréat ou d'un diplôe éijuivalent, âgés de 23 à ;it) ans au 1 janvier l'.)!u. la liite d'âge de.'!(i ans étant reculée d'un teps égal a la durée des services antérieurs, civils ou ilitai- Considérons les lails d'un peu plus j)rès et prenons l'exeple res, ouvrant droit à la retraite. Les d'une voiture â trois rapports. allei-j^,.;,;ii,i.,[, doivent olre agréé.s pai gnant le 1;. en.seconde i.our une j le inistre, sur sur j)roduclion j)roduclion d\in d'un vitesse du oteur égalé à " 2 MJU '... j. certificat édical d'un édecin asseï enlé. Dos ajoralions do points sont accordés aux anciens cobattanls el rèloi ès do guerre. Le prograe du concours coin-1 prend des notions de droit pidjlic. i de droit civil el coercial, de i d'éconoie; tours inute el, en prise, pour une vitesse de l..s(,(). Si. a 4.") a l'heure, on veut passer de secondo en troisièe, il Iaudra laisser tober la vitesse de l'arbre j ni a ire, entrainé par le oleur. de 2..S()() à LcSOO, alin de pouvoir Io iiiellie en prise avec l'arbre secondaire ( ui, lui. entrainé par la transission, 1 législation linancière, tourne à ]..S(t(). Do'. au cours do la aihi'uvre. il nous Iaudra arp()rili()uo, do léj^islalion des assurances sociales (connaissance inuliouse (juer un léj^er teps d'anol au de la loi et du rèj^leenl joint ort pour )erellre à l'arbre d'adinislralion public ue), des priaire de retenir son allure. notions de j;oo};iapliio ai inistra- /ii)orlance adonnera ce teps live l'i écononii(jue de la braiice, 1 d'arrèt dépend de i inertie de l'e brayage ijui lait corps avec l'ai lu e priaire; c est au coiuclour de 1 apprécier..supjjosons ainlenanl ipie nous tenant toujours a la \ilessf de l.'> a riieure, nous voulions passor de. Iroisioe en seconde, ('-oinonl pluprocéderons-nous? une telle allure, si nous \oulions ell'ecluor cette anicuvre sipleent on débrayant et en tenant de eliro en prise les en^rcna}.;es donnant la seconde, nous n'arri\crions ol, ralculaliveenl, une sieurs!ani;uos élrauf^ores ou 1,0s deandes d'adission au concours doivoni parvenir au inisléie du Tra\ail. a\aiil le 16 juin 1'.).")}. La liste dos pièces à lournir ol lous 1 enseif;iionienls peuvent èlre obloiius au.service doparles.\ssuiancos sociales, à Qui )er, préleclure.'j èla^^o. Le Iraileonl des inspecteurs stagiaires est de 12.0(10 IVancs ; celui <les inspeiiours, de IjîOOOà' Jl :)(ll) lianes. LK CONCOrHS-KPHKlIVl': IH' Clli:VAl. NATIONAL DIC TIRAIT LL("iLl{. (".0 concours qui a lieu habiluelleont en juillel.aura celle année un allrail tout parliculier, du lail de la créalion d'une nouvelle épiouvo de traction sui- véhicule lourdeent chargé. Lu outre, nous croyons sa\oir ne la Société du Cduival National 0 Irait léger élabore en ce oent avoc la i-'odération des sociétés hip )i(iuos bretonnes, l'organisalion d'un groupeent de concn's (St- Pol-de-Léon, Le I''aou, (^hàteaulu'ur-du l'aou) auxquels seront sjjécialeenl invités les étrangers séjournant en I-'rance à cette époque. Les dates a(lo )lées el que iu)us donnons sous toutes réserves, seraienl ; (^hàloauneur-du-l'aou. Ki Juillet ; Le b'aou, 17 juillel ; Sl-Polde-Léon, IS juillel. Pour ce concours, nous ilonnerons i)lus lard le progrannne délaillé lorsque celui-ci sera délinilivoonl arrolo. Cavantea sricini':. - Uevona du lavoii-, lundi, \ei s 11 h. 1."), la jeune Léonline Léon, âgée de 17 ans, doeuraid à la (^roix, l'ul surprise de Iroux or la porte reroe. lih uiote, elle brisa une vitre el, par la lénétre ouverte, aperçut sa ore pendue au {)larond..\ ses cris. M. Kerarrec, arin pêcheur, accourul ol s'ouq)ressa do couper la corde. Suivant l'exeple ol les conseils de M. Le llénalv, inslilulour,.m. Pel lolioi-, douanier on retraite, el sa ^ l'oe ;.Mn)e ol M. Kerbral, doua- 1 nier ; les ou vriers éleciriciens do la Copagnie Lebon, s'eprossèrenl de donner à Me Léon les soins indi( ués el pratiquèrent longueent la iosj)iration arliliciolle. '.Mais, algré ces soins, le docleur Le lîihan, andé d'urgence, no j)ul (jiie conslaler le décès. La gendarerie a l'ail une enquête. Neuraslhéiutiue, Me Léon él; nu)nlèe sur une chaise, avait enl'oncé deux clous dans une poutre i el s'v était pendue à l'aide d'une ligne de pèche. Me Léon était veuve. Klle laisse dix enlanls vivaids, doul ( ualre en bas âge. fuiclan (ikani)i-: ki-:hi:ssk. - I luit jours seuleent nous séparent de la grande keresse! Son succès s'annonce coe devant dépasser toute espérance, liien ne anquera d'ailleurs pour satisfaire le public déjà averti, soit j)ar la voix dos joiirnaux, soit par les allichos. soil par les feuil'els-réclaes, soil par la gracieuse lellro d'invilalion du zélé recteur. Point n'est besoin do faire appel à la générosité des (iuiclanais, dos iu)breux ais de la pai-oisse. La plupart ont déjà donné, et nu'uu' Irès largooni, sans attendre la visite de nos charantes collabo ralrices. (MKU ue Joui', les lots alllueid chez les dévouées religieuses du pensionnai du Sacré-Co'ur. Les divers slands : pèche à la ligne, crêperie, pâtisserie, lingerie, bazar, anneau, lolorio nationale, buvette, ele., etc... sont, de ce fait, par avaiu-e. richeent pourvus. Le concours de tir )ourra. lui aussi, èire dolé do iéco )onses forl inlérossaides. (>eux (luo la chaïu'e fa\oi isera se verront attribuer soit un réveil de grande valeur, soil un slvlo à )lue en oi', nalurelle'onl soit un grand iroir do line ( ualilè. soil d'aulres objols précieux. Le Coité organisateur n'a pas seulenu-nt songe à l'osloac du sypa!hi( ue visiteur, ais aussi à son es )i il! C'est [)uui(iuoi, à di\eises repi'ises, au cours de l'aiirèsidi, tandis (jue de brillants acleurs du )alronage» corrigeront les nio'urs en riant», dans l'inierprélalion d'une courte coédie ilitaire : Pitou, colonel, l'excollonle el si réputée fanfare de Cléder, elle, les «adoucira» [)ar ses belles élodies. N'oubliez donc pas la dale de la grande keresse de (luiclan : le dianche 17 juin. L'occasion vous sera donnée de l'aire un gesie élé gant en faveur des n-uvres paroissiales, en passant ( uol(iues heures agréables. aaaaaabaabaaaaa»eaaaaaaaabaa> \^1a«xu^:»»ul^.<a «saibsta ttohwujûàiaiajrt ^ ' ' ' ' Tl ^ ^ l ^ i T ^ "Moîi JaidsfV' Revira do Jardinage ' THOUARS IO<-u«-Sov(cs ^^ es! Ifl guids praliqus des aateurs BSSSKSSûSbiSlw Iprierie - Mécanograplise Louis BOCLÉ 9 Rue Gahctta. IVIORLAIX - Téléphone 2.39 Tous travaux o o o o o Coerciaux Adinistratifs et d'edition Agence Reûionale des Machines à Ecrire " RËMIXGTOX " Atelier de réparations pour Machines à Ecrire toutes arques NOMBREUSES CCCASIONS Ueniin^ton, Underwocd, Contin, Royal, Olivei Conditions spéciales pour entretien périodique à doicile des Machines à écrire l OL'RNM'l UKES POUR TOUTES.MACHINES Pièces détachées, Rubans, Carbones, Stencils, Encres, Mousses, l''eulrcs, etc. VEME ET REPARAIIONS DE S'IYLOS \'oir notre Magasin d'exposition Ktudes (Je.M'^ COUilSIN el MANACll, ; Elude lie M" Georges BAGOT, avoués à Morlaix. Licencié on droit, notaire à Morlaix,.M<- HAC.OT et de LAI-l'OHHST, notaires à 7. rue de Paris. Morlaix. Vente par.suite de couver.sion de.sai-sic lin réliide cl )!ir le luinistère de.m' BA(i() r, notaire ;i Morlaix. Le Mardi 12 Juin à 14. Iicurc.s En la Coune ilc Plouûonven l'rtitnier Lot Ail \'illa^e de Miliacl-lîra.s l i\ IN'Iil (^orps coprenant : 1 L'ne Maison dite «Ty-Blan» 2- Une scuie :i porcs. ;'> Uni Caéclie. I' Le bout iiti d'un éiiilicc en ruines,."j La inoilic fhoiil idi) d'un édifice sous ardoises, (i- Moitié indivise dans ijuits et au(;ii'. t'ii ooiirlil. S l'àiiplaeeinenl à l'uniier et à bois à l'eu. Mise à prix Mêe Coune et êe Village Deuxièe Lot l im» (h' hihoiirahli' V Pare-ar-Bis», d'une contenance de is i ares 8'.» centiares. Mise à Prix : S.cco francs Mêe Coune et êe Village Troisièe Lot (le laim)iii*al>!r t Parc-Bis-Moan i>. d'une contenance de 1)3 ares ccnliares. Vente iviobilière et de récoltes A Roch-Ven, en PLOtIGNEAD a la rcfjuêle de M. 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CHEMINEES EN M/\RBRE l'as l'his cher iiik le boi.s l'arifs et 1 enseigneents gratuits J. METTERIE et F.. PINEAU C.are KI-HIU'ON Recherches historiques sur les Ville & Ccunauié de Morlaix par prancis foccin Chapilie 11 {Suite) ] vais levains qui bouillonnaient dans A.Morlai.x. on avait érijjé en thalles lia cité s'agitèrent, el Morlaix, sans et vendu les litres de la ;chels, sans police, sans lois, devint counauté, de coissaires aux Me Ihiâlie de /i/e/ie.s, de vols et de levues, de juiés ouleurs de bois et de charbon, de colonel, ajor et capitaines de la ilice, etc. l-'ollite de Maire a\ait élé vendu, de sorte qu'il y en avait deux, l'un syndic de la ville, l'hoe de la boui};coisie, son élu et ^on preier agislial, l'autre de la cour et de la sénéchaussée. Ne nous éîonnons point, apiès cela, que la léaclion des lioubles de la Fronde ait été alheuse dans le Léon. Lorst u'ils coencèrent, la houigeoisie ciemoiîaix, soit bouderie, ^oit décourageent, avait pour ( uelque teps abandonné la lice et ne cobattait plus. Blessée d'avoir été vaincue aigre l'appui de la couronne. lièie dans sa defaiie et pour ne point consacier la perte de ses I II aiu bises, elle s'était enlièreent reliiee de l'adinislialion. ne vuulant H)int se couibcr sous un joug, elle qui se piekndail à si bon dioit I aitressc. ('.'était eu vain queleioi, eu id.")!. avait puni de 20 livies d'aende l'ine.vaclitude aux sèaiiies unicipales : peu de jurais a\aient obéi. Ouand vinl la l'ionde donc, lous les au-! violences de toule espèce, h'n i(i.v). ides i.ito\ens élaieiil altiailés en plein jour par des olbcieis de la sénrthaussée : ihaïui).^e ren'eiait chez soi; les riches s'i iiibai quaienl. Les ca agnes n'étaient pas plus sûres ique la ville, et les habilalions urbaii;es et luiales constiuitcs à celle époque. Knjeau. 'ar exeple, attestent qu'il elail toujouis sage d'alliei au slyle aithilecltiial du Icps les : loi es cauleli u.'-es des anoirs léodau.x. L'art, eu (llet, ne pouvait pren- 'dreiin essor libie et banc, dès qui ; le loyei dcestique ic bairicadail i encore L'hôlel de ville, lui-êe, rappe- lait oins les lonstiuclions conle- I poraines que les vieux palais des agitateurs de la République l'ioieiiline. Mais il s'élevait hors des u railles, et la prudence avail voulu qu'on lui ipiiài le caiaclèie de sobre pesanteur que l'u'il vulgaiie prend pour de la lorce. A ces clés de voûle, vous auriez vu Cccliiiizait, h'nnuoi.s I", Henri IV et leurs aîtresses ; au laîle de l'éditiie. vous auriez distingué la slatue du loi Verl Ciilanl, et )ourlanl c'elail un Il isle palais. Un tel état de trouble appt la rallention de la lour. el le l'aileenl cilè une source d'cbairas el de dissensions, jaais, au oins depuis (il) ans. la counauté n'avait cessé de delendie éneigiiiueenl son ili oit lonire les.vollicilalions et les houleuses convoitises des gerlilshoes Léonais, Ouoi( u'il en soit Louis.\l\', alors à Nanles. lit ce que u'avaienl pas voulu laire ni Henii l\', ui Richelieu, ni Mazai in, et, un jour, en i()(io, un ol'licier de ses gardes vint.siglicr qu'à l'avenir le Taureau appai licndi ail au Roi. La ville, divisée, sans pioleclion, se laissa dépouiller de sou )lus beau lleuron coe si on l'avai! débairassce d'une charge, el, à vrai iliie. c'en était une. lille avail noé i)() gouvei neurs, légné sur celle loiteiesse pendant 120 années: c'était as^ez pour sa gloiie. L'Histoire de France n'oltie que ce seul exeple de souveraineté uni- envoya sur les lieux un ccnseiller consti utieur. M. de Sévignc, ( ui, en agisiiat intègre, fil un 1 ap )oii jusie el vrai. Mais les lails, sans doute, païuicnl liop graves, les coupables tio ) puissants ; les juges lurent lancés."-dus ain et il n'y tùl point d'ai lêl. Toutefois, cette enqi.éle lit ressor-1 cipale sur une plate loile lionlièie. tir la laiblesse des bouigeois, el la I Après cette conliscalion, le lorl ne nohles.se n'eût plus de peine à per-1 lut giic/e qu'une piison d'hlat. dont suhder à la cour qu'il était dangereux, le gouverneur ic(,ut HMIOO livies de de lais.'-er le coandeuu'nl et la la ville. \'aiiban vint l'augenler gai de d'une place de guerre, coe plus taid. le chi'iteau du Tauicau, à ces ai-i Le dernier Maiie coii'andanl de chands digénéiés. Il y avait long-j ce lorl unitipal lut Hertiol de teps déja^ qu'on exagciait à Ver-1 A'//r</.v. sienr de Kerwotfan. Le saillcs^n}poi lance de ce basiion. et! pnier Maire coandant avail été ;/yéiité, il était devenu pour la j en )5()i, apiès l'allianchisscenl, Aullroy (.'oail. Hn ititi.i.'h'ves de (îoesbiiand lui investi de ce toaiuleeiil avec livies de gages, cl la gainisou bour;;eoisc lut leplacée par un délachiiuenl du légienl de l'icaidie lîn 175)0. le gouveineui était le liculenant-général de.sai.lx Thavannes, ou un M. de Bruyère, el la garnison se coi)osail d'invalides, ('.es gouverneurs n'avaient jaais de lellies de coandceni ; c'élail oïdinaireeni un ancien olliciei qui l'exervait. Lors de la Révolution, celte place valait à peu piès '.'.oro livres cl I appartenait au ca )ilaine Ileisai 1- de la I \'illraiqué, dont le.souvenir s'est lassez longteps conservé à Laniiu-! guy. l'n savani de notre ville s'honore. : M. de Hlois, a iniblié. il y a deux ans. ' sur le château du Tauieau. une )elile notice loit curieuse, (l'our i ci article sur le ihàleau du Tauieau. voir l'euille d'annonces». in avril in.k'ï.) L'i nquêle de M. de Sévigné prouve cobien était ardente la haine de ces juges royaux, qui voulaienl s'inlroiiluiie eu asse au corps de ville et 'délibéier avec les jurais. Lu procèsiveibal iprié de i()3i établit, par exiple, que souveni ils contestaient le droit d'entiée aux jurais //<>/////(/- )iés, ou à ceux qui n'étaienl pas nobles licinnies. Tantôt, c'ét.iienl des quel elles de préseance et de céréonial. coe en ibyj, a l'occasion des conciles de la leiiie : tanlol. des disputes pour taire replacer les régents laïcs, que la ville avait depuis.jo ans au collège, par des ecclésiastiques, les levenus publics alleignaient alors environ lio.iioo livres de nos jours, ce qui est énoie, si on se iapi)elle que la noblesse ne contribuait pas aux charges ; ais la ville avait des délies el 120 pauvres qu'elle nouiiissail )our n'avoir pas a les ciaindie :(oii les les laissait vaguer et eiulier, en vendant la viande el le pain de l'hôpital) (Juant à l'hôtel de ville, il était en partie loué coe agasin : il contenait des IhHuhcnSs des écuiies et le Maire renionlil en ruin t/u'ou en jaisait nne véritable foinerie. Le vieux château ducal était à peu piès déoli, le roi en ayant, par lettres patentes, de i(i7o, concédé le terrain a la laille Duvigneau. La ville, du reste, et les paroisses voisines conservaient les anciennes clôiures et couniquaient entr'elles, à l'aide de () ponts en bois et 24 portes qui se leraient soigneuseent chaque soir, [à suivre). Certifié par le Gérant soussi^oé Pour légaiisalioq

9 Deuxièe Année - N io3 Hebdoadaire - 23 Centies Saedi 16 Juin s - 1-» JOURNAL RÉPUBLICAIN DE MORLAIX ET DE L'ARRONDISSEMENT RÉDACTION-ADMINISTRATION : IMPRIMERIE LOUIS BOCLÉ, RUE GAMBETTA. MORLAIX - TÉLÉPHONE «"fiy ^ t ^ COMMENT ORGANISER DÉMOCRATIQUE? (hiaïul la déinoi-ralio polituiiio! lc\s( uols k' ParleonI (.hoisirail. a été roiulée, il étail ilo règle (pie ' nouveau Sénat I l'.tal (levai! sahsler de toute inleiventiom dans Tceonoie. Dans un pays de haule eivili- Insensihlenient, au cours des:sation coe la b'i'ance, le r(')le trente dernières années, ou en des prolessions dites «libérales» esl arrivé, dans la prali(pie, à est de la preière i lortancc, ce régie ixte : j puis( u'cîlcs assurent es l'onc- Toute industrie prospère est lions, non plus atérielles, ais nue indusirie prince, et l'ictat ' huaines : sciences, éducalion, doit lui laisser sa pleine liberté.! santé publi(pie, beaux-arts, etc....mais (piand la êe industrie ; Cependant, leur iniluence poest en perte, elle devient une lili(pie esl pratitpieenl nulle, industrie lutfionulc et l'i^tat doit Dès aintenani, ingénieurs, êla soutenir. i decins. iirolesseurs, avocats. Tant (pi'un iietit nobre d'in- journalistes, ont Iciirs syndicats duslries étaient en ])crte. le sys- proressionnels gioupes. pour la tèe a ])u ronclionnci- sans phiparl. dans la ([onledéralion grandes dilliculles. des lra\ailleurs inlellecluels..mais, aujourd'hui où loules (les prolcssions n'oni pas hmir sont en delicil, l'i^tat va laire place au Conseil national éconolaillile. Subissant tous les ris- i(pie, occupé exclusiveent de ([lies, il en viendra nécessaire-! (piestioiis écon()i(pies et linan-. ent à réclaer les conlr(')les. eières. Mlles ne peuveni avoir (l'est ainsi (pie Ions les grands leur \ raie je )iêscnlation au Parpays industriels évoluent rajii- lecnl, a raison du petit nonideent vers l'êlatise (conui-d)re d'électeurs (prellcs repréniste, l'ascisle, hitlérien, loosc- senicnl. Les iiilérêts «cullurels» vellien). 'doivent donc avoir leur organe La politique et les affaires '' L. 2 il Dans le.systèe acluel. le snl- Si l'on veut sauver la déo- liage universel est reprêscnlê cratie, il convient tout à la lois! deux Ibis : l'une par ses élus, de réduire les pouvoirs de l'i-'-tat l'autre jmr les élus de ses élus et les interventions des inlcrêls M dc )utcs, conseillers généraux cl j)iivés dans ses lonclicns. nuiniciiiaiix). Sans doute pour des Ivn intérêts l'^-ance, éc()n()i(pics la rcprcscnlalion e.xisle,.perettre les )roesses aux seconds inconsidérées d'annuler laites )ar les preiers. C'est, à la en l'ait. Il y a, à la Chabre, des «groujics (.Je délense» de l'industrie autoobile {275 députés), déagogie électorale. lois, un frein et une prie à la de la vilicullure (2r)(»). de l'aéronautique (17.')), de riiuhisliic tondions la prépaialion des lois Le nouveau Sénat aurait pour lainière (L4();. etc. concernant le déveloi)peenl Mais cette ie )résentalion n'est des sciences et des arls, renseigneent et réducation. pas générale. Klle est souvent occulte, l-llle est. en outre, illégale. La Conslilution ne dit jias, ; éconoi(pie, il prcsenlerail des (ioe le Conseil national en ell'et, (jue les dépulés doivent ; projets de loi, avec variantes, èire des représentants en grains, i (pie la Chabre volerait ou reen sucre, en pétrole ou en a-i i)ousserait sans aendeciils. lériel de guerre Députés et Ministres l-^ile allire, au contraire.; (pi'ils doivent rei)résenter, non La Chabre des (léi)ulês doit les intérêts particuliers de leur; exercer seule le pouvoir législatif. l'allé seule donnerail force de circonscri )tion. ais les intérêts j généraux de la nation. j loi aux projets (pii lui seraieni L'habitude a l'ait de beaucoup de déi)utés les «courliers parleentaires» d'entreprises particulières et de groupes écononii- (pies, oyennant subventions à leuis coités élecloraiix et places dans les conseils d'adinistration. C'est la source êe de la corriiplion et des scandales (pii détruisent raiitorité du Parleent. Il laul donc poser en )rincipe : 1(1 s(''f)(tr(ili(in (le 1(1 f)()lili(pie (d lies affaires. Le Conseil national éconoi- (pie doit coprendre les reprêsentanls des rédêralions de syndicats prol'essionnels (ouvriers et patronaux), parvenus à la iêle de leurs groupeents )ar une lente sélection, à raison de leur co )êtence et d'une conliance longueenl éprouvée. (iuvriers el patrons, agriculteurs et industriels, cocii-ants et ban( uiers ne jieuvent se passer les uns des autres. Opposés au )()inl de vue corporatil, ils sont solidaires sur le plan éconoicpie. Carnet d un Morlaisien AV BAN0VET DE PLATON <( Iai p(trole e.sl à M. Ke/JlenI», prononça ie Président.... Je e lenai. pa.ssalylenwnl intiidé, et oltjeclcd, de on l)onl de table que, n'aijanl f)as l'intention de parler. Je n'anais rien, rien préparé (In paijs apiel ils res.sortissent, je noijais en nons nn internationaliste (pie les (piestions de frontières ne sauraient ebarrasser des (pie tes affaires entrent en Jeu : et Je 'alarais sincèreent de noir te no dn pins grand (inier de notre défense dn iout, et que, dans ces conilitions après des disconrs aiitoiisés coe. nationale, te no dn directeur des ceu.x- que l'on nenait d'enteiulre. il usines du C.reusol, des (diantiers de la était a craindre (pie... \ Méditerranée, etc..., d'un hoe qui.m(ds, ni te Président, ni es noi- contrôle plus de lôo sociétés fransins de t(dde ne seblaient l'entendre < cai.ses. fujurer dans les con.seils (le celte oreille, et je copris bienh'it j d'adinistration d'une cinquanlaire (pi'il e :-,ii(ul positineenl ipc^ssi- de sociéleséirangères, coe l (loslcrble de e rasseoir (unsi, sans /jjc ' rddiische I5erg und 1 liitll-invorke, couvrir de ridicule : Je copris, au > la Haiue Ciénérale de (>rédil lloiisurpliis, (pie, êe pour un pacifiste \ i^vo'is, ta Société d'icscouiplc de con.scient. la ort.sans cobat n'est \ liasse..vulriche, la Zivnosteiika, /His toujours la plus dé'sirable..si Je j qui n'ont pas toutes leur siège social devais suceolh-r sous le /)oids d'iiii j dans des pags ais, el au sein desridicule. ien.v valail donc, après quelles voisinent avec vous d'anthentout, (pie celui-ci revêtit (piel(pie tapies.[ttenfands n'ayant nulleent allure héroïipie. plut(')t (pw les appa- renoncé a ettre l'alleagne aurences d'une lâcheté harnachee deulessiis de tout, plob.! ^ 'a-l-on pas insinué a ce propos /".'/. a foi, après avoir tiraillé les (pie vous fûtes, par l'interédiaire anches de on chupen, rajusté a de la Skoda et de vos ais a\1m. von cravate et poussé deu.v ou trois lui 1 Duschnet: et von Arthaber, l'un des pour chercher une contenance, Je\ preiers " supportenrs o du nu)ave'einbanpiai dans on laïus, et, \ ent hitlérien '? après avoir làté le veut et bordé la ' «S'a-t-on pas chuchoté (pie les toile. Je e lai.s.sai douceent porter\canons.sortis dn Creusai n'elaient sur cet es(piif d'un nouveau genre. pas tous destinés êt rarnu''e française Au fiit, coenl pouvai's-je bien ou à des arées aies, et (jue n'inie trouver, pari tant de fortunes \ porte quel traf'upiant, susceidible de convives, a ce ban(juet offert par un groupe d'ais el d'adirateurs à M. Schneider, pour fêler sa récente éhction a l'.acadêie des.sciences Morales et Politiijues, el (pii se déroulait dans les sopltieu.v salons du restaurant J.arue, sous l'(vil adiralif d'un nu,lire d'h(')lel poiirtanl pager coptant, peut se rendre acquéreur d'un nobre de /Ô et d'ot)us ade(ptals f(d)riquês dans vos célébrés usines, en relation avec les besoins éventuels des Abd-el-Kri de toutes tes l(ditndes '! " \"a-t-on fxis prouve, qu'au oent êe on l'opinion française blasé par ce genre de spect(u-les'! seblait.s'éouvoir des velleites de C'est ce (pie Je e deaiule encore. rêareeni de l'allenuigne, vous Il g avait là. au.v cotés de.m. vous files l'artisan de ce réareent paigene Schneider, M. Miltcraud, en sollicitant et en obtenant du gouverneent français l'autori.siilion ancien président de la I{épubli(pie, l'actuel inistre de la Cuerre et deu.v d'approvisionner'la Mauser Fabrikeii, de Leipzig, en poudre U.C. 't, ou trois de ses firédéces.seurs, le ini.s- Ire de la Marine, (pielques paires de et le Duché de Bade en poudre 'naréchaii.v <>.' de gênérau.i: en civd. li. M. Il et IL M. ir, provenant de une dei-douzaine (r(u'adéiciens, iusine du Ponl-de-lhiis (juehpies adrés de forges, de gros «Eh! bien. Monsieur, touché par financiers Les fracs et les plastrons... une grâce, d'essence. ^ particulière.,,,. -Je de t(nd ce nwnde, dislinquéau super- cnjourd h. (pi'en lalifc(iposaient lalif. copos(nent une sipnpluieen sg/jhoni ' <jpp'"'ences, I Inslilid, qui blanc et noir (pie le rouge de la ne peut se tro/)er ni nous troper, Lé(iion d'honneurponctikui invariableent a clukpie revers d'une inuscule rosette ou d'un acaron au diaetre en relation avec l'élévation des grades dans l'ordre national. M. Paul \'atêrg avait chante en souis par le Conseil nalional pro.se hennetique l'entrée dn nouvel éconoilpieet parle Sénat. I.:ikv'«^^(/(v.ù.M/^v/'/,,,cy/a/,. A-.v 'I''' o'irdcr'lil toute inili'ili\ e en cc \ niarêchau.e an.v oust(h'hes artiafpii colicerne les foiiclions pro-i f^^hp^udes eu ',,.,.,, leur sobrielt. avaient exalte!e choi.iprccnl iioblupics de 1 Mal ' in.,urux des ebres de l'.a.s.m.i'., delense nationale, ordre iiilc- _s'ê'laient accordés p(r q nr un rieur, justice el hscalilc. indice du ressaisisseent de la con.s- Les frais de candidalure se- cience française a un tournant criliraient à la charge de l'b^tal, le (pie de l'a})res-dernière, ou pluu'd de budget de la rcprésenlalion wu- l'avant-prochaine. Les sidêrnr(psles tionale. Lne soe égale serait Ire.ssailli il'ai.se en conte- a parfaiteent agi en vous appelant, an no de la Science, de la.morale LES FONDS SECRETS La dernière bourrasque - La légende et la vérité - Jadis et aujourd'hui - Ce qu'il en coûte au budget - Suppriera-t-on la caisse noire? Les Ibnds secrets jiasseut un ain du A septebre 1870, on trouva, auvais (piarl d'heure. Dans l'en- dans les )apiers des Tuileries, ce (piêle sur l'altaire Slavisky, on a cople soaire de l'eploi des lait un peu ieux connaissance deux illions du seestre : (( Police avec eux. el, ce ne l'ut pas à leur avantage, non )lus (pi'à la gloire polili(pie de Paris : (ioo 000 Ir. ; Irais de jjolice ))olili(jue des j)rérets : de ceux (jui les reçoivent, ni êe L!;5;5.400 l'r, ; police ilitaire et judiciaire (surveillance des olliciers el de ceux (jui les distribuent. Il y a (]uel(jues ois déjà tpie ce nioyen des inagislrais). ()/.000 Ir. ; secours» de la polili( ue el de la police particuliers à des ai.s dévoués : esl sur la sellette ; on a entendu, 2.').'),000 h". ; service de la presse : il y a six ois. M. (Caille Cbaiileps, 2<,)7..')-l() Ir.. etc... Ainsi, sur un il- ( uand il était président du lion el dei, les journaux du teps C.onseil. en l'aire le procès à la tri- avaient re(;u oins de.' Ir., hune, bien (ju'il s'en lui servi coin j ce (pii élail relativeent peu. Il esl e tousses prédécesseurs el pro- vrai (pie leur nobre était alors ettre d'en contr()ler désorais l'eploi, ce (pi on pourrait a ipeler un engageent de la Sainte- -'arce. Dautre part,.m. Dahidier sait (pielle réaction suivit sa déclaration devant la Coission des voleurs. «(jue les ( ualre-cin( uièes des journaux el des journalistes étaient vendus au gouverneeiil», assez réduil. A cobien s'élèvent, de nos jours, les fonds secrets? Il esl dillicile de donner des précisions absolues, car. suivant qu'on se borne à relever au budget les crédits de celte nature dont la destination esl avouée, ou ( u'on y ajoule certains autres dont 'aireciation n'a pas de ce (jui est à la Ibis une calonie el ystère pour les initiés, el dont une sollise ; une calonie, parce une partie sert à des usages (pie la presse est inlininient plus '< spéciaux x, on note des diliéitiiindépendante ( ue le croient cer- ces considérables. Otlicielleenl, tains esprits alveillanls ; une sottise )arce (pie s'il fallait acheter toutes les gazettes, grandes el pel'intérieur dispose de.'lsoo.ooo fr., les A'I'iiircs l.trangères de!.'> illions, la Marinede 2.200()fi0fr. : la tites. ainsi ([ue leur rédaclion. fa ' Cuerre de 12 illions, ais, d'aucaisse noire du Ministère de l'in- Ire part el pour ne parler (jue de ce térieur n'y sullirait point, êe en départeent, le (juai d'orsay disy ajoutani celles des AlTaires Klran-1 pose de.'tii illions pour des lins gères, de la Guerre, de la Marine et I de iirojiagande à rélranger qui (les (Colonies. îont, trop souvent, servi à créer et La vérité est entre ralliration j à entretenir chez nous, certains de l'un et la proesse de l'autre. i journaux el revues, plulcit qu'à dél)e êe (pi'il existe, dans leiiendre nos intérêts, hors des froniiionde. des braves gens el des gens discutables, il est des publicistes intègres et il en est aussi (pii angent à tous les râteliers, ( ui lières, el à y faire connaître le vérilable esprit de la France. Il esl à présué ( u'à l'occasion de l'exaen du prochain budget. sont à la solde de tous les gouvcr- le régie des fonds secrets subira neents coe à celle du capital, i un nouvel assaut ; il en sortira sans ais ceux-là. le lecteur n'a pas de j doute indene une fois encore. Il peine à les déas(iuer s'il veut s'en en a vu d'autres à aintes reprises donner la [leine ; il lui suffit de les I el ne s'en est pas plus al porté voir soutenir toutes les politiques.'jus(prici. Pour la preière fois, le êe quand elles sont ojjposées, '24 septebre LSTO. Gabetta les et lancer dans la circulation cer-1 suppria en l'ait, piiis( u'il décida laines idées dont le désintéresse-u'ils seraieni souis au conlrêile ent est visibleent absent. D'ail-1( es (Chabres ; cette crise de vertu leurs, (juand on est tant soit peu au courant des choses de la vie publique, on sait ( ue ces journalisles, J. /.adlhl,- ri,le h"'" j"".!'' 'I'"-'. Coe idlm... /u-e,, da '' I <"' I""! M"'' que l'adaqe 'rllzj^jtin''^ latin, si vils pacein...! V"" M"' "^'O,'"!'- tant vrai p(nir tous les pai s, aucun " 1-rance coulerai t roi, de ceux-ci'ne dod craue de voir puisse les tenter ;.sr.v ihdsins s'arer et êe.se.surar- '' ' er. Donc, en fournissant des ares et de la poudre in-lislincteent à Ions ceux (jui veulent bien.s'adres.ser a vos fires diver.ses, vous renforcez, à chatpie livrai.ion, le aintien de la pai.v universelle. I/ailleurs, n'est-ce fxis le grand penseur ('déent \'autel (pli t'a receent proclaé ise a la disposition (le tous les;l<">re(de de leur illu.stre concandidals po ir locaux, j.nidu's,''''''''''''7!'''.^' Les canons fabri( ués en France ne I I...1. /'" " "" seblail vouloir rendre peuvent avoir l'aine bdliipieusc, (Icplacenienls. justice a leur corporalion si injusleloiile subvention aux conilles J:i les tnqaiers.'enfin, car la èlalhirgie (el, sans doute, elecloraux de \rail ipli(pierl ïxu- ^ aiidient senti fondre en eu.i' lecteur la pyroledie '.') fraiu;aise esl uninulalion de la candidature. Les tendre (pi'ils tiennent en réserve pour (pieenl défensive... les circonslauces éouvantes (( Coe j)alriole, car. enfin. Je groii )eents destinés à linancei (Juoi qu'il en.soit, ce fut pour nwi \ ' / ' " i </" /...; / ; I : 1, se ineider) (/y/u/c-n/ii/i ane l Insti- Dani'";M;avr;>;'"s Indïeln^; nirinoad tut.scdeider) vient ddccueillir en ses glorieuses /'/,./, de vole sont à vendre, en gros t^^ros (lu kuupu't lé(jereenl Iravée, est plus français de C(vur que (, en détail, il ne peid. v I lions.successives el justifiées qu'il peut-être Its les Durandressenties re.s.senties auparavant, je f>ris^ pri}^ Ihiponl qui.sonl orts au crs de de deniocralie. \avait Le pouvoir execulil esl conhe j / j.,)ie en ces teres la derniéie et (jue ses (( participations» dans les grandes au présideni de la Hépub!i(pie. ((.Monsieur, Dieu 'est téoin (pw corporalioi\s '(pion subventionne, ils sont sans autorité el ne peuvent, dès lors rendre aucun service. C.ela n'epêche pas que. faute de ieux, c'est à ceux-là qu'on distribue la anne, une anne abondanle puis(iu'on a vu M. Dubarry toucher près de loo.ooo francs "par an sur le seul budget de l'intérieur, et des petites feuiiles de chanlage éarger, elia- ( ue ois, pour plusieurs illiers ( e franc.s. Si cette déplorable prati(pie a\ail une excuse, ce serait dans sa pérennité. Aussi loin ([u'on reonte vers le jiassè, on voit (pi'il y eut toujours des dépenses secrètes^ Les rois n'en faisaient pas élal ; les petits cadeaux passaient en prolils et pertes dans les dépenses de la Cour. Il faut arriver à l'an c'està-dire à 17i)7. épo(pie de la création du inistère de la Police générale 11 ( si élu par la Chabre, pour je n'aixds guère rintention de faire ét(dlurgi(jues et bancaires de l'europe Centrale, par e.veple, n'ont )Our en trouver une trace ollicielle. (piatre ans, au lendeain de clui- entendre on organe d(\shêrité dans sous la fore de crédits budgétaires. Ils s'élevaient alorsà un il- (pie èlcdion générale. Seule, une le chtriir triophal qui accneilte d'autre but (pie de rendre la Erance nouvelle élection générale, en votre entrée dans la vivante iortalité de r Institut. P'A, cependant, en taii.v, là ou l'influence de ces cho.ses ouinipn'.senle en esprit et en capilion. ais, il était bien évident (pi'ils ne pouvaient (pic croitreen odilianl la iiiajorilê, )eul changer le président. Le présideni Le (A)nseil national éconoicédant au.c ipéri 'uses /irieres de peut utileent.se anijèsler pour ces teps difliciles. lùi cil'el. dix reinenle copagnie a laquelle je assurer la prépondérance de notre ans plus tard, ajirês (piekpies ois (pie ne serait )as un parlecnl. noe les inisires. Il les choisit hors de la Chabre. ha.sard. J'ai l'ipression d'accoplir ((- \otl(i, Monsieur, ce (pie je suis lions ; lors de la seconde Ueslaura- e trouve êlé i)ar le plus grand pags.^ (ri-] )ire, ils alleignaient six il- Les lois éconoicpies ne se vo tent ])as. «ICIles dériveni de la (i'csl indispensable si l'on veui i éléentaire devoir de réparation heuren.v d'avoir eu l'occasion de vous lion, en KSI,'), ils furent portés à naliiie des cl:()scs». L'ignorance ainleiiir la separalion des pou-i k,1e dois vous avouer, Monsieur, dite. Puissent es paroles effacer ce 7.i)00.00() francs dont une large el l'inlérél )articulier l'ont ( ii'elles sont souvent éconnues. 11 de blessant a votre adresse.» V(jirs, Coent un inisire \v-iqne,jus(pi'ici, Je vous ai éconnu, (pie es pensées de jadis ont pu avoir partie s'en alla aux éigrés rentrés sisicra-l-il à la liression (\'uu\ d'p»-j'ai êe (jhelque peu édit de en b'rance. Dans la suite, ce chiffre dont l'iportance avait soulevé en résulte, à la longue, une crise,1e e ra.ssis dans un bruit confus coll(''gue député (pii l'a porté au "<>us, parce q-jus êc(wn(u.s.sant (pii ruine i^e ceux rpii araieni ".\vec (piebpies parti.sans de la d'acclaations et de bravos, el dus de vives criti(pu^s. fui considérableent réduil ; de 1.S22 à KSl.S il pouvoir, ou i)eut l'en faire lol)cr!'' De là les <c coiilaisances )> oenlaneeni eporlé l'avaiilage. je vous tenais, je l'avoue, pour l'un Pai.v, épris de théories huanitaires, 'arracher (i (p-and'peine a l'étreinte des financiers et des inaréchaii.v, deeura lixé à 2.'200.()()() fr., pour des gardes des Sceaux des repré.senlants les plus daiereux lu iireiix de voir un irrê-duclible coii- rebondirà 1 illions sousie second Le (Conseil national éconoiles avocals-depulés, des ini.s- d'une catê'gorie de gens p(r lesquels (piis, enfin, à de.saines idees. IOi)irc, (pie établirait ces conl'rontalions lies des T'inances envei s les \ seule une chose conif)le et doit coiufipiilés d'all'aires, elc... Sans cop-i/(/ sur la teire: la guerre entre ouveent un peu brus(pie : Dans ta êlée, Je dus avoir un A cette épo( ue. il arriva aintes publiques d'intéiêls, alin d'en fois que les inistres furent inlerpellès par les dépulés de la gauche dégager la solidarité essenlielle. 1er (pie cikuiiic députe, a,s )iranl :/'(>'"//(c.s- égaleent aninuks d'une " Dis, fil soudain une voi.v Sa lâche consisteiait à sii.sciter, il devenir inisire, Iravaille h [certaine bonne ixdth;, la guerre qui ipatiente, (piand tu auras fini de sur l'usage des fonds secrets. Ils discuter el aender les inojets e labourer les C('>tes à couf)s de renverser le go u ve r n e e ni, i'""'f, "" " f"" ceux allirèrenl toujours (pic ceux-ci ne et prograes élablis par ses coude.' Il ( uilte, 11. une, r fois. au. iiniivniijiouvoir, -'i 'P'^lle na pas as.sacres, sans les servaient pas à rétribuer les services de la presse el n'étaient utili- services. Si rentenle ne pouvait régénérer,.sans le.s purifier et.sans... C'elait la ère de es enfants suivre la êe polili(pic (pi'il se l'aire sur un projet uni(pie, le les assagir. qui 'arrachait ainsi à on rêve et sés (jue pour les nécessités de avait blâée dans l'opposition. Conseil présenteiail deux rapports, avec des variantes, entre l-rancis DIvLAISI. tisans, tout au oins, de la sécurité çaise du Restaurant de la Hue lioijale. «Avec de parfaits patriotes, par- a ratosnhère héroïque et bien fran- r.\dinistration. Il y avait là une iart de vérité ICn eftet, au lende- KEEELEVT. dura à peine plus longteps que les roses. Plus tard, ils connurent de chaudes alertes, notaent sous le inistère Conilies, (piaïul un député de la inajorité fui convaincu d'avoir l'ail payer ses dettes par la caisse du inistère de l'intérieur : Léon Bourgeois diit cerlaine année, en accepter la réduclion de oitié. Ils ont retrouvé depuis une ai)leur accrue,.. (^est iieul-ètre. après tout, un al nécessaire. Ceux (pii sont failiarisés avec la iiolilitiue et la police n'ignorent jias (pie ce sonl deux choses trop souvent génératrices de vilaines besognes, pour lcs(iuelles le nerf de la guerre esl de toute nécessité. Mais il s'agit de saxoir coiiient on en use ; or, vraienl, ce (pie nous avons appris ces leps-ei ue nous dispose guère à couvrir d'éloges ceux (pii les dispensèrenl au cours des années. dernières Georges UOCIILU. 5L" JLILiLI' Il H H Mi II Vn Chôeur On ne dira jaais assez le al que pcuvenl faire ces honnêtes personnes (louées des eilleures intentions du onde. Je e trouvais hier au ilieu d'un j-roupe de braves ères de faille doiil la oins pourvue coplail au oins six héritiers. Deux des aris étaient en eti()a){e, un autre aux trois jours ; le quatrièe, alilé el loin de la convalescence, louchait à la lin de ses six ois d'assurance-aladie. Une de es aies «du onde» (il irru )lion dans noire >{roiipe, oublia de saluer qui que ce soit en dehors de oi, cl e débita tout d'une traite Je vous cherchais, parce (pie, voyez-vous, il est indispensable que vous 'aidiez. «Je viens de recevoir la visite d'un jeune hoe, bien élevé, très élégant, d'excellente faille. (Songez donc, son oncle était...)or. par suite de suppression de postes dans sa ban( ue, il va.se trouver sans eploi. Il l'aul ab.^oluenl l'aire ( uelque chose toul de suite... Un jeune hoe si bien,., on ne peut pas laisser chôer quelqu'un coe (^-a!». Far allection pour oi, sans doule, es braves fees n'ont rien luanil'esté.., Mais je souhaiterais savoir ce qu'elles en )ensent! (.ih/.,') Céline LIIOTTL. Mt-tl -A* ' - -,

10 M hëf' M O M L i U X Morlaix, il y a cinquante ans ' Pour la preière fois depuis.'>() uns, le corps des sapeurs popiers de Morlaix n'assiste pas à la procès- j sion de la Fêle-Dieu, du IS juin i lfis4. Un ordre du inisterede Pourquoi nous organisons une Exposition à Morlaix (>n nous prie d'insérer : La Société ci iotiulesdn Finistère j organise sa ciiuiuic ine ICxposilioii la (hierre \ de peinture à Morlaix. est venu l'interdire au dernier iiu)- Pour(iuoi une exposition à Morent. La usique de l'abbé luwas était en lèle et la usique unicipale en queue du cortèqe. - Service édieal Dianche 17 juin M. le docteur Coquin. )!ace I jnile-souvestre. Morlaix (de <S ii. à inuit). Le public est prié de s'adresser uniqueent au édecin ([ui veut bien assurer une )eraneiice à son inlention. Pharaeie de service Dianche 17 juin l'.km, pharacie Le.Nhiitre, rue d'aiguillon. Fête de la Jeunesse des Ecoles Counales A l'occasion de la grande léte de la Jeunesse des écoles counales. organisée coe chaque année {)ar la unicipalité, le M Juillet. au Parc des Sporls de Kernégués, la Morlaisienne. société d'éducation piiysic ue. athlétise elgynastique. fera disputer un interclub sous les règleents de la L. B. A. Les épreuves seront les suivantes : I.ÔOO ètres, TvliOO ètres, sauts en hauteur et longueur, poids, disque. Les engageents seront reçus jusqu'au 10 juillet inclus à la Coission sportive, airie de Morlaix ou à M. Denos Roger, ailre de g} nastique. Colonie de Vacances de Plougasnou Les t'aniilles désirant envoyer leurs enfants à la colonie de vacances de Plougasnou sont priées de s'adresser à la airie de Morlaix (Kureau de l'ktat-civin, où les inscriptions seront prises du lundi KS juin au sainedi2;^ juin,de2()h.;j() à 21 h. 30. Se unir du livret de laille. Soirée Dansante Monsieur el Madae Auduc inl'o'-ent leurs ais, ainsi ([ue leur aiable clientèle qu'ils donneront leur soirée dansante annuelle dans les salons Quiviger, le lundi des Courses, 25 juin, à partir de 21 heures. On peut se procurer des cartes chez M. Auduc, 14, rue de Brest. Na^er est un plaisir Une assurance sur la vie Apprendre à ria^er est un devoir sccial Jeunes Gens I adhérczsans retard au «Club Nautique Morlaisien» qui gratuiteent et en?. seaines vous apprendra à nager. Jeunes Nageurs î venez au C. N- M. pour vous pcrfectiornfr, étudier les nages sportives, jouer au water-polo. plonger, et surtout vous entraîner au sauvetage. Installation de M Cavellal juge de paix Lundi atin, à h. '.'A), il a été procédé, à la justice de paix, à l'installation de M. Jean Cavellal, réceent noé juge de paix de Morlaix et de Laneur. en replaceent de M. 'l'oullec, adis à laire valoir ses droits à la retraite. Au cours de cette courte céréonie, M. Troadec, grctlier, a donné lecture du décret de M. le piésident de la Hépubli( ue, en date du () ai 1<.);<4, noant M. (2avellat, juge de paix de 2' classe, à Morlaix. Apres quoi. M' IClie Le Bail, preier suppléant, a installé >L Cavellal dans ses lonctionset a averti l'assistance, qu'obéissance lui était due au tilre de juge de ftaix du canton. M. Cavellal a élé égalcenl installé en qualité de juge de paix de Laneur, j)ar M" Le Vaillant, preier suppléantde la justice de paix de Laneur, assisté de M'' Oïdennec, gremier, lundi alin, à Laneur. Nous adressons à M. nos vives l'élicitations. Cave'Iat La proenade de la Lyre Morlaisienne Notre active société usicale d éducation poj)ulaire la «Lyre Morlaisienne». organise une excursion en autocar (jui se l'era dianche prochain à Perros-Guirec. C'est une belle journée en persleclive pour nos usiciens el pour es excursionnistes (jui les accopagneront. Hassebleenl des usiciens et de leurs faille, place Thiers, à 7 h. 40 ; départ à <S heures. Nous leur souhaitons à tous bonne proenade et beau teps. Cuinraine Coerciale Nous rappelons (jue la distribution des lots a lieu tous les jours (.sauf les dianches), de î) à 12 heures et de M à 17 heures, chez M. Cailleau, (>, rue du Mur. Pour les prospectus illustrés, s'adresser à la peranence, à la airie. Les lois ou bons d'achats non réclaés au l.s juin deeureront la i)roi)riété du (Loniilé. Les listes des nuéros gagnants sont en vente 0 l'r. no chez, les ar- laix, alors ciue des villes iportantes coe Nantes. Brest ou Hennes t'iiands de journaux, on! déjà leur salon ;innucl? Pourquoi? «iiii!iiiiiiiiiiiiiiii!ii;iiiii!ii.iiii!iiiiii!iniiiiiiiiiiiiiiiiii Parce. ue la Société d'ktudes! - MÉCANOGRAPHIE constitue un loyer intellectuel dont le rayonnoineiil s'inlensilic sans cesse. Parce ciu'aucune l'ore de culture ou d'art ne doit lui rester étrangère. Organisée soruleent, elle esl adirableent outillée i)0ur réussir, là où des individualités échouera ienl. l'arce que.morlaix a toujours été un ceiiire d'activité et d'iniliativc. Parce ( ue dans ces teps )éiiibles ou le chôage atteini les Iravailleuis intellecluels coe les Iravaillcurs anuels, il esl indispensable lie ultiplier les occasions de iburnir du travail aux uns et aux autres et (lu'une exposition utilise toujours un certain nobre (louxricrs (uncadifinenls. accrochage, eballage, publicité, etc.) el ([u'clle l'ail connaître les (vuvres des arlistes à (pii elle l'acilile la vente. l!l pour toutes ces raisons, [)our celle (cuvre de solidarité el de vulgarisation, encouragés d'ores et (iéjà j)ar les pouvoirs publics, nous soes certains ( ue nous )ourrons copter sur le concours des artistes et du lidele public orlaisien. Pour le Coité d'i^xpositioii : Le Secrétaire,.1. Le Marchant de l'rigon. Chez les notaires La Chabre des notaires de Morlaix est constituée coe suit pour l'année HJ.'U Président : M Le ' Bouge de Bu- zunan, de Guiiliau ; syndic : M Klie Le Bail, de Morlaix ; secrétaire M'' KerdonculT, de Morlaix ; trésorier ; Nh Leoine. de Saintl'ol-de-Léon : ebres : M '' Bellec, de Sizun, et (luennec. de (îuerles(iuin. A IX^nion Fédérale des Ancien.% Cobattants Le bureau de la section orlaisienne de l'union fédérale des anciens cobatlants est constitué coe suit ; Président il'honneur : M Le Bail, notaire ; j)résidenl : M. Paris. présideiil du S.l. ; vice-présidents : Me Cercel ; MM. Saliou et Le Garrcc. de Morlaix ; Moins, percepteur à Landivisiau ; Barazer, de Plouigneau ; secrétaire général : M. Lucien Marzin, <le Morlaix ; secrétaire adjointe : Me (irall, de Morlaix ; trésorier général :.M.î. Alexandre, de Ploujean. Hospitaliers sauveteurs Bretons Erratu Dans la listes des réco )enses accordées pour sauvetages par la Société des hos )italiers sauveteurs bretons, nous avons ois de signaler ( ne le jeune Boger Baoul, élève ( e l'école priaire supérieure de garçons de Morlaix avait obtenu une édaille d'honneur en plus du diplôe cl du Livre el ( ue M, llippolyte Quéré de P('nzé, avait ohleiiu une priiiu de.")() francs. Nous croyons saxoir, d'aulrc pari, ( uc ces iècoinpenses scioiil reises à la airie de Moilaix 1res prochaineeni, après entente avec le président général des H.S.l',...M. Berlhaut. Nous tiendrons nos lecleurs au courant du jour el de l'heuic de celle céiéonic. Les lauiéals sont au nobre de cin( : deux arins pécheurs ; uiu' jeune fille ; deux cnfaiils dont h plus jeune, le pelil.\ppainou, de BoscolV. n'csl âgé ( ue de '.t ans. H - Celtic : 1 25, Place Cornic, MORLAIX S S A^jence exclusive des postes <ie T. S. 1' DCCRE'l'ET cl (les a- S pliticauurs THOMSON-HCUSTON vous présente une (^anie coiu- ( pléle d'appareils à des prix inlc- ressanls.! C 2."). i.:t»5 IVs ' C.")() fis C eOO lis I C fis S C l<).».200 fr.s ; C,S() fis : : RADIOPHÛNO àpartirde n-s : 2 La Maison possède un atelier * (le réparations et des techniciens éprouvés qui se tiennent à la dis- J 2 position de toute personne dési- rant faiie réparer ou transforer son appareil. J Ai^cncc Louis Boclé Rac Gabctla, MOULAIX 'l'cméphone :i!i des Machinc.s à Kcrirc ' Reinûton " NOS OCCASIONS : Reington 10 s, cliariot A caract. élite Reington 10 AM A pica Reington 10 s, A pica Reington 10 AM a, c. iiiédiiini roan Continsouza K 27 n caract. pica Underwood 4 A jjica Toutes nos occasions sont iivrées entièreent revisées et avec garantie. iiiipii^ipii^ioi^iiit^^iiii'ii'i line fête intie chez les postiers Saedi soir, à 21 heures, le per sonnel de l'adinistration des P 'T. T. de Morlaix s'est réuni dans les salons du grand h(')tel d'lurope, où il olvrait un vin d'honneur à M. Audigou, contr(")leur, et à MM. Balanv et Féal, anulenlionnaires, adis à faire valoir leurs droits à la retraite. A la table d'honneur avaient pris place, autour de M. Audigou, M. Marlier, receveur ; Corlay, conlr(')leur ; Mlle Perruchon. surveillante ;.Me Marlier, Me el Mlle Audigou,,'MM. Balanyet I-YI, ainsi (jue tous lesebresdupersonnel. Au Chapagne,.M. Corlay prononça uni. allocution au no du )ersonnel, 11 souhaita d'abord la )ienvenu à Me Audigou, à la quelle il reit un bouquet de lleurs, ainsi (ju'à Mlle Audigou. 11 exim'ia à M. Audigou, qui jouit de la sypathie unanie du personnel, les vifs regrets que lui occasionnait son départ. Il lui offrit ses eilleurs va-ux de longue cl heureuse retraite el lui reit un joli souvenir aux applaudisseents de tous. M. Marlier, receveui-, retraça la l)elle carrière de M. Audigou, qui pendant 12 ans, sacrifia le eilleur de lui-êe à l'adinistration des P.T. 'f. Il souligna son dévoueent, puis il salua Me el Mlle Audigou. A[)rès avoir reercié M. Audigou de son excellente collaboralion, il lui reit une lettre de félicilalions au no de l'adinislralion des P. T. T. M. Marlier oltril à son ancien collaborateur ses eilleurs vo-ux de longue retraite el il joignit à ses coplients, MM. Balany el l-'èat, i u'il.eercia el félicita. M. Audigou. en leruics éns. reercia,\1m. Marlier el C.orlay des ots si aiables ( u'ils venaieni de )r()iu)ncer en son honneur, ainsi ( ue tous les uumnbresdu )ersonnel. Des souvciiiis lurent reis à.m.m. l'alany et l'èal. puis la soirée pris lin par des chanis el des onologues ( ui furent très ap )lautlis. Nous soes liehieux d'oll'rir à notre louv à M.M. Audigou, Balany el féal, avec nos coin )lienls, nos eillenis souhaiis ( e longiu! el heureuse leiraile. îlloulin» de la région de Morlsiix ont feré leur» portes,. Les oulins de la région de Morlaix oui leruiè leurs portes depuis le 1)1 ai. Celle esure a été prise, non pas pour protester, ais pour perelire l'écoulcenl des archandises eagasinées eu trop grande ( uanl"lé. Les inotiers esjjèrenl (pie bien t(")t de nouvelles lois viendront aèlioicr leur sort, ais (juanl à )résenl, l'on ignore encore ( uand es oulins pourront rouvrir dans notre région. (îne collision Vei/dredi après-idi, vers lô h. 5(1, une collision s'est produite, devant la aison Guyoarch, ilace Thiers, entre l'auto de M. e Saoul, coerçant, rape Sl- Melainc, ([ui. venant de celte rue, virait pour se diriger vers la airie el la voilure de M. Boberl, boucher, voyageur de coerce, deeuranï '22, avenue de la Pcrherie, à Mériel (Seine-el-Oise), qui arrivait de la rue d'aiguillon el allait vers la )lace Cornic. C.el accident s'est borné à des dégâts atériels peu iportants, constatés par M' Squiban, huissier. I^a Tribune APRÈS LE CONCOURS DE MUSIQUE.Mon cher Caniarade, (1.le vous prie de vouloir bien assistera l'asseblée générale de noire Association (jui aura lieu au Collège, le lundi 2r) juin, (2' jour des (Bourses) à 10 heures. L'autocar ( ui fail le service du collège partira de la airie à U h. 1(1. Pour ajouter à l'intérêt de celle réunion. Monsieur le Principal nous oll'rant très aiableent de visiter rélablisseent (ju'il dirige avec un art consoé, jesuis j)ersuadé ( ue vous ne saurez laisser écha )per une aussi agréable sensation de constater les heureuses transfoialions el les innobrables aélioralions donl a bénélicié notre collège ces dernières années. lin vous expriant lout le plaisir ( ue vos caarades ressentiront de votre ])résence, je vous prie de croire à es sentients cordiaux et dévoués. Le Président, G. Tanguy. Il prie les anciens élèves ne faisant i)as partie de l'association (l'assistera celle réunion au cours de la(iuelle ils pourront verser leur cotisation cui esl de.") francs. Soldes avant iriventaire Grands Rabais errectifs de et 30 ', l'rolihv. des occasions iini(iues ( iio vous (loiuk'iil (lu l.laii lîd juin les (irands Magasins Au Progrès IV10RLAIX»M»»» L'n vol l'n vol de viande a èlè cois en pleine nuit chez M. CuciT, boucher à la Barrière de Brest. Le alfaileur esl enirè dans la place en Iracluranl un cadenas, ([u'il eporla. en êe teps ([ue ;) à () kilos de viande. M. C.uelV eslie avoir subi un préjudice de.")() IV. l'iic eiuiuêle a été ouverte par la gendarerie de Morlaix. Enseigneent secondaire Collège de gardons et de jeuncvs tilles ()n nous prie d'insérer : Le Coité du (Concours de usi- Adission des éléues dans les classes (pie, réuni le B! juin, s'élève tout de cinquièe A et H entier, énergiqueent, contre les ABBKT1-: MINISTKBIliL insinuations portées j)nr La Dépêche dé Brest el VEclaireur du 8 juin ; Seuls seront adis en cin( uièe, bien au contraire, il adresse ses sans exaen, les élèves ((ui (jouiront félicitalions les plus sincères à M. justilier avoir oblenu, dans Bourgot, aire de Morlaix, ( ui. l'enseble des copositions de non seuleeiil n'a pas outrepassé français,latin, alhéali(iues. langues ses droits de preier agistrat de vivantes, une oyenne de la localité, ais s'est dépensé sans noies égale ou supérieure à 10 el copter pour ener à bien, d'accord les élèves reçus à l'exaen des avec le )résidenl de la Société bourses i2' série). des l'èles Morlaisiennes, le concours ( ui a parfaileenl réussi. à la lin de la sixièe, un exaen Les aulres é'èves devront subir, Toutes les décisions ont élé prises pai' le (Coité c ii) a engagé les ècril (pii coportera : I" l'n exercice de français coun dépenses et ( ui, dans ses évaluations, aux sections A et lî) ; 2 I ne est toujours resté au-dessous éjjieuve de alliènlifiues (arillièli( ue) des liiles prévues par le bugct l'n exercice de lalin (pour la section un exercice de langues vivantes (pour la secli(jn Association B) el un exaen oral portani sur les aulres alières du prograe des anciens éléves (le sixièe, poui les( uelles ils du colléffe de Hlorlaix n'onl pas oblei la oyenne de 10. Pour celles de ce«atières on ( Monsieur G. Tanguy. i)rèsi(lent ils onl oblenu une inoyenne de de l'associalion des anciens élèves coposilion égale ou supérieure à du collège de Morlaix nous couuini( ue la leltre suivante (]u'il oyenne de coposilion, (jui en- 10, on leur alliibuera celle noie vient d'adresser aux ebres de trera en copte dans le lotal des celle association. notes de l'exaen pour pennellre les copensalions. Seront.'ui.Miis ;i passer en ciii- f>on.s«fil de l'riid'honiiue.s de Alorlaix Anis de dépôt des listes éicclorcdes de l'.l.'i'i. Conforéenl aux pre.scriplions de l'article 2.") de la loi du 21 juin ni'il, les lislcs des électeurs du ressort du conseil di piud'hoes de Morlaix seronl (lê )osées, à la dah; du 17 juin l'.iim, lanl au secrélarial dudil conseil (jn'au secrélarial de chacune des airies des counes du caiilon de Morlaix. Pendanl les ( uinze jours ( ui suivront ce dèp(')t, les ayanls-droil liguranl à railicle22 de la loi du 21 juin 1U'21 pourronl présenler leurs réclaalions, soil ( u'ils se plaignent d'avoir èlè ois, soit (ju'ils deandeni Ja radialion d'un ciloye;i indûent inscrit. C-es réclaalions seront portées devant le juj;e de jiaix du canlon, par sijile déclaralion l'aile, sans frais, au grelfe de la jusiice de paix. De bruyants conscrits N'endredi sprê,s-nii(li. les jeunes Quéinnec el Quéré, de Landivisiau, (]ui avaient coiiienseent arrosé le conseil de revision el ( ui enaient grand lajiage en ville, ont été graliliés chacun d'un procès-verbal. (luièe. les élèves ayant oblenu, pour reiiseble des é )ieuves écrites el orales, la oyenne de 10. Toutefois, une noie inférieure à.') en français ou une noie zéro en ( uel(]ue aulre atière sera éliinaloire, si elle esl ainleie après délibéralion spéciale du jury. Les élèves ajournés en juillet ne pourront êlre adis en cin( uiee (lu'après avoir passé avec succès un exaen seblable au cours du ois d'octobre. Les dispositions du présent arrêté s'aj)pli( uent à tout élève ( ui entre en cinquièe en cours d'année. Ne pourront èlre adis en cin- ('luièine dans un lycée ou un collège ( ue les élèves replissant les conditions prévues au [)résent arrêté. Fassafies de trains expositions Nous faisons part à nos lecleurs du passage, en gare de Morlaix. à la lin du ois de juin, d'un Irainexposilion organisé sous les auspices du «Moniteur du Coniirerce el de rinduslrie» Le ;') juillet, un second Irainexposition celui des Artistes français, s'arrélera jiendanl une journée dans noire gare. Ce train-ex- )osilion esl dû à l'inilialive de la Confédération des travailleurs intellectuels. Il esl placé sous la direclion des Beaux-Arts et de la Copagnie des cheins de fer de l'l-:ial. l^n journalier agricole ord cruelleent son beau-frère au visage.lean Mignol. l.'5ans, de la fere de Penlan, en Plourin, eployait son beau-frère,.lean (îoareguer, en (jualitê de journalier agricole. Celui-ci, ayant anifeslè l'intenlion de changer d'air el de ( uiller Penlan, avait reçu de son eployeur le prix (ie sa seaine de travail jeudi vers I.') heures. Il se considèiait sans doule, dès lors, coe libéré de loule obligalion. M. Mi^not ne l'enlendail pas ainsi el ayanl à déleler un cheval, il pria assez dureent (ioareguer (le venir l'aider dans celle lâche facile. Le beau-frère obleiiipêra, ais s'enlendil, néanoins, Irailer de belle façon. Sur (juoi il piaula là sa besogne el s'en lui. Le ivjoindre lut l'alvaire de (iuel( ues secondes pour Mignol el une juise de corps s'ensuivit ièdinleuienl, dans la( uelle le récalcitrant cul nelleent le dessous. Mignol aurail alors fait entrer ses âchoires en jeu Mais (io:nguer, lui rendanl, c'esl le cas de le line, deni pour dcnl, le ordit si sauvageenl à la lèvre supérieure ( u'il la lui seclionna coiilêleenl. Le feiniier enfouicha sa bicyclelle el s'en vint en ce Irisle èlal à Morlaix se conliei" aux soins du docleur Le Duc et ellre la gendai iiierie au couranl de celle singulière bataille entre son beaufrère el lui. Les gendares Guyoarc'h el C.lech sonl allés sur"i)lace faire l'eikinêle el onl interrogé les Icnioins de celle scène de sauvagerie. Arrestation Les gendares de Morlaix onl procédé, hier alin, à l'arreslalion en vertu d'une contrainte par corjis, du noé '\'ves C.raignoux, journalier agricole à Sainte Sève. Craignonx a élé condané par le Iribunal correclionnel de Morlaix à une aende s'élcvaîd à un lolal de HH) francs, pour ivresse. II a versé hier un acople el été reis anssilijt en liberté. Une grande quinzaine artistique à la Société d'études l^xposition - Concert - E.vcursion (^esl loule une série de anifestations arlisliipies (jui coencera le 21 juin, avec l'ouverture de l'exposition organisée par cette active société Oîtie exposition groupera un nobre considérable d'artistes et atlireia la grande foule. Le jour êe de la cl(')lure, le 1" juillel, une excursion sera organisée, ayant pour but, l'ile de Bréhal, erveilleuse proenade, qui esl appelée à laisser un inoubliable souvenir a tous ceux qui auront eu l'heureuse idée d'y participer. lùilin, [)en de jours après, un grand concert syponi( ue sera (lonnê au prolil de la Société d'éludés, sous la direclion de son chef.m..\u(luc, avec le concours de son exc(;llenle «syni )honia». Un prograe des plus séduisants est )iêvu dès ainlenant, el celle lelle soirée u-vicale cl(')lurera la sais(jn parliculièreinenl chargée de la Société d éludes, ( ui, rappelonsle, a enliepris avec succès ( à Sll'ol-de-Léon, tout dernièreent) d'éleiidie son action intellectuelle à loule la région. L'elforl de ce groupeent ne s'arrêtera d'ailleurs pas à ces téoignages si divers de vilalilé ; des )r()iets sont à 1 olii(ie pcxir la prochaine saison, et nous en reparierons en teps voulu. Kn pleine nuit, UB1 carrier fait une chute de ^ étrés.m. Yves Quillérou, àgéde-loans, )ère de Irois enfants, doicilié à Locaria-Berrien, exploite une carrière à Plourin-Morlaix. )Ourle copte de.m. Goarnisson, entre, preneur à St-Thégonnec. 11 a\ait pris pension au ilébil Larher. Or, dans la nuit de lundi à ardi, vers inuit, il se leva dans l'intention de rendre aux w.-c..v dei réveillé, M. Quillérou prit la fenêtre de sa chabre pour la i)orle. Le alheureux perdit i'ê( uilibre et toba par la fenêtre d'une hauteur de (jualre è- 1ers. M. Quilléron resla inanié sur le sol. Les voisins a\aienl entendu du bruit, ils se levèrent el portèrent assistance à l'infortuné carrier..m. le docleur Le.Jeanne, de Morlaix, andé d'urgence, constata que.m Quillérou était îdleint de fractures (lu féur droil et de l'exlréilé de l'avanl-bras droit. 11 le lit transporter à riu'ipital par l'aulo abulance. L'étal du blessé est assez sérieux ais ses jours ne sonl ])as en danger. a 1 ChapeUerie : ijeaii Casteli 10, Place Thiers S Téléph. 2-95, MORLAIX *.Nlaison possédant le plus grand S choix de chapeaux el casquettes a (te arcpies des piix défiant s toute concunence. a S Chapeaux p' daes et tilleltes S S Réparations - fransforatio ns S «LAAAAABMJIAAABBBA Avis <le la Hlairie la (laie du 1 1 juin couranl,.\l le Maire de Morlaix a pris l'arrclé suivant : Article I. Au cours des journées des 21 el '2.') juin, le slalionneinent de lout véhicule est interdit enlre K! h. el lu h., rues de Paris, d'.mguillon el Carnot..\rticle 2. Les véhicules se rendanl au chap de courses eniploieronl obligaloircenl, à l'aller, rilinéraire suivant, à parlir de la place Thiers : rue {>arnol, rue d'.viguillon. rue el roule de Paris..\ilicle Dans loule la Iraxersée de la ville, les dépasseenls sonl inlerdils, lanl à l'aller (ju'au relour..\rlicle I. Au relour des courses, toutes les voilures eprunleronl l'itinéraire suivant : route el rue de Paris, rue d'aiguillon et jilace Thiers. Celles ((ui ne voudraient par déliler bifur(iueronl :'i la place Traoulen et suivront l'ilinêrairc suixanl : rue des Bouchers, rue Basse, rue du Mur. Article ô. M. le C.oissaire de police esl chargé de l'exécution (lu )rêsenl ariêlé. Ad iidicatioii de.v buvetteiv du f raii«i bal de» courive?» Le saedi 111 juin lu.'h, à quatre heures de l'après-idi, il sera procédé, en séance publi( ue, à la airie de.morlaix, à l'adjudication )ul)li( ue, à éteinte des feux, au plus oltranl cl dernier enchérisseur, de l'installation de deux buvelles au bal des courses. Les intéressés peuvent consulter le cahier des charges, déposé au secrélarial de la airie. Ces deux buvelles seronl adjugées en un seul lot.

11 i' La Tribune ''H'tk J-1.r- Ï-. VT».'i J - I.-t ^ i -. ' Carnet de ariage Nous soes lieureux d'appron (Irc le procliain ariage de M. Jean Fer, lils de Me et M. Fer. le gendare si sypa UrKiueent connu dans noire ville, avec Mlle Yvonne (ialiol. de Quiper. Nos coplients aux failles el nos eilleurs vix'ux de bonheur aux futurs o )oux. Un caion détériore le rideau d'une devanture Vendredi après-idi, vers 1 1 h., un caion apparleuanl à MM.' Koué frères, de Saint-Pol-de-Léon chargé de fagots, a accroché au passage le rideau de la devanture du agasin Morhl. rue d'aiguillon. Dégâts atériels peu iportants. Vol d'artichautk Mardi après-idi, à!."> heures, M. Clech. gendare à Morlaix, passait rue de lirest. devant les étabhsseents ICudes et Berthoier, ( uan(i il aperçut le noé Yves Le Duc, âgé dé (iu ans, cultivateur deeurant à Kerèli/.a. en Saint- Nhnlin-dcs-(Muur.ps. (jui portait un sac sur le lios. Le Duc, t ui a une réputation de araudeur i)ien établie, est très connu des gendares... (ju il connait très bien lui-êe!.\ussià la vue du gendare. Le Duc parut-il (ral)ord gêné puis, après avoir hé-[ PRÊTS D'ARGENT dans un délai axiniuni de 20 jours Sérieuses garanties exigées Avances pour construire et extension Coerce hnportant groupe tinancier disposant de plusieurs illions consentirait prêt^à particuliers par tranche de 25.UU0 à 250.(X)il fr. Taux d'intérêt en lin d'opérations, 4.75 >'/" RIEIV A PAYER»'AVAIVCE Rebourseents en 5, 10, 15 ans axiu Rens. grat.. écrire à : M. Rouiilard Lucien, Agent en banque 10, RUE LEPERDIT, RENNES. Téléph. : Conservez cette offre, elle ne parait que chaque quinzaine HOTEL DES ARCADES Roscoff Déjeuner d'ouverture de Saisop (17.Juin l'.ki.i) Les Fruits de la Mer Les Toates à La Xéva La Galantine de Volaille 1-6 Hoard à l'aroricaine Et pour accopagner : I.e l'oulet Cocotte Maison Les Poes noisettes et la Salade Miosa Hol)e Printaniére Crêpes Locaria Café Vins blanc et rouge Cidre bouché I ne tobola gratuite sera tirée pen Prière de retenir.site un instant, lit-il '""squeent ^ denii-tour!... ' ses tables. Prix ; 20 francs. Interpellé et invité à présenter le ^ contenu de son sac. Le Duc dut] s'exécuter. 11 transportait ainsi 1-1 Aicale Uilos d'artichauts, qu'il avouai de» Ancieni^ Cobattants avoir vole dans un chap appar-j 7-i''15 1 T tenant à M. Uoii'nant. cultivateur H. t.. _/I I». 1. et 1{ à Keriven. Le liuieau de l'aicale des.anciens Le Duc reconnut égaleent avoir (Cobattants des IV' U. L, déiobé à la lin du ois île ai. 271' R. 1. et 74' H. I. T. rappelle des artichauts, au préjutlice de M. que le banipiet a lieu le 24 juin, à l-'aujour, deeurant à "Kerjourdien idi, à l'hôtel de la (.roix Bouge. Le araudeur, (jui a tièjà été Prix du repas : L") francs, condané pour des laits analo- l'envoyez vos adhésions : Iil)crté provi- Coandant Sinais, 71 B. L, gues. a été laissé en soire. Arrestation d^un déserteur Le soldat.losejih Thoraval. du l.y régient d'infanterie, en garnison à (".ouloiers (.Seine-et-.Nhirne) venu en perission de Ki jours chez sa sœur. Me Mohaed. du Hassin. en Saint-Nhirtindes-Chaps, négligea de rejoindre son corps le 4 ai. date à la( uelle se terinait sa perission. Le 19 suivant il était ])orté déserteur. La brigade de Callac trouvait ses traces tlans les preiers jours <le juin et apprenaient qu'il se présentait en tenue ilitaire dans les teres de ce canton, se disant envoyé pour l'achat des chevaux de renionte. Maints niarciiés furent ainsi conclus par lui <iui, bien entendu, ne devaient avoir aucune suite. Vendredi, c'était au tour des gendares du Huelgoat d'être ;ilerlés au sujet du déserteur. Ils le découvrirent au cours d'une tournée dans la coune <le Holazec et le irent en état: <rarrestation en attendant son j transfert à son cor[)s. j Saint-Hrieuc ; Docteur (irenie. Boulevard C.lei enceau, Saint-Brieuc ; I M Hlivet, coerçant, rue.\ris tille Brianil. Saint-Brieuc ;.NL (javilloiix, chaj)elier, rue St- (îuiliaue. Saint-Brieuc. \ enez nobreux. I-"aites de la propagande..aenez des caarades. Il faut que la réunion soit un succès. Les daes sont gracieuseent invitées. L'orchestre du 7r R. L aniera la féte. l^aiiqtio (lo Cjiénoralo roiiosl Brest PARIS Rennc.s AGFNCE DE MORLAIX 29, Rue du Mur Toutes opérations Banque, Bourse Change,.Monnaies or et argent. Paieent coupons.sans frais. ««a Peintures en tous Genres - Décars Anciennes liaisons FLOCH & NiCOJLAS frères S, Hue Gabetta MORI.AiX Droguerie î I RIÂLTO-CINÉMA i N'endredi - Saedi (soirées) Dianche (soirée) ClIAKPIN l'omiks et.leanne dans Bori Aicale de.«ivorandk de Brest et du Finistère On nous con]nui:u(]ue : Le (Coité est heureux de faii-e savoir aux ebres de l'aicale, qu'une sous-section vient d'être forée à.morlaix. Les copatriotes habitant l'arrondisseent de Morlaix et désirant faire partie de l'aicale sont priés de bien vouloir se faire inscrire chez M..lean Leduc. Ji!. rue de Paris à.morlaix avant le 2.") j u i n. Sauf avis contraire, une réunion (suivie d'un banquet) doit avoir lieu à l'hôtel d'europe le dianche S juillet à 11 h. pour la constitution du bureau. Etat-Civil de Morlaix du 7 au M Juin UCM Naissances Aeeroehafie ATHLÉTISME loi du 5 aoul 1920, la loi du 12 juillet 1U23 el par les dlsposllious qui suivent : Vendredi après-idi, vers ].') h. l^l.lestin. de Morlaix. ( ui circulait GAS DE MORLAIX rue Carnol, en autoobile, a accroché au passage l'auto de ^L Convocation.s dénornlnatior de < L'Aroricaine». Arl. 2. Cette société prend la Sa circonscription territoriale coprend la coune de Plouvorn el Denis, chauiveur ;'i Morlaix, (fui 'i'ous les atlilctes se déplaçant à stationnait devant les agasins Lesueven son! convcxpiés dianche prochain, à (i h.."kl, le :itin, La société deandera son afdlia- les cantons liitrophes. «Aux Ares de Morlaix». Dégâts insigniliants. place.saint-martin. L(î départ se tion à la caisse locale de Grédll agricole de Plouzévédc. lera à l'issue de la esse de (i h.."io. " "JJLÎ "î "Jî ÎJ!»»?» Seniors : Tanguy, liellec, Corre I, 3. Celle société a pour objet Kei lir/ii), Péron,'Herthou, Benjain. Despreiz. Houcher, Priser, la anipulation el la vente de lous produits agricoles. La Tribune Sportive Lobjoi de la société peul être o- Tudal, L. I.e. C-all, Ollivicr.,,,..Made(,, i ditlé par décision de l'asseblée ffé- Oliei, (,iie/.eniiec I, I5cu/il, (.ou-1 nôi aie ayanl pouvoir pour revls.-r Tennis-Club Morlaisien chou ron. I les staluis. Toutefois, il ne saurait Juniors : (iuézeu'c 11, (u-llroy, èire porté alleinte à son caractère de La rencontre entre le T. C. de Aurégan, Corre II, Paul. P.enaul. Le société coopérative aj^rlcole, régie Douornene/ et le T. C. de Morlaix Lay. Manach. i.acluier, Dohollou. l)ar la loi du août l'.»20. aura lieu à (^oatserho, dianche 1 / juin, à 1 I heures. Minies: Baron, Perrot,.Masson, Ali J La durée de la société Pauga. Siple Messieurs Kludè de M" Kiio LK BAIL, notaire à Morlaix s, j uo do Hresl..lac( - Hagol Kervarec Hervé - de \'incelles Kervarec.lean - Houilly Hiou - (Hiarles (irilvon Toullec -..Martin - - Castel. Lavananl (CléenL Siplise (irillfon -.Me Mérer Daes.Mlle Bivoal - Mlle Al) ri al Double Mixie.lacq/M' (irill'on - liagol M'" (iuille rot. Martin.Mlle Bivoal - de \'incelles Mlle Abrial. Double Messidirs.lacq,()rilTon - Ragot'Novello.1. Kervarec,.Martin - P.otiillv Coal Toullec - Cliarles'.X geurs susceptibles de jouer est recoandée. La séance d'enlrai-.\lice Iluon, cité d'auont, lille de Pierre et de Aline Oenn. neent du jeudi sera ])arliculièreent alvectée à la préparation au.nlarie Thoas, quartier du (Château. lillede ICugène et de.leanne water- polo. Manchec. Marie Cavarec, 20, Auis aux candidols au li.p.e.s.m. rue Sainte-.Marthe, lille de Jean et Les candidats au brevel de prélaralion ilitaire sont avisés que de Jeanne Taoc. Jean Bourdonnec, ;52, route de (2aMac, lils de 'épreuve de natation facultative.lean et de Marie Le Saoùt. Jacqueline Dafniet, quartier du (Château, lille de Alexandre el de Alice Beusebosc. Publications Antoine Ca/uc. quartier-aitre radio-télégraphiste, à la Madeleine,,.,,., jollivier, chaulteur d'autos. 1, vevaleurs. Courtages - '' Jcnnc Ta «y. ent appliqués. coerçante a Laiivisiau. lùnile Biaise, second-ailre écanicien, route de Plourin et l'ernande Métayer, couturière à St-Martindes-(>hainps..lean Messager. o.s-^ Grand Chaix fl Succursale d Carantec Téléphone O.SS7 die Papiers JPeints l-^ivclusinle i/oin- la réf/ioit des in(ir<iiies Duas, Peters Lacroix Follot, Landy, Saluhra ux d'eglises et d'apparteents Spécialités de St-Gobaln I Glaces el l'are-brise pour Aulos Club Naiiliqtie XATATICN Morl.ii.sicn (^est avec joie que les nageurs du (^.N.M. ont )arlicipé dianche dernier à la preière Irenqiellc ollicielle. Tous sont aniés du désir de progresser, et nous aurons plaisir à enregistrer M nouveau de :iriliants succès. Anis aux na(/curs. Les enlra.ineenls auront régulièreent lieu aux écluses les ardi, jeudi, el saedi, à.'> h. -I.') ; le dianche atin. à U) heures. Le C. N. M. étant engagé en chapionnats lie water- )olo, la présence de lous les na- Adjudication Volontaire Le Mercredi 4. juillet 1934 en l'étude, a M heures Ccune de PLCURIN-MORLAIA Près le bourg ducloilre St-Tbcgonnec La Fere du pocnnoc D'une contenance sous : h. a i'i) c 71 a. 10 c 50 a. L'iÉriiiéÉirii Cn inircia 29. Rue du Mur. Mcriaix, S.A.Il.L, cap A Vendre 1" A (^oncarneau :. jolie vilia «i pièces, su )eil)e sur er. Villa C) )'éces. garage, prix :.S(J 000 fr. Petite i)ropriété d'agré A Louer Apparteent eublé 3 pièces. 2" Quartier.SI imelaine, apparteent 'A pièces. Quartier St-Nicolas : aison avec jardin. i" Diverses propriétés poui saison. el Marguerite Le Lay, odiste, grâce au bienveillant concours de n " ' n ' i 'M, rue.a., de Ciuerniséic, h'rançois Thoas, atelot inlirier, à Bolazec et l'rancine (^)uééner, un tir réel a l'are de guerre ài l i n i i n AI i n odiste, (i, rue Basse..Vbroise forances de i // 'fl fl ' I M \ I garçon-boucher, à St-.Martin-des- Chaps et Bose Le Noan, coulurière, 77, e de Gucrnisac..akiagks.André Saugera, agent d'assurances et.marguerite IU)udaut. inlirière-\ isitcuse. DiicKs.\nne Dantec,.SO ans, (juartier du (Château..\nne.laouen, veuve de b'rançois Riou, 7;{ ans, au (>réou. ^'ves Rrigant, 7;") ans,.'! ois, (juartier du (>hàteau. -.Marguerite Prigent. veuve de René I-'érec, 7;') ans 2 ois, à Kerdaniel. Marie (lallic, éi)ouse de.losepb Rronnec, ans,.') ois, (juarlier du (^Ihàteau. rattachée au B.A.P., et celles du brevet de nageur classé, se dérourouleront à.morlaix le ercredi 20 juin, à 17 h. 1.'), dans le bassin du'c.n.m. Séance de tir. Les candidatb au B.P.IC.S M. du centre de.morlaix, i 21)0 ètres. Les jjci ce preier tir furent et nous ieretteiil d'espc cellents résultats à l'exaen. Oblinrent, dans l'ordre. Le P.ras,.).) points ; Descognets,.=>0 ]). ; i Société Cocperalive li ricii (rinistcrc) Bernard. 27 p. ; Th..Ménez, 2.') )., j etc... Suivant aciesoussignatures privées Les candidats désiiant s'entrai-'^" '"«i enregistré à Plouesner individuelleent pourront par-: f»'' 'e juin IWI. ont été établis ticiper aux entraineents \K,s :statuts neur suit : d une société, dont la tel'ranc-tireurs de Boch' Toull. lireueis scolaires de isolation. TITRE PBEMIKR (a-iic saison, les hrevels scolaires CoiiÂtitutiot; - Dénoination (le natation verront à nouveau les Objet - Durée - Sièûe Social élèves des dilvérentes écoles (lis )uter les diltércntes éi)reuvcs. 2.")., Article preier. l-intre les sous.')()., et lot). nage libre. signés : cha( ue concurrent avant satisfait à l'exaen, il sera.attribué par Moal Michel, cultivateur à Koterdal, en Plouvorn ; Marrec Jean L, cultivateur à Kergonan, on Plouvorn ; la l'édération l'ranijaisè de natation et de sauvetage un diplôe l^oué Christophe, cultl valeur à Trécal, en et une jolie breloijuc. Plouvorn, Une course d'honneur sera organisée entre les eilleuis scolaires, au cours d'une grande IVie de natation. Terres labourables I^andes el bols Prés est (ixée à.^0 années, à dater du jour de sa constitution détlnllive, sauf prorogation ou dissolution anticipée..7. Le siège social esl établi à Plouvorn. 11 peut être transféré en tout aul.re lieu par décision du Conseil d'adiiilslratlon. TITHK II Capital Social - Part.s Verseents Ar/. tj. Le capital social est foré au oyen de parts souscrites par chacun des sociétaires. Le capital initial esl fixé à la soe de I."j.(0J fr. el divisé en l.'j parts de 1.0(10 fr. chacune. Ce capital est susceptible d'augeiilation au oyen soll de nouveaux I ebres, soit de la souscription de ; nouvelles parts failes par les sofiétaires, ou de diinution par suite de déission, exclusion, décès. Interdiclion, faillite ou déconlilure d'associés, Enseble s h. 95 a. 00 c. Jouissance par ains le 29 septebre 1<«5. Faculté de traiter avan adjudica-; LorMiu'un sociétaire vient à décéder, à uoier sa déission, à être tlon. l'our tous renseigneents s'adres-1 exclu, inler(jit, en lailiiîe"'ou'en état ser k LE RAIL, nolnirp. lonlort, vue 2" A Morlaix beau jardin Près Morlaix ent ; prix : 50.0GO Ir. "l".sur route Morlaix-Caihaix : petite fere )our élevage, 5 hectares de prairie. Bons b.atients. A Céder la Morlaix : Hon débitépicerie bien placé ; prix : ku.oco fr. 2" Autre débitépicerie. beau atériel ; prix : 20.i)00. 3>' Bonne boucherie de ville, 2 bœufs, 7 veauv à la seaine, beau atériel Autre boucherie de capagne; alfuire à augenter. ô" Gérance d'hôtel est offerte dans station touristique, belles conditions. jft ïl jl i ) " à PLOCVCRN de déconfiture, la société n'est pas dissoute : elle continue de plein droit entre les autres associés. La vtuve ou les héritiers d'un sociétaire peuvent être adis en replaceent du sociétaire décédé. 7. Au cours du preier exercice, le Conseil d'adinistration aura le droit de porter, en une ou plusieurs fols, le capital social au total de six ille francs ((J 000 francs) au oyen de souscriptions nouvelles postérieures à la constitution de la société. Le capital pourra ensuite être augenté Indt^tiniliveenl en vertu de délibérations de l'asseblée générale décidant la création de nouvelles parts. Les parts seront chacunes de la valeur lixée au deuxièe alinéa de l'article précédent. Art la soe, au-dessous de laquelle le capital social ne pourra être diinué par les reprises d'ap ports prévus à l'arlicle <5 est fixé aux neuf dixièes du capital inillal. Dans le cas où le capital viendrait à élre augenté, il ne pourrait être réduit de plus du tiers du axiuna atteint. Lorsque conforéent à la loi du ô août 1920, la société aura rei;u une avance de la caisse nationale de Crédit agricole, représentant l'eiat. le capital ne pouira, sous aucun prétexte, être réduit dans les liites cidessus fixées, que si cette avance a été intégraleent reboursée. i Arl.!). Chaque part esl payable I intégraleent en souscrivant.! Art 10. Les parts seront toujours noinatives. La propriété de» parts sera constatée par les rc. us des soes versées el l'inscription sur les registres de la société. Le laux de rebourseent des parts ne pourra, en aucun cas. êe en cas de dissolution, excéder leur valeur initiale. Elles sont indivisibles à l'égard de la société qui ne reconnaît qu'un seul! propriétaire pour chaque part. Eu i consciiuence, tous les co-proprlélai-! res d'une part, sonl tenus de se faire I représenter par un seul d'enlre eux, i agréé par le Conseil dadlnistration.! Aucun dividente ne sera attribue! au capital ou fractions de capital.! L'Intérêt servi au capital ver.sé sur ' les parts esl fixé à cinq pour cent (5.i/o) el i)eul êire oditié annuelleent par 1 asseblée générale, sans qu'il puisse jaais dépasser ti '7,,, II. Lec. parts des eltres ' sortants de la société pour une cause et ceux qui adhéreront aux présents quelconque sont annulées. Ces ebres ne peuvent hénétit'ier éventuel- statuts, il esl constitué une société coopérative agricole, société civile leent (jue d'une indenité dans les parliculicre, régie par les articles condilions prevues à l'article 17 ciaprès. 1S32 el suivants, du Code civil, par la Recherches hisforiques sur les Vilie Counauté de Morlaix par Francis tccln Chapitre II {Suite) Cet état de défen-se exigeait de grands hais d'entictien et s'opposait Irtqutent à l'achèvtcnt des halles, de l'auditoire et de I hôiel, niais les circonstances le coandaient tntore. Ainsi en pendant que Kuyter n^ena(,"ait les côtes de la Bretagne, el qu'un dctaclueni de 2.'>o hoir es de la ilice oi laisienr-.e cheinait vers Brest, le pays se souleva, riikuté par les enneis de la j^abelle. le biuit coin ut que la noblesse \oulait piller la ville et prcfiler de ce que les guerres du loi la laissaient sans protection. Des bandes arées paicouiaient en elfet la capagne et ontraient aux poites de Morlaix. du côté de St-Malhifu. Dans cette triste conjoncture, il fallut bien relever les rtparls, iappeler la ilice, laiie \enir pour elle des aies de St-Malo et la payer sur le pied de guerre, à k") sols par jour, (hâce à ces esiiies, les ulins n'entieient pas, et la ville re>lii fidèle au roi, coe Dauénil. Le legislie unicipal de rtitiis est tiès cuiieux, en ce qu'il donne la situation, au viai, de la ville et de ses finances à ictle i pcijiic. el en ce (ju'il citr.ce une eic nouvelle, louis,\iv n'oubliait ni le ccerie ni les villes aiihandes, tout en ebianlant I Huiope sous les pas de ses aiées. II a\ait dit aux bouigeois : «Donnezoi volie Taureau ; il vous cti'ite liop d'aigent, liop de teps, liop d hoes. l'ailes paisibleent de l'agiicullujc, duicn'cice; oi, je \ous gaideiais ieux que voustes lonlie la Hollar.de et les Anglais line aulie lois, il leur cciivit : "Vous \ous gou\erri7. al: vous failes des délits que \ous ne pa>e/. pas ; de lolles dépenses qui NOUS inent. Sui\«z à la letlie le budget que je \cus envoie, el n'allez pas plus loin». Kt aussitôt inleivint un aiiét du (Conseil qui liquida les délies de la cité, lui défendit d'ipiunter à l'avenir et li.\a ses dépenses oïdinaiies. Ce bilan de faillite, cette énuéiation de créances, tout en appienant qu'elles atteignaient (io.i.co livies, c'est-à dire plus de i.>o.coo fr., nous font connaître que les crianciers avaient obtenu des bypolhèques. et opéié des saisies sur les biens des syndics de la counauté. Le roi en prononça ainlevée, 01 donna le icboursient suites preiers fonds libres ; ais il lejela une cicance de iti.oio livres /;<'/// aru es et frais de féroces avec les juges. On voii d'ailleurs au registre du tips que la ville avait, pour taire lace à celle position ciitique, d'ahoid ses ocliois en lenr.e, oyennant i3.(ioo livies par an, puis des denieis patiioniaux alleiés pour ;).(ioo livies. (C'étaient 12 denieis sur cbaqux' picie de toile entiant en ville; 3 sols sur chaque tonneau de archandises ; 2 sols sur chaque porlage de sel : (i denieis sur ihaque peau de Luul ou vaihe vendue ;.i sols sur iliaque tonneau de 1er, plob, etc....) sols sur chaque ihaige de draps de soie et de laine, ceux labriiiués à 10 lieues a la ior.de exceptés). les i- I ôts el billots si Hisaient à peine quelquefois aux gages du gouverneur du Ta U! eau. L aiièt du Conseil fixa les dépenses oïdinaiies de la anièie suivante : Gages de l'avocat-conseil 100 livres Uépaiations des ponts et quais (ioo (hn 1069 on poussa le quai de 'l'ré- guier jusqu'à la tbniaine du Manach. A cette époque, il finissait aux l ances et à la aison l'rébourg). (Jages de tiois hciaulls Au syndic (aire) Logeent du gouveiiuui... (ht Hier de la counauté.. Au tabour A I hoi loger liipices de la Chabre des coptes Sol pour livie au iseur Députés aux lilats J2.1 I îoo I.."101 1') I. us I.!)c,o I I. Ce budget, au oyen d'autres aitides insignifianis, ne dépassait pas livies, et devait apporter nécessairiiiient de grandes odifralions ai.x liabiludcs unicipales. Aussi le cbangcent ne lut-il pas subit. Vous voyez êe la ville, en itili^, donner plus de.u;o livies à ses liioiiies et dépenser une souiine paieille chez ///(>/<' c/u cheval bla\ pour deux dîners, l'un MM. les habiht.s, le jour du ercredi des Cendres : l'autre eu l'houucur de Mouwigr.cur le (iouvenieur. (^)uoi qu'il en soit, la dette liquidée pai l'a't du Conseil était éteinte en igcs;: jaais aulant d'ordre et de régularité n'aviit régné clans la coptabilité counale, et Morlaix, relevée par la grande Itiaiiî dé Louis ^ -V i Xl\', iecoen(,ail à laiie parler d'elle. C'était le teps des troubles de Hollande, des" rivalités du ré niblicain Jean de W'itt et de la aison d'oiange. Durant cette péiiode agitée qui vit Louis.\l\' piotigei el vaincre tour à tour les ai chauds-rois de Batavia. Morlaix sans cesse atleiitive, utilisa la paix et finit par s'accooder de la guerre, ai niant ou ilésai niant ses navires pour la couise ou pour le coeice. Lorsqu'à la paix de Xicgue, it)7.s, elle fil rentrer ses corsaires et rétablit avec la Hollande de lelations d'échange et d'aitié qui lui rappelaient son preier âge. ses arcliands étaient riches déjà. On pourrait cioire êe que l'esprit l'iaand l'avait lendiie froide et peu iséricordieuse. Coe la St-Barthéléy, les persécutions, les draf/ouinuhs passèrent sans l'atleindie. ais sans l'éouvoir. La revocation de ri^dit de Nantes, en i(is.), cet holocauste que les jésuites obtinrent, pût chasser huit ille calvinistes de la Haute Bretagne, elle ne s'inquiéta pas davantage. A voir le silence de ses li\rcs unicipaux sur ces grands laits de l'histoire, on devine un niélange d'égoïse, d'inditlérence, de raillerie dans cet instinct qui la rendait si cale, pendant que le pays épanchait sur lui-êe cette excessive activité dont la guerre avait lait un besoin et que la paix ne pouvait lopre. l'ne chose l'occupait néanoins, la nécessité de se débarrasser de ces otlices oiseux dont la royauté perettait le rachat poui alléger les charges du trésor L'entreprise était dithcile, car l'ipecuniosité royale obligeait souvent Louis.\IV île leuiplacer l'otlice racheté par de nouvelles créalions. Quoi qu'il en soit, les Morlaisieiis pci sévéi èrent dans leur plan de libéralion. et lorsqu'en ilii)y, l'état ciéa des charges àc lieulcuaul cl /procureur du rci de fudice, avec ces èines attributions que les juges.ivaienl illégaleent retenues depuis Charles L\, la ville les acheta, les léunit à la counauté pour qu'elles ne lussent ()as leveiulues. Le Maire prenait le titre de lieutenant-général de police el le corps unicipal noait le piocureur du roi de police. On pouvait exercer ces fonctions à 2;> ans. Il va sans dire que ce procuieur du roi n'était pas le êe que celui qui siégeait au Tribu.ial. (à suivre).!

12 Lji Tt^bune -i a Les paris ne pourraienl être Iraiisniises à un tiers que dans le cas ou la retraite du sociétaire aurai! pour etïet de réduire le capital au-dessous de la proporlioti lixée par l'article S. Elles ne seraient alors transissil)les que par voie de cession et avec l agroeni du Conseil d'adinlstralion. Le Conseil d'adinistlion peut exercer au no el pour le copte d'un associé ou de la société elle-cine, un droit de préeption, au prix étal)li d'après le dernier inventaire. Les dispositions des deux pira^rraphes précédents du précédcni article sont égaleent applicables au cas de décès d un sociétaire. Le Conseil d'adinlstralion peut, en outre, s'il le jujje utile autoilser la cession à un autre sociétaire ou à un tiers, d'une ou plusieurs parts appartenant à un inelire restant dans la société. TITRE 111 Adissions - Retraites Exclusions - Décès - Rebourseents 12 Tout sociétaire doit être agriculteur, de préférence ebre d'un syndicat afïricole, et résider dans la ciixonscription déterinée à l'article 2. Peuvent éfialeenl être adises coe scciêtaires, les associations afîricoles ayant leur siè^fe ou leur ravond action dans la circonscription. Toute collectivité devra, pour cire ebre de la société, avoir une constitution légale lui conférant la personnalité. L'adission des sociétaires n'a lieu qu'en vertu d'une décision du Con seil d'adinistration. Toul sociétaire doit souscrire au oins une part. L'adhésion à la société coporte enfrageenl de se conforer non seuleent aux présents statuts, ais encore à tous règleents intérieurs qui pourraient être établis. lo. Ci'aque agriculteur, înebre de la présente société, s'en- {fage à fournir a celle-ci tous les pro dutts de sa récolte en lejiues, à l'exception de ceux tiui sont néces saires à la consoation de safailie et du personnel de son exploitation. Dans le cas où le raassage des produits dans quelques counes ou partie des counes serait trop onéreux par suite de la trop petite quantité de produits ou pour toute autre cause, le Conseil d'adinistration se reservp le droit d'accepter ou de refuser les fournitures des sociétaires de ces counes ou parties de counes ; ais ces sociétaires auront le droit de livrer à leurs frais, les produits aux raasseurs à l'endroit le DIUS propice qui sera indiqué par le Conseil d'adinistration. Tout sociétaire qui, sauf le cas de force ajeure, n'aura pas fourin les produits qu'il était tenu de livrer dans le cours de l'année, sera passible de doages-intérêts pour le préjudice qu'il aura causé à la société. 11 pourra être exclu dans les condilions déterinées à l'arliclc 15 ciaprès. 11. Sauf application de l'article Kî ci-dessous, tout ebre a ' le droit de se retirer de la société au oyen d'une déclaration signée par lui sur un registre spécial tenu au siège de la société. L,a déclaration devra être faite au ' oins un ois avant l'exercice annuel. 15. L'exclusion d'un sociétaire peut, pour des raisons g(a ves, être prononcée ; notaineni, si le sociétaire a été condané a une peine criinelle ou correctionnelle el s'il a cherché à nuire a la société par des actes ou des propos de nature a iroubler son fonctionneent et, en paiticulier, s'il a fraudé les produits qu'il lui a apporté. Dans ce dernier cas, le Conseil d'adinistration peut prendre iédialeenl une décision interdisant au sociétaire l'apport de ses produits. L'exclusion est proposée a i'assein blée générale par le Conseil d'adinistration. Elle porte tu'el du jour ou la décision a été prise par ^as^cl>lee générale qui, pour délibérer valableent, doit être coihposée coe il est prévu a l'article 11.îj 2 ci aptes, pour les asseblées géneiales ayani pouvlir de odilier les statuts. Le sociétaire est invité, par lettre recoandée, à se présenter, s'il le désire, devant l'asseblée générale pour être en tendu con Iradictoireen t. L'exclusion est prononcée d'oflice contre toul sociétaire ayant fraudé les produits qu'il a apporté a la société. Le sociétaire exclu peut 3lre frappé d'tine pénalité et des poursuites peuvent être exercées contre lui devant les tribunaux. 10. Lese/fei.sde la retraite volontaire d'un sociétaire seraient suspendus si cette retraite devait avoir pour conséquence : soit de réduire le capital social au-dessous du chilfre iniu lixé par i'arlicle!s, soit de porter un préjudice a la société en la privant des apports en nature effectués pai' le sociétaire. 11. En cas de retraite, pour quelque cause que ce soit, le so. iétaire ne peut prétendre au rebourseent de sa part dans le fonds social ou dans le fonds de reserve. Toutefois eii cas de déission pour une cause de foi ce ajeure (cessation de bail, changeeni de doicile, etc.). le Conseil d'adinistration peut décider, s'il y a lieu, d'accorder une indenité aîi sociétaire déissionnaire et. dans l'affirative, en fixe le ontant, sansquecette indenité au sociétaire de issionnaire puisse excéder le ontant des soes versees par lui sur ses )arts sociales, des intérêts dus sur ces parts, et des ristournes qui peuvent lui revenir. Le Conseil fixe égaleent répo(iue a laquelle le paieeiit de ces soes pourra être etlectué. Toul ebre qui reste de faire partie de la société, à un titre quelconque, reste tenu pendant ciini ans et pour sa paît, envers ses coassociés et envers les tiers, de loutes les obligations existant au oent de sa sortie. Les clauses du présent article sont applicables, s'il y a lieu, aux héritiers ou ayants-droit du sociétaire décédé. IS. L'ancien associé, auquel une indeninilé a été accordée par applicalion des dispositions de t'arlicte précèdent, ou ses héritiers ou ayants-droit, ne peuvent, sous au cun prétexte, provoquer l'apposilion des scellés sur les biens ou valeurs de la société, ni en deanaer le partage ou la licitalion, ni s'iiscer en aucune fa(;on dans les affaires sociales ; ils uoivenl s'en rapporter aux décisions de i'assebléegenérale. TITHE IV Adinistratioi^ 19. La société est adinis trce par un Conseil coposé de sepl eures pris pari les sociétaires et noés par l'asseblée générale. 3u. Chaque adinislrateur don être propriétaire d'une part pendant toute la durée de son andat. Ces parts sont atl'ectéesà la garantie de tous letî actes de leur gestion, ôe de ceux qui seraient exclusive ent personnels à l'un des adlnisti aieurs. Elles sont Inaliénables, frap pées d'un tibre indiquant leur inalieiiabillté et déposées au siège social. 21. Les adinistrateurs sont noés pour trois ans. Le Con seil se renouvelle par liers chaque année. Los deux preières series sont désignées par le sort. le renouvelleent se fait ensuite à l'anciennete. Les adinistrateurs sortants sont toujours rééligibles. 22. En cas de décès, déis sion ou départ pour toul autre cause, d'un ou plusieurs adinistrateurs, le Conseil d'adinisiration peut procéder provisoireent à leur replace eni Le choix du Conseil doit èlre souis a la ratill ;ation de la plus prochaine asseblée générale. Chaque ebre ainsi noe achève le teps de celui (lui a coencé el qu'il a replace..1/7. 2o. Chaque année le Conseil noe pari ses ebres son bureau copose d'un président, de deux vice présidents d'un tiésorier el d'un seciotairc. 21 Le Conseil d'adinistration se réunit au siège social aussi souvent ( ue l'inleiét de la société l'exige, au oins une fois tous les six ois, sur la convocation du président, ou, en cas d epechenient, sur celle d'un des vioe-i>résidents. ou encore toutes les fois que l'un des ebres en fera la deande. Les dciii)éralions seront prises à la ajonlc absolue des ebres prei^cljls. En cas de i)ai tage, la voix du pre^iideni est preponderante. Nul ne peut vnter par procuration dans le sein du Conseil Les délibérations du Conseil sont conslatees par des procès vei baux poiles sur un registre spécial et signes par le président el le secretaire (lui y ont pris pari. Les copies ou extraits des délibérations a i)roduiie en justice ou ailleurs soin certilies par le président du Conseil ou par 1 un des vicepiesidents. 2i!. Le Conseil d'adinlstralion est chargé de la direction générale d^:^ la société dont il doit la clôture Je assurer le bon loiictionneenl. Il a nolaenl les pouvoirs suivants qui sont seuleent indicatifs et non liitatifs : 11 représenté la société vis-à-vis de l'etat, de toutes les adinistjations publiques et privées et de tous tiers el faii toutes lc.«opérations que coporte celle représentation ; 11 an Ole le budget de la société ; H ('onne pouvoir pour loucher les soes dues a la sociele et payer celles qu'elle doit ; Il donne égaleent pouvoir pour sousci ire, endosser, accei)ier et ai - (juiltcr tous ell'ets de coerce ; 11 statue pour tous Halles el archés rentrant dans l'objet de la société ; 11 décidé de faire [larliciiier la société a toutes souissions adi nistralives ou autres ; Il consent et accepte tous baux, ;onlrals d'alleiage el toutes proesses de vente, el ce, oyennant les prix, sous les charges et conditions iju'il avise, êe pour une duièe excédant neuf annees ; 11 accepte tous legs el donaiions ; 11 peut acquérir, échanger ou ven dre tous ieubles, coiiiracter tous eprunts nolaenl au oyen de réission d'obligations, constituer toutes hypothèques et autres garanties sur "les bieiis de la société. Toutefois, l'éission d otillga'.ions doit être autorisée par l'asseblee generale ainsi (juc loul eprunt au dessus de dix ir.ille fiancs ; 11 autoiise tous retraits, transferts el aliénations de fonds, rentes et valeurs appartenant a la société ; H donne el autorise tous ac(iuiescenieiits el désisteents, ainsi (lue loutes ainlevées d'inscriptions, saisies, opposilions et autres droils avec et sans paieent ; Il décidé l'exercice de toutes les actions judiciaires, tant on deandant iiu'en défendant ; 11 peut provoijuer toutes résolutions de ventes, traiter, coposer, coproettre, transiger en toul étai de cause ; 11 ariête les étals de siluatlon, les inventaires, le bilan el les coptes qui doivent être souis a l'asseblee généra le, il statue sur toutes propositions a lui faire et arrête l'ordre du jour des leunlons de celle asseblée; Il gcmc d'une l'ikjon générale toutes les all'aires et poui\olt a tous les inléièls sociaux. En un ol, sans aucune liilalion, auiie que celle des j)ouvoirs el atlributions expresséent rései vocs aux asseblées générales par les présents statuts, le Conseil d'adinistration a les pounoirs les plus étendus de ges tion et d'adlnislralloii. Le président du Conseil d'adinistration représente la société en ju.stlce, tant en dcandaiil quen délendanl ; en consé( uence, c'est a sa requête ou contre lui que doivent être intentées toutes actions judiciaires. 27. Les fonctions de ebres du Conseil d'adinistration sont gratuites. Les ebres du Conseil d'adinistration auiont seul» nient droit au rebourseent des dépenses (ju'its ont pu être appelés à faire dans l'exercice de leur andat..1/7. 2S. Le Conseil d'adinis Irai ion peut déléguer tout ou partie de ses pouvoirs à son bureau..1/ Le Conseil d'adinistration peut égaleent conférer des pouvoirs à lelle personne ((ue bon par andat spécial el plusieurs objets délerlui seble pour un ou inés TITHE \ Direction.-1/7. oo. Si besoin est, le Conseil d'adinisiration peut noer un directeur* qui pourra être une per sonne étrangère à la société. Le directeur exerce ses l'oncuons sous la dlreclion, le contrôle et la surveillance du Conseil d'adinis Iration. 11 rc^'oit un traiteent annuel dont la (luoiilé esl arrêtée par le Conseil d'auinislration qui déterine aussi les autres avantages (lul peuvent lui être accordés. Le personnel salarié est placé : ous les ordres du directeur. -1?7 ol. Le directeur représente le Conseil d'adinlstralion vis-à-vis des liers dans la liite des pouvoirs qui lui ont été confiés. TITHE \ 1 Coission de Surveillance Un ou plusieurs coissaires, ebre ou non de la société, ais pris en dehors du Conseil d'adinistration, seront désignés clnuiue annee par l'asseblée générale. Ils soiil rééligibles. Ils peuvent être rétribués par décision de l'asseblée générale. Le ou les coissaires ont, à toule époque el loules les fols qu'ils le jugent convenable dans l'intérêt social, le droit de prendre counication des livres el d'exainer les opérations de la société Ils peuvent toujours, en cas d'urgence, c0nv0(iuer l'asseblée générale. En cas d'epêcheent de l'un des coissaires, celui ou ceux qui resien t peuvent procéder seuls. TITHE VU Asseblée générale.1/7..j'.y. L'asseblée générale, régulièreent constituée, représente l'université des sociétaires ; ses décisions sont obligatoires pour tous, êe les absents, dissidents ou incapables. L'asseblée générale se copose de tous les sociétaires à jour de leurs verseents. Les convocations sont faites" par une lettre adressée à chaque sociétaire au oins dix jours avant l'as seblée el au dernier doicile qu'il aura fait connaître à la société. 1/avis de convocation relate l'ordre du jour..l? L'ordre du jour est an clé par le Conseil d'adinistra-j tion. Il n y est porlé que les proposi-1 lions éanant du Conseil ou, s'il y a ' lieu, des coissaire, ou bien celles I qui ont été couniquées au Conseil ' un ois au oins avant la réunion, avec la signature du (juart au oins : des sociétaires. i Le ou les coissaires de surveillance anêtent l'ordre du jour de l'asseblee genéraie convoquée par eux êes en cas d'urgence. 11 ne peut être is en délibération, dans toute asseblee, ([ue les objets portés à l'ordre du jour..1/7. o.'j. L'asseblée générale esl présidée par le président du Conseil d'adinistration el, en son ahscence, par un des vice-présidents ; a défaut, par l'adinislraleur que le Conseil désigne. A défaut encore, l'aseblée noe son président. Les lonctions de scrutateurs sont replies p-ir deux secrétaires désignés par l'asseblée générale. Le bureau ainsi coposé désigne le secrétaire. Le président à la police de l'asseblée et veille a ce que les discussions ne s'écartent )as de leur objet spécial..1/7. 3(). Nul ne peut représenter un soi'ielalre a l'a-sseblée générale, s'il n'est lui-êe einbie de 1«société. Exception est faite pour les personnes orales el pour les iiu^apables, dont le délégué ou le andataire peut n'êtie pas associe..1/7. :il. Chaque ebre ne peut avoir plus d'une voix, (luelque soil le noiiidre de parts i u'il possède L'associe andaihiie ne peut égaleent avoir dioil à plus d'une voix. /I/7.'AV esl tenu une fcullie de présences ; elle contient les nos et doniiciles des associés el le no bi'e de parts dont chacun d'eux esl propriétaire. Celle feuille, éargee par chacun des ebres présents et certiliée par le bureau de l'assciblée, est déposoe au siège social pour être jointe aux procès-verl)aux des délinérations. Les délibérations de l'asseblée générale sont constatées par des procès-verbaux Inscrits sur un registre spécial el SiHné par les ebres du bureau. Les copies ou extraits de cei: délibéiatloiis, a produire en justice ou ailleurs, soni signés )ar deux el)res du Conseil d'adniinisirallon..1/7 :{'.). L'asseblée générale esl convoijuée aux lieu jour et heure désignés par le Conseil d'adinistration dans l'avis de convocation. Elle est convikjuée au oins une fois par an, dans le s( niestre (jul suit rinvenlaire. f L'asseblée entend le rapport des col Mi^s sur les coptes el sur lo ly^n/présentés par les adviinistralj^f^/f elle discute, ap uvejyu ubckfie ces coptes et ce bilan. Elle lixe le ontant de la ristourne à réparlir entre les sociétaires el la valeur des parts après inventaire. Elle noe les adinistrateurs à replacer et les coissaires chargés de la surveillance pour l'e::ercice suivant. Sur la proposition du Conseil d'adinisiration, elle décide, s'il y a lieu, d'augenter le capital social. Elle constate les augentations el diinutions du caplial effectuées. Elle délibère sur loules aulies pro positions portées à l'ordre du jour Enfin, elle prononce souveraineent sur tous les inlérêls de la société et confère au Conseil d'adinislralion loules aulonsallons nécessaires. /Ir L'asseblée générale peut être convoquée en dehors de l'asseblée annuelle, soit par le Conseil d'adinistration chaque fois qu'il juge utile de prendre I avis des associes ou d'obtenir un copleeni de pouvoir, soil sur la deande pi'e senlee au Conseil d adinislralion pour des oufs bien delerinés par le quart au oins des associes, soil d nigence par le ou les coissaires de surveillance. Arl, 11. L'asseblée générale, appelée a délibérer dans tous les cas autres (jue ceux qui sont prévus aux paragraph '-'S suivants, dcil êlre co posée d'un nobre de sociétaires représentant, par eux-êes ou par procuration, le sixiee au oins du nobre total des ebres inscrits a la date de la coiivocaiion. Lusseblée généiale, appelée a délibérer sur des luodiflcations aux statuts, doit être coposée d'un nobre de sociétaires représentant, par eux-êes ou par procuralion, la oitié an oins du nobre total des ebres inscrits a la société a la date de la convocation. Il en est ue êe de l'asseblée générale appelée a statuer sur la prorogation de la duree de la société ou sur sa dissolulion avant le lere llxé, ou a décider sa transforation, son annexion ou sa fusion avec une autre socieiè. Si l'asseblée générale ne réunil pas un nobre de sociétaires en proportions suflisanles pour piendre une délibération valable, suivant les distinctions ci-dessus elabues, une nouvelle asseblée esl convoquee au oins dix jours a l'avance, Uans la fore indiquée dans l'article lîlî ci dessus, cl par une insertion dans un journal d'annonces légales du départeent où la société a son slege. Celle convocation reproduit l'oru e du jour en indiqua.:l la date el le résultat de la précédente asseblée. La seconde asseinblée délibère valat)lenienl quel ((Uc soit le nobre de sociétaires présents. /1/7. J2. - raie appelée a deliberer sur les o dilijatioiis aux statuts et sur les autres points vises a l'arllcle précedenl, paragraphe t les résolutions pour être valables, doivent reunir les ueux liers au oins des voix des sociétaires présents ou represenles. Dans les autres assenihlées, les délibérations sont prises a la ajorité des sutl'rages expries. Eu cas ue partage égal des voix, celle du président esl prepondeiante. Art lo. L'asseblée générale ne peut porter atteinte aux dispositions fondaentales énuiiiorees a l'article (il ci-après. Ijorsque la réserve spéciale alleindra un chifl're représentanl cinq fo!s le ontant de la soe à rebourser annuelleent a la Caisse natio nale a raison de ses avances l'excédent de recettes, après prélèveent indiqué ci-dessus pour h rései've ordinaire el le palcniint de l'intérêt du capital, sera verse dans la pro portion de cinci pour cent cgalenieni a la resei've ordinaire. 77. En cas d'insuffisance poui' le paieent de rintcrél au:; l)roprietaires de parts, le copleeni sera pris sur le fonds de reserve ord naire. Dans le cas où l'invenlaire révélerait des pertes, le onlanl de ces perles serait egaleeni prelevé sur le fonds de réserve ordinaire, en cas d'insuffisance sur les excédents disponibles des exercices suivants et avant le préléveei.t des inteiêls du capital social. 16'. Le paieent de i'intérêi alloue aux pioprleiaires de parts el de ristourne aux sociétaires a lieu dans les trois ois qui suivent 1 as seblée generale annuelle, aux époques lixees par le Conseil d'auinisiration, par les voies et oyens indiques par lui. ^1/7. -y.'a Tout Intérêt non réc.aiiié dans les cinq ans de son exigibilité et toute ristourne non reciaee dans 1 annee de son exigibilité sont piescrlls. La prescription s'opure confore ent a la loi. TITHE.\ Réserve.1/7. ûu. Lorsque la réserve oruinaire aura alteinl le ([uarl du capital social initial ou augiiienie, l'asseblee générale décidera sui' la proposition du Conseil d'adinistration, si le surplus seia laisse a ce copte en tolaiiie ou en partie ou s'il sera eployé : en pieier lieu, a rebourser par anticipation les avances accordees par la Caisse nationale de Crédit agricole ; en second lieu, a aortir, par voie de tirage au son, les parts souscrites par les sociétaires ; ou encoi'e, a parer a toutes èvenlualites et a fonder des eia blissuuents utiles au deveioppeent lie la société. TITHE.\I -1/7. 5tJ. La société doit se souettre aux opérations de contrôle el de surveillance ordonnées soil par le Ministère de l'agriculture, soil par la Caisse régionale de Crédit agricole utuel, (jui aur'a couvert de sa responsabiliie la deande d'avance de la société. Elle doit faire approuver son règleent intérieur par la Caisse nallo> nale de Creult agricole. /i/ La coptabilité doit êlre tenue conlorenienl aux prescriptions du Code de Coerce el aux instructions de la Caisse nationale de Crédit agricole. yl/7. rj<s'. Toute odification projeiee aux statuts sera portée a la connaissance de la Caisse régionale, responsable du rebourseent de l'avance, lacjuelle avisera la Caisse nalionale de Crédit agricole. Des odifications aux slaluls ou la aissolutlon de la sociéle ne pourront etre considérées coe acquises ( ue lorsque la Caisse nationale de Ci edil agricole aura notifié qu'elle n'y rail pas d'objection a raison des conditions dans lesquelles l'avance a été consentie..1/ ])ans le cas ou la société n aurait pas observe les conditions d'attribution de l'avance conseiilie par la Caisse nationale de Crédit agricole, le rebourseent de celle avance deviendra iédiateent exigible. En outre, la société seia tenue de verser à la Caisse nalionale de Crédit agricole la dillerence entie l'intérêt réduit auquel l'avance a élé cunsentie etrinleiêl lixé dans les conditions déterinées par l'article Xi du decret du S) février liii'l, odifié par rariicle du decret du '.avril celte ditl'éience calculée de la date de l'encaisseent de l'avance a celle de son rebourseent. Les dispositions du paragraphe précédent seraient applicables, nolaenl au cas ou la soit.'iéte viendrail a ceder ses installations a un industriel, coei(;anl ou a une société d'aclionnaires. Dissolution - Liquidation '}!. En cas de perte des trois (luarts du capital social, les adinistrateurs soni tenus de provoquer la reunion de l'asseblee generale de tous les sociétaires a itllel de statuer sur la iiueslioii de savoir s'il y a lieu de prononcer la dissolu Dans l'asseblée géné-; lion de la société Certifié par le Gérant soussigné TITHE \'lll Inventaire.1/7. J i. L'exercice coineiice le preier janvier et linit le trente-etun decenre. Par excepiion, le preier exercice coencera le preier juin il neuf cent irenie-quatre pour se lei iner le trenle et-un deceinbro delà êe annee. L'intérêt à servir aux propriétaires de parts ne coence a courir qu'a pailirdu preier juin il neuf ceni ironte-qualre. I.'j. H esl établi, à la fin de chaque exercice annuel, un inveiilaire conlenanl l'iiidi alion de l'actif el du passif de la société. Cet Inve.nlaire esl is^ainsi (jue le bilan el le coniple profils'el perles, a la disposilion des couiissaires le quinzièe jour au plus lard, avant l'asseblee generale. Ces docuents sont présentes a celle asseblee. Huil jours avant l'asseblée générale, toul propriétaire de parts peut prendre, au siège social, conmiiunication de l'inventaire el ue la liste des sociétaires et se faire delivi-er, à ses frais, copie du bilan résuant l'inveiilaire el cojiie du rapport du coinluissaire ou tics coissaires TITHE I.\' Répartition des excédents annuels.1/7. 70'. SI lors de l'inventaire annuel, déduction fa.le des charges, frais généraux, aorllssceiits de toute nature el, spécialeent, des avantages de la Caisse nationale de Crédit agricole, il existe un cxcedeiit de recel les, il esl preleve sur cet cx(;cdent : D abord, :>"/,< pour coiisliluer une reserve ordinaire. l'uis, une soe suffisante pour payer aux propriétaires des paris un inierct lixe conforéent a l'article 10 Ensuite, poiu' garantir, en loules circonstances, le renibourseinenl des avances re(,'ues de la Caisse nationale de Credil agricole, il sera constitue un copte denoo «rcsei'vp spéciale». L'excédent de recel les, après le doul)le prélèveent subvise, sera au'eclée a celle «réserve spéciale», dans une proportion t ue devia lixer cluuiue annoe l'assenlée générale el ( ui ne pourra êlre inférieure a cinq pour cent des dits excédents. Le surplus sera laisse a la disposition de l'asseblee générale qui, sur la proposition du Conseil d'auinis trallon, décidera de son affectation el pourra le repartir entre les sociétaires, celte répartition ne pouvant être efiecluée qu'à titre de listourne, propoi lionnolieent aux opérations faites par eu<avec la société. lùi outre, si la société bénclil-ie d une subvention de l'elat, il est forelleent stipulé qu'en cas de perte decaracleie coopératif ou de uissolutlon de ladite société, dans le uelai de aix ans, a copter de la date de rallribulion de la subvention, celleci sera reversée au Tiésor public avant toute répartition de l'actif. yl/7. tj(j. Les dlsposilions des articles bô, ;)»'>, 57, 5S et ci-uessus, j ne seionl obligatoires pour la société Miu'aulanl (;ue celle-ci aura obtenu ' une avance dans les conditions presciiples par la loi du ô août l'.)2u.. I rt. 01. ~ Son t considérées coe fondaentales el, par suite, ne pourront ètie odifiées, les disposiiions des présents statuts designés ci-api es :. Art ;i (dernier alinéa); caractere l^endant la liquidaiion, les, cocpérative agricole, régie ' par la loi du août 19iiO. Art 10 (avant dernier alinéa) : interdiction d'atlribuer des dividendes au capital. Il") (avant dernier alinéa) : principe de la ristourne proportionnelle en cas de répartition d'excédents entre les actionnaires. Art :y2 : Attribution de l'excédent d'actif en cas de dissolution de la société..1/ Tour lout ce ( ui n'est pas prévu aux présents statuts, il sera établi des règleents Inléiieurs par les soins du Conseil d'adinistration. O.i. Tous pouvoirs sont donnes au porteur d'un exeplaire des piescnts slaluls pi ur procéder aux foralités de dépôt et de publications rcijuises par la loi. Le Conseil d'adinistratioti. 1)7..')2. l'expira lion de la Société ou en cas de dissoiution anticipée, rasseblée generale réglé le ode de liquidation ; elle noe un ou plusieurs liquidateurs ou confie la llquldalion aux adinistrateurs en exercice pouvoirs de l'asseblee generaie se i continuent coe penuant l'exis-! tence de la société. Toutes les valeurs de la société ; sont réalisées par les lliiuidaieurs qui i ont, a cet ell'et, les pouvoirs les pius elendus. Après paieent des dettes sociales et rebourseent du capital. : l'asseblee generale, sur la pi oposition du Conseil d'auinislraiion, : décidera i'atti ibution de l'excedent d'actif, soit a une société anaiogue, soil a une autre (euvre d'intérêt agi icole. Si la llquidalion faisail ressortir des pertes excee.anl le ontant du capital social lui-êe, elles seraienl réparties entre les sojielaires par parts égalés. TITHE \I1 Contestations.1/7. Toutes contestations (jui pounont s'elever a raison des all'alres sociales seront, piealableenl à louie instance juulcialre, souises à l'exaen du bureau de la société ()Ui s'elloreera de les regler h l'aiable. En cas d'inslance, pendant la durée de la société ou au cours de la liquidation, le dillerenl sera jugé (lar les tribunaux copétents Uu lieu du siege social..1/7.,'j /. Dans le cas de conleslation, loul sociéliire devra faire eleclion de doicile dans l'arrondisseenl ou se trouve le siège social. A defaul de quoi, loutes assignations, slgnilications el notilications scronl valableent faites au pari}uel du procureur de la l\epubluiue pics le inbunal (ivil du lieu au sicge so.ial. Il n'y aura égard, en aucun cas, a la distance du uoicile réel. TITHE XllI Dispositions générales.1/7..';.';. Conforéent aux dis positions de la loi du août I'.ilH), la socictc est engagee sur l'enseb.ede SCS biens au leboursernenl d^'s avances qu'elle rci^oil de la Caisse nationale de Crédu agricole, représentant l'etat. ii(!s soi'iétaires s'engagent solidaireent pour garantir lenbouisoent de toute avance (jui pourra ainsi être altrlbuée à la société. Ils s'engagent dans les êes conditions pour garantir le rebourseent des piêts (lui pourraient êlre consentis a la socictc par la Caisse irgionale de Crédit agricole utuel. Toutefois rengageent (lui aura ele contracte vis a-vls de la Caisse i;tude (le M-.S\Nyri;H, notaire :'i Taule. A VENDRE A L'AMIABLE A Pcn-Allan Cil CARAXTIX (sur le versant de la rade de.mor/iiix) Trrs ltr;ni lorrain il \n\i\v boisé, conlenanl I.ii-ILÎ étrés eu; rës..10 ni ssaiice i n 1 IMI i a t e. Pour renseigneents, s'adresser au notait e. i:in<le de.\l KI-HDONCl'I-P lioclenr en droit, notaire à.morlai nationale de ih'cdil agricole, en exe cution dos deux sera excc.uté, le pi iorilé. Il est rappelé, rariicle 2'.^ do la confère a l'etal, Caisse nationale un privilège pour alinéas prccedents, cas echeanl, iiar d'autre part, que loi du 5 aoiit l'.»20, représenté par la de Crédit agricole, toutes les soes (lui lui seraient dues à raison des avances conseinies sur chacune des l-arls conslituant le capital de la société. L'aortisseent de ces avances se fera conforéent aux instructions données par la Caisse nalionale de Credil agricole. IVAN'I' acte rc^u par.m'' KKH- ^^ DONCt'I'F, notaire à Morlaix, le i;^ juin l',i;!, enregistré le I I, volue T)! case lifs, Me l llisa Culhéncuc, veuve de Al. Henri Le l.agadec, (Iceurant II. e de Paris, Morhiix, a vendu à la Ville de Morlaix, represenlée par M. Ikuirgol, aire, le tonds de coerce de bains-douches qu'elle fait valoir à Morlaix, allée du Poan- Hen, connu sous le no de «iiains Moilei nes». Les oppositions, s'il y a lieu, devront être laites, au plus tard, dans les dix jours de la seconde insertion et seront revues en l'étude de M' Ki:iU)()Nl.t l'i-", notaire, où doicile est élu. /'onr prcià i' iiiserlioii : KHHDONCl'i-F, notai re. lu' journal est l'xcciili' par uiw c<iuipc d'oiiorier.s.'iiindiqucs ti). Hoclc, y I''-'rue Ganibetta,Morlaix L'Adininislratenr-Géranl : L. H()(J..E. 'H, Pour légalisatioo

13 ÎS Deuxièe Année - N" 106 Hebdoadaire - 23 Centies Saedi 23 Juin 1934 ^V.v;. ; ;...{ JOURNAL RÉPUBLICAIN DE MORLAIX ET DE L'ARRONDISSEMENT Rédaction-Adinistration : Iprierie Louis BOCLÉ. Rue Gabetta. Morlaix Téléphone 2.39 t ^kih V.'r'W^'kà Erreur Médicale La guerre est à î'hoe ce que la aternité est à la fee». Il ij o (]uet(]ues ntois, l'alleagne Ihode el du «Kolossnl» (jcriunniquc. (jui, nu'-n)e sous la férule hitlérienne, Et puis, plus ricu! //'Arc-en-Ciel, Ml 'SSOLISI. n'a f)as renoncé à tout esprit de collahondion sur le plan interncdional, trois senudnes, et (pu, ilcixtid assurer venu se poser à Xuhd il \j a plus de On prétend ipie. depuis (lueiqucs l)our la vi voire dévoué, Z.» gium-re esl à lioo années, les procès civils sont )lus l.es débuts des avocals sont parrares. La niaxie d'après Iiuclle fois curieux à connaître. M' Léon grandeur, il csl. au ôe lilrc proposait à la Fiance un arrange-['e uoijaç/e en double sens en une hniwent pour l'exploitation du sernice l laine de jours, aurail du repartir le un auvais arrangeinenl vaut Cléry, l'éinincnt avocat )arisien. a ( ue la iikilornilt.' osl à ( uc la alernilé, sacré ;!e travail bien copris est oeuvre postal aérien lùirope-aéri<jue du ' lendeain ou le suru-ndcnuiin pour ieux (lu'un bon procès, coinnion-j raconlé les siens; il était encore i'enie», aurail déclaré M. Mussolini dans un discours récent, d'aour, lout coe la alernilé, tandis ( ue la <*ucrre est Il est auéré (pi'une e.\i>loit<dion de ^n lour, /'Ai c-oii-cliel, al serni par la chicane? Lonslalons le fail ; neiiiit un jour: «Tu vas aller au Sud. I rallier Marignane avec son fret de cerail-elie à iniluencer les ais de clerc d'avoué. Le aître. clerc lui.le rtgrelle de n'avoir pas le texte olliciel de ce discours en œuvie de haine, (l'est en vain ce genre, f/iu/ ijue soit le ode de son lerr(nn s'est ol>slinén>enl refusé à l'explicpious pas. Par conire, si i l'alais. Tu te rendras à la preière aiîîs ; la traduction, puis la ([ue les nationalistes chercheraient à prouver, i)ar les Kcri- locootion eployé, quel (jue soit le j (juitter le sol depuis lors, si l)ien qu'on l'audience du iribunai civil se vide,! Lhainbre du tribunal el tu deniancelle (lu li ibunal correctionnel esl : deras la reise de l'allaire ("lauthier counication à la presse ont pags qui s'en charge, ne peul vivre \ a dû faire appel de nouveau à l'aviso qu à coups de subventions, car le j postal pour replacer les ailes pu défoiniei- les parou's de tures. ( ue les hoes ont été [)lus suivie ( ue jaais ; car (-e n'est! conli-e Durand.» fret postal ne peut, en aucun cas, \ défailluides. un secret pour )ersonne (jue si la! Le jeune honiuie se rend au l'hoe d'mlal (pii, d'ordinaire, condanés à subir i)erpéluelleenl des guerres, et que, ces lir les frais considérables nécessités assure bien tranquilleuwnl en ce (jui concerne les alvaiies, hre du tribunal, apeii'oil le j)rési- être assez réunérateur pour aor- l'it, pendant ce teps. Oral Zcp- criuiinalilé augente, c'est surtout 1 Palais, pénètre dans la l"'chani- hiit pi euve tl'une grande faculté d'assiilation et d'adaptation, ; gikm res étant une loi inéluc'aaborde des sujets : bio, ils doivent sans cesse pré- (A'S subventions, parfois ruineuses ; tantôt dans l'autre, un parcours croire ( ue les audiences où se dehoul derrière son fauteuil poui par l'entreprise. < chatpw.teaine, tantôt dans un.sens. correclioielles. Ll il ne l'aul pas ^ dent (pii -avait réun'i les juges ( uan(i il scienliti(iues ; je doute ( ue de parer la prochaine. pour les contril>uables, et auxquelles qu'il a déjà e/fcctué trois /ois depuis jugent les clients de ce li i b u n déliliérer a L ' sur une alfaire dont ' ' il '' telles paroles aient le.xluelleent ])U élre prononcées par le loi divine, de travail, loi divine: On peut ])arler de alernilé, il faut bien qu'un grand pays.<<0 resi- j le départ de Meroz. soient loujours graves, (yesl là (ju'il allait rendre le jugeinenl et. prolitant (lu silence { ui régnait (lans la gne. sont otivées par la politique ^ La grande presse, celle <( (jui-dildu prestige. 'tout», a con.uwré trois li(pies pudi- salle, il claa de sa voix la plus faut venir glaner (les scènes dèsu- Duce : elles coj)ortent une la guerre est une loi diaboli(jue. erreur scicnlili(iue vraient.lusqu'à présent, le service postal \ ques au retard de Meroz : quant claire : La alernile et le travail, France-Arfjentine était assuré en au.v voyages de l'aéronef cdleand. trop évidente. - «huitaiiu', l'alfaire (lauthier-ljurand 1» coe la pesanteur et la gravitation, sont l oi'dre ; la guerre bateau. De Toulouse, le courrier parler, puis(pi il esl entendu (pw l-:tonnenienl profond de lout le partie par avion, en partie par^ elle juge plus siple de ne pas en et la aladie sont le désordre. onde. Le président, cependant, C.oparer la guerre desliuctive à la alernilé créatrice, la guerre ( ui arrête la vie à la alernilé ( ui la piopage. la guerre ([ui bouleveise l'ordre prenait l'air Ions les atins pour seuls doivent copter les résultais II esl criinel de se dérober à (Msablanca où il arrivait le jour obtenus par un e/jort français ; tout dit tra uilleent à l'huissier: la aternité et au travail, dangereux de ne i)as tenir copte ain a bord d'un autre avion, le au dire énergique d'un xénophobe tieux ([ui inlerlo(piail tout sou ibécile!» êe, pour être réexpédié le lende- le reste n'élant que «ratatouille», '( I uissier, faites sortir cet i)iologi( ue à la aternité ( ui le long de la côte nunirilanienne à de a connaissance. de la pesanteur ; il est sain de onde i)ar ses rèllexions iprévues. débuis au Palais... Vous vovez (pie Ce furent, ajoute M" Cléry, es Saint-Louis du Sénégal où un aviso léalise, la guerre ([ui atrophie se ré\\)ltcr contre la guerre et ^ u Apres avoir», rearojue Parisl'ebarquait le soir ou le lendeain une race à la alernile (pii la contre la aladie. Soir. l'un des rares organes (pii ail l'n jour, interrogeant une dae i;a proettait. à deslinalion de Salai (Brésil) d'où, déveiopi)e ; quel contre-sens! Mais, voilà, si l'on adet ces eut le courage de dire ce nuit pensait au sujet de l'échec (pie fou sait... donnait des airs de jeune fee, Il plaidait (levant un prés'idenl, (jui, algré son âge res )eclable, se.autre anecdote sur.m'- Cléry : par étapes successives, il était acheiné sur Hahia, Hio-de-.laneïro, 11 eut été si vrai de considé-i vérités éléentaires, le raisonneent suivant s'inii)osc : la Porto Alegre, Buenos-Aires, San- ]<( Apres avoir déclaré par la voix du il lui posa la (pieslion d'usage : pressé par l'heure du dîner, (pii rer. puisque l'on voulait se placer sur le terrain édical, la aladie recule devant la science. tiago du Chili, etc... F ne lettre ise à AVinislre de l'air que la ligne d'aérique du Sud resterait française, avez-vous?» tions agaçantes : «Fennne Sylvère, ( uel âge hachait son discours d'interrup- guerre coe l'analogue île la la guei'ie reculera devant l'orinlelligenle des peu- d'assurer le transport hebdoadaire Président.» I-^t l'avocat, énervé, i<e ferer la boite à Paris tel jour, ét<nt donc nous nous reconnais.'ions incapables» \'ingl-six ans, onsieur le -- «-Abrégez, aître, abrégez!.,.» aladie ; dans la aladie coe dans la guerre, des èlres ples et devant la jjacilication du courriel». - «Vous ne le paraisse/ pas...» son dossier en «'écriant : ganisation susceptible d'atteindre la capitale de l'argentine au bout de huit jours, ce vivants sont en contlit les uns ^ des esprits, et, pour ne pas être (pli ar(piait un gain de teps con- > (( Monsieur le Président esl < Q)ue j'abrège, soit : lui, tort ;.sidérable par rapport au paquelt ; Oiii, nuiis, du oins.soes-nous trcjp aiable», dit le téoin en oi, raison ; vous, bons juges! <> contre les autres ; il y a huit gene par cette conclusion, le astreint a une arche in/inient coproission avec ina udant. On dut suspendre l'audience et attaque, défense, écraseent de plus siple est d'en nier les plus lente, coupée, elle aii, par de \ [Alleagne... Ce qui ne nis epè- l'u le Président, iplacable, parleenter pour faire rejjrcndreà rhoninie par le icrobe, ou du préisses ; on échapi)eia ainsi nobreuses escales. che pas, naturelleent, de crier bien d'ajouter ;.\1' Ciéry sa plaidoirie. icroj)e par l'hoe : êe à d'autres conclusions tout aussi Le poids lourd,' dans ce rapide ' v o U a b o r a t i o n " Vous paraisse/ davantage.» La ( uestion des honoraires est guéri, riionu- entre en convalescence, il reste allaibli (jucl- l'action des pacilisles, ])ourquoi arilie de Saint-Louis à Xalal. KEFFLFFT. un jour un téoin : le onde des alvaires. li est )ien évidentes : si l'on veut arrêter voyage, était constitué - j - ipar ^ ile T trajet i -^i aiht le oude eut 1er. Le êe président interrogeait une de celles (pii préoccupe le )lus que teps, parfois intire pour [ir i)as interdire l'étude de la que l'aviso postal et deu.x jours à K Tricornet, vous accuse/ Follavoine de vous avoir frappé. Où deander au client et ne saurait le vrai (pie l'avocat ne doit rien loujours ; telle aladie «fait le édecine et en interdire les effectuer par beau teps, alors que lit» de telle autre, tout coe urogrès? par air, di.v heures, au a.viu, P. S. Au cours du rêve gui fil vous a-l-il frappé?» poursuivre en paieent d'honoraires..mais en fait, jaais un avocat doivent suffire pour franchir l'atlantique Sud en sa plus petite largeur. aine dernière, fai été l'objet d'une pied dans le c...» n'est ort de fai pour avoir l'objet de on u Carnet» de la.se- " «11 'a envoyé un coup de la guerre préj)are, êe chez Proclaer que le pacilise le vain([ueur, de nouveaux alheurs. qu'il y a loujours eu des guer- Europe-Aérique du lu Sud da: les " condiiil a ecrire que le grand ol», dit viveent le Président.. de le )ayer. Ceux-ci se font souvent esl une utopie, sous j)rétexte Pour réaliser la liaison réq'uliere copréhensible obtrralion. laquelle] (( Allez vous asseoit- sur ce négligé de deander aux plaideurs La alernilé, elle, ne co- res el (lu'il peut y en avoir eilleures conditions de vitesse, il poète, Paul Valéry, participant au «Le tribunal est éclairé» tirer l'oreille. Il en est des avocats )orle aucune lulle : elle assure, encore, entraîne à ajouter ([ue fallait donc arriver ù.se passer de banquet offert à'.m..'schneider, Tous les agistrats ne sont pas coe des édecins. Au début de dans le teps, le jiassage de l'hygiène esl une utopie, j)uisies el ( ue la aladie est, sans l'aviso, grâce à un apfxireil adapté à H avait chanté en j.trose herétique d'hueur facétieuse. 11 en esl de la aladie ou du j)rocès, le client l'intlux vital à travers la atière, u'il y a toujours eu des ala- ce genre de travail. l'entrée du nouvel acadéicien dans grincheux. C'est ainsi (ju'un jour le n'a (ju'un ol : Sauvez oi à n'iporte (piel i)rix! Ll dès (pi'il esl la production indéfinie d'êtres î/alleagne seble posséder avec l'iortalité». lirésident d'un Iribunai lit à un le Zeppelin l'appareil en (pieslion, vivants à partir d'une asse liitée de atière organiijue ; sons, nous, (pie plus un ilanger cesse enaçante ; nous pen- ()r. l'auteur (/'iùipalinos, (pie avocat l'observation suivante : sauvé : (^est bien cher! Mais il est (pii a déjà fail ses preuves, en effectuant un tour du onde coplet, is en cause a propos du êe son de votre voix.» hoe alla trouver un jour l'illus- d'autres journaux avaient égaleent» Maître, veuillez odilicr le des clients généreux! l'n brave elle renouvelle, à cha( ue généralion, l'élan vital ; elle rajeuvailler à le liniiler el se consa- (jiie autre engin (pie ce.soit,.sans proleslalion aussi honorable pour ton». Il est vrai ( iril esl pénible de cent sous sur la table, il le pria est enaçant, plus il faul tra- jaais réalisé auparavant par (piel- banquet, a adressé a l'un d'eu.v une Il voulait (lire : u (^liaugez de tre Berryer et, déposant une i)ièce nit sans cesse riuianilé, elle crer )assionnéenl au ])robièe copter des traversées oci'ani(pn's celai (pu t'a rédigée, <jue niéfirisantc d'ècoutei- ceiiains inoeals ef (juand (le plaider pour lui dans unealvairt; peret à des cerveaux jeunes de sa destruction. (pli ne se coptent poiii ainsi dire pour le héros (lu dit baïupiel. La un président inaovible a la douce de ur itoyen. Berryer, ausé ot à des organises vigoureux Non, la guerre n'est pas à plus... siple honnéteté nous fait un devoir persi)ective d'entendre à clnupic par la naivetè du bonlionie, de recueillir l'hérikige intellectuel, oral et atériel des an- Or, l'allciikkjne. par le car,al de de la publier, lout coe si nous en audience les êes accents nasillards ou bêlants, il est excusable Au tribunal, l'avocat fut sublie, accepta. l'hoe ce (pie la alernilé esl ses.services copétenls, dit à la élions le destinataire : à la fee : qu'il s'agisse d'un France : «Soyons ais Cinna», d'avoir, par oenis, des ipatiences (pii se Iraduisent par des inslant. lui cria : cêtres vieillis. elle ])ei nie! à la sophise nationaliste, d'une (( Je vous prie de signaler à vos el le client le voyant s'arrêter un et proposa à nos dirigeants de se civilisation de ijrogresser ; elle lecteurs que c'est sans on assentient qu'on 'a copté pari les accès de auvaise hueur et des» Té 1 voici encore cent sous... erieur de traduction ou d'un charger du IransporI de la poste et assure à l'esjjèce une (jualriêe «canal d» de journaliste, ])eu des passagers pour la seule traversée de ratlantique, de Saint-Louis a nant qu'on e prèle l'inlontion de vrai ( ue le juge a encore la res- ais de M. Schneider. Il est inconve- rèllexions désobligeantes. Il est loncore un couj) de gueule!» <liension, la diension des iporte, nous ne l'avalerons siècles, la diension de l'i listoi je. pour ne pas protester conti e cet France la possibilité de continuer pas : nous soiues Irop latins Xalal, laissant à la Copagnie Air- fêter l'élection à l'institut d'un hoe dont la profession est de profiler source de dorir pendanl la plaidoirie, et certains ue s'en i)rivent K; II il II II il H li BB 68» «I ; (ieorges HOCIIKH. des ruines de touie civilisation, alors Sans doute, elle est oentanéent douloureuse, ais continentaii.i- de.son service France- illogise. re.vploilalion des divers tronçons pas ; c'est un oyen coe un que je prétends l'aire prolessiiin de autre d'échai)per àu su )plice des aintenir et accroître cette civilisation. Quels que soient les soins el les VN DÉCOMPTE D' Paul nol'lkt, (l'une douleur iibreenl et Bresil, Argentine et Chili. lieux couns el des propos vides. nécessités quoi oblige le train ordi Dans l'ouvrage ([ue.\i. Kernai joyeusenienl acceptée, d'une douleur désirée êe, ( ui ne laisse de MoiUpi'Uicv. liiiiilos que le souci de sa (iif^nilc et La /'ai.v ordonner par les Mères el (Kji'rffé a 1(1 fdcullc de édccinc naire de l'existence sociale, il esl des Corcos vient de publier sous ce titre : jïucune ruine, aucune acriunie le pur exercice de sa pensée ne sauraient perellrc à l'écrivain de fran- trouvons une intéressante et bien AiiHiotogie du Prix tiéverine, nous Jl!::ll:;jlrll:::il'i!ll;iJl!'M :iuliiao]hliliih;ill pas êe de souvenii'. chir». douloureuse stalitique. I,cs i:;il..si)0 (loniparei- la guerre à la aladie, l'opposer à la aternité, eut été se ettre trop à la portée de l'hoe sij)le ( ui ne coprend { ue la vérité ; les surhoes auraient accusé cette notion logi( uede banalité! Lt puis f u'iporlent la vérité el la logique scientiliciues? Il ne s'agit ( ue d'une iage, et l'erreur atérielle esl perise La Nouvelle Loterie Nationale Le Journal Officiel a publié le détail des odifications apportées au l'onclionneent de la t^oterie Nationale. t-e nobre des billets de cliaque Iranclie sera désorais doublé, en êe teps (jue celui des lots, la Carnet d'un Morlaisien FRANCE-BRÉSIL... L'offre était tentante, et ne fut point repou.ssée à priori. Mais la presse nalioiuilistc veillait... Coenl! se récria-t-elle, s'arranger avec les Boches pour une chose pareille Jaais.' La France est assez grande pour se débrouiller seule. Xous avons des appareils erveilleux et des pilotes adirables SANS RETOUR «««««KunciaH' Un candidat écontent (pi il.s'agit d'utiliser au ieu.v : et si tes Alleands veulent lutter de lùi celle époque où les professeurs vitesse avec nous sur la ligne Europe- coencent d'accabler de alheureux éliives sous un flot de questions, Aniérique du Sud, lunis leur ferons voir de (pioi nous soes capables! plus indiscrètes les unes (jue les autres, sur l'age de -.lo-séphine à la ba- proportion de ceux ci restant fixée à Paris- Biienos-Aires par avion doit (jo du ontant des souscriptiors. élre réali.sé avec deu.v jours de gain taille d'austerlit/,, sur les c(")lés des triangles ou sur l'a.ssociation des (Chaque tranche coprendra 1 lot sur I''rie(lri,schshafén - Buenos-.\ires idées, nous pouvons bien perettre de :> illions, 20 lots de 1 illion, lu aux poètes pourvu ( u'ils exprient une réalité spirituelle. Ir.. '100 lots de.00,000 fr., -lou lots de Le Ministère de l'air céda natu- par Zeppelin... à un candidat de pousser ipiel( ues lots de :!()0.(()() fr., SO lots de 100UUU «colles I) à ses exainateurs. Voici ce qu'il nous écrit el que nous reproduisons scrupuleuseent : Malheureuseent, du point fi >) lots de l'r.. ' relleenl aux injonctions de la de vue oral, la étaphore esl lot:s de b. el 'loo.ooo lots de presse tricolore et, sans tenir copte 200 francs. aussi inexacte (ju'elle l'est sur de la silualioii exacte, décida brus- (I Pourrait-on savoir i)ourquoi ;'i le ph de la biologje. Si les l-:n outre des lots de l'r. seront attribués aux )orteurs des bil- (pieent de faire un aich de viusse l'exaen d'adission à flù-oie des ines de.saint-i^tienne : avec un «/.ejip» qui avait déjà quitté douleur de la aternité ont un lets dont le nuéro sera, dans une.son hangar à deslinalion de Satal. «i" Le concours écrit n'est pas sens, il dillére profondéent de série dillérente, le êe qui aura Alerter Mennoz, équifier /'Arc-engaranti par le secret, le no ilu can celui.(.les douleurs de la guerre. {{agné le lot de f) illions, l.es deux didal étant livré à l'exainaleiir? (!;iel fiil l'affaire de quelques heures. «Tu enfanteras dans la doule» billets encadrant le billet fjaf^nant le >{ros lot recevront chacun Ir. Et, en route jiour le Su(l par les voies (( 2" PoiUHpioi le concoiiis oral se fail le i)endant à «lu gagneras Quand aux 20 billets, qui dans les 20 azurées. Toiil se passa erveilleuseent coe il était à prévoir avec jxisse à huis clos entre l'exainaleur et l'élève, alors que dans la plupart ton pain à la sueur de ton séries, non bénéficiaires d'un lot de des concours l'exaen oral esl public front )>. Assiiler les soull'rances de la fee qui devient êe nuéro, ils recevront égalereil de celle envergure. Arrivée a 1 illion, porteront égaleent le un pilote de cette qualité et un appaent des lots de consolation de «Nous savons que beaucoui) de ère à celles de l'hoe (jui,\atal....marseillaise... dloire des francs. Le nobre total des lils (l'adinistrateiirs des ines passent cet exaen. Mais est-ce une rai ailes françaises... Zeppelin seé en peine au travail était encore lots est ainsi porté, par tirage, à cours de route... Meroz prou officier de la Légion d'honneur, etc... trop siple )our «un iportant 44.").000, représentant un ontant son pérejjtoire?» discours» ; et pourtant, le travail, si pénible soil-il, est la global de 2-10 illions. Les séries devant être au nobre de 10 au lieu de Bref, c'était parfait el, une fois de La parole est à MM. les exainateurs de l'licole des ines... Mais 20,.seront désorais désignées non filus, l'iprovi.sation et la e.sure peul èlre prcléreroiil ils «sécher «condition de lu vie ; il a sa par des lettres, ais par des cbill'res. françaises triophaient de la é- devant le candidat écoutent. LES TRIBVNAVX CÙMIQVES A la Correctionnelle - Pauvres agistrats 1 - La reconnaissance des innocents - Les débuts de M' Cléry - La question des honoraires. pilantes, el si (holes parfois, ipie l'enceinte jèservée au public fait pres(jue toujouis salle coble. Lar le ti'ibunal correctionnel a ses liabiluès. 11 y a (les prévenus cocasses, on renconire aussi des ni:igislrats spirituels. Téoin ce président facé- Quant aux clients, ils sont ();u-- fois déconcerlants. L'histoire esl coiuuic (le cet avocat (pii avait plaidé avec chaleur en faveur d'un prévenu accuse d'avoir volé une ontre. Il avail prouvé par.v! H (ju'il élail innocent el le tribunal avait acquitté l'inculpé. A la sortie, ce dernier jirit l'avocat par le bras : - - c Coent vous prouver toute a reconnaissance..le ne suis pas riche, ais vous e feriez )iaisir en acceptant... la ontre. Tenez, la voici I ). L'histoire ne dit pas si l'avocat la refusa. I)e )uis l'allaire SlavisUy, on ne saurait jurer de rien... Dans le êe ordre d'idées, on cite le cas de ce jeune avocat (pii venait de défendre devant l;i ("uur d'assises un individu accusé de vol cois la nuit, avec escalade, ell'raction, elc. L'èlo(pience counicalive du cher aître avail favorableetil ipressionné le jury (pii ac( uilla le bandit. Une lieiire après, on reuiettail à l'avocat un petil colis contenant deu.x pa(picts de cigarettes et une leltre ainsi conçue : «Mon Avoca, Pour 'avôir pas ac(piittai après ce (pie vous avè di de oi, il aurail fallu (pie les juge il n'ai pasdecucur. Pour nrac(piit lai enver vou.s, je vous envoi cé 2 pa(pié de cigareiles..l'ai barboté le porle-onnai du gendare pendant ( ue vous plaidiai. (^cs ilon l'argent du gouverneent,.le suis orts rran(,a!s de la guerre sont répartis par classe, c'est-àdire )ar i'ige Classe 1920 Classe l'.mll Classe l'.ils Classe l'.m? Classe lolti Classe li)!.") {'.lasse l'.il 1 Classe l'.>i:5 Clas.se 11)12 Classe 1!)11 Classe l'.uo Classe l'.ki'.) Classe l'.ios Classe luot Cla.sse l'.kk'i Classe lilof) Classe too-l Classe l'.ioii Classe li»02 Classe l'.'oi Classe 1<.I00 Classe IS'.)'.) Classe ISilS Classe ISOT CInsse l.sild Classe 1895 Cla.sse IS'.M Cla.s.se ls9;i Classe IS92 Clas.se 1S91 Clas.se 'S90 Classe 1S.S9 Classe ISSS Classe 1SS7 17 ans IS ans H' ans.,.. '20 ans 21 ans.,, 22 ans... 2;i ans.., 2-1 ans.., 2.') ans.., 2(î ans.., 'it ans.., ans.,. 29 ans,., ;K) ans... ans.. 32 ans,., ans.., ivl ans... ans... :>') ans..,.')7 ans.,, ;is ans....'i9 ans.., il) ans,,, Il ans,, 42 ans.., :î ans.., Il ans., i') ans.,, lii ans.., 17 ans.., 18 ans.., 49 ans.., ôo ans.., (".lasses antérieures à 18S7 Sanii coentaires tués."), 100 tués 27.(Î00 tués I."). ;00 tues.'> tués tués tués 91,i;00 tués S;{.',00 tués 72.('>()() tués (IS.(HH) lués (is.oêo tués C'i^.SOO tués.v.t.'ioo lués.'").'5.;ioo tués.y).200 tués.')3.900 tués tués r)0.30() tués 1(1,.SOO tués II.000 lués lués 21,100 tués tués IS.OOO lués ijl.-luo tués l.^.'ioo lués i;{.:!uo lués 9,000 tués tkôoo tués.),320 tués tués lués 1.2.')() lués.'{.900 tués

14 La Tribline A M M n ^ - N V AS. -V fi. <v.> -sf < '. V* r A r î ' T, ' I MOMILAIX Reise de Récopenses i Distribution des prix par la Société des Hospitaliers Sauveteurs Bretons Joudj, à 14 heures, salle des Conférences de la Mairie, a eu lieu la reise de récopenses ilécernées par la Société des Hospitaliers Sauveteurs Bretons. l'n vin d'honneur fut servi. A cette occasion, un orchestre coposé de usiciens dirigé par M. Aucluc, se lit entendre. On rearquait à la lahle d'honneur, M. Sarraul, sous-[)réfel. président d'honneur ; Léon Berlhaul, président général des 11. S. B. ; Verdier, nifinislraleur de la arine ; Bourgot. aire de.morlaix. ; Déchatre, cai)itaime de gendarerie ; Dehré. coissaire de police ; Lavollay, directeur des i-heins de fer écononii( ues ; Argus, président de la section locale des II. S. B. ; Saliou, vice-président de ITnion Fédérale. I^arnii les personnalités présentes, citons M.M. Le (loasco/. adjoint au aire ; Lédan. conseiller unicipal ; 'roullec, ancien juge «le paix de.morlaix ; Marec. ingénieur en chef du service vicinal : Prévost, ingénieur à la anufacture des tabacs ; Sion, ingénieur à la anufacture des tabacs ; Bopars, ingénieur des ponts el chaussées ; Kerhoas,.Marzin. délégués des édaillés ilitaires ; (iodeau. grellier en chef du Iribuiuil ;.Iézé(juel. président île l'aicale ; Le (iall. secrétaire-trésorier de l'aicale ; Marlier. receveur des P. T. 'I'. ; Gourion, architecte de la ville ; Mar/.in, receveur de rhos]nce ; Le.Maître, Coquart. \'inccnl, pharaciens ; Lucien.\larzin. délégué de IT. F. des anciens cobattants ; Le Turdu, de l'association des retraités des cheins de fer français et coloniaux : C.abon, de la Mutuelle du coerce el de l'industrie ; Muller, capitaine de la copagnie des sapeurs-pojjiers ; QuelVurus, du Club nautique orlaisien : le coandant Copi. de la Croix- Rouge : de Heauregard. aire de Plouézoch ; Péron, du Crédit Nantais ; Herry, des ILB.M. ; Pilon, Guizien, Larchier, négociants ; de Pressac, agent d'assurances ; Le Coz. une délégation d'élèves de l'école priaire supérieure de garçons de Morlaix, accopagné e de leur professeur, M. Verhnes, el de M. Jacolot, surveillant général du collège de garçons. Les lauréats.me Troadec,de.Morlaix,a sauvé le jeune ScaniT qui, tobé dans la riviere, était en danger de se noyer. J.auréate des H. S. B. avec diplôe et insigne d'honneur. Mlle Jeanne Kivoalan, de.niorlaix. s'est jetée à l'eau, à Locquirec, pour sauver un enfant qui. isolé sur une roche, était entouré par la er. Lauréate des H. S. B. avec (li )lôe et édaille d'honneur. Pierre Apparnou, âgé de ans, s'est jeté a l'eau tout habillé, dans le port de Boscoll, pour sauver un j)etit caarade ( ui se noyait Lauréat des H. S. P>. avec insigne, iliploe d'honneur et livre. Ce livre contient, dit.m. Beiibaul, la relation des plus beaux actes de dévoueents el de courage qu'il a pu réunir..m. Hippolyte Le Quéi é, de Penzé. a sauvé un hoe < ui allait se noyer dans la rivière «La Penzé». Lfiuréat des H.S.P», avec édaille d'honneur d'honneur, di )Iôe et j)rie. Fini le Filaenl a sauvé, avec l'aide de Hoger lîaoul, un enfant en danger de se noyer dans le canal de Nantes à Brest, à Chàteauneul-du-l-'aou. Lauréat des H..S B., avec diplôe d'honneur, insigne et livre. Hoger Baoul 11 ans, élève de l'école )riaire supérieure de garçons de Morlaix. a sauvé, en août isk{;5,avec l'aide d'i jnile l'ilainenl un enfant en danger de se noyer dans le canal de Nantes à Brest. Lauréat des H. S. B. avec édaille, diplôe d'honneur el livre. Diverses allocutions furent prononcées. M. Argus, )résident de la section loca e, rendil d'abord hoage à M. Berthaut, présideid général des H. S. B. et au dévoueent des couiagenx sauveteurs, dévoueent dans le( uel il n'y a pas, dit-il, de degrés.m. Sarra u le, sous-préfet, apré.s avoir aripié sa satisfaction d'assister à la céréonie et avoir souligné la valeur sociale d'une (l'uvre coe celle des H. S. B,, crut devoir profiter de l'occasion pour l'aire une apologie Ue l'école la'ique, dont cette instiaux Cours Municipaux de dessin La distribution des prix au.x cours unicipaux de dessin a eu lieu le vendredi 1.') juin, à 18 huures, dans une salle de la airie, sous la présidence de M. Bourgot, aire de.morlaix, assisté des professeurs : M.M. Minga, Le Cioascoz, Seznec. Dullô et (irall. La séance ouverte, lecture du palarès a été donnée par le direcdes cours, M. Minga. A l'issue de la reise des récopenses, M. le aire a viveent lélicilé les lauréats, jeunes Mlles et jeunes gens, pour les succès obtenus. Signalant les avantages ( u'offre dans toutes les professions la connaissance du dessin, il a engagé avec beaucoup d'insistance les apprentis à ])ersévérer dans la fréqueiilation des cours et à y travailler avec ardeur. 11 a teriné en coplientant les i)rofesseurs pour la bonne arche ([u'ils onl su iprier aux éludes. Le palarès Prix d'honneur accordés par.m. le Ministre de l'fducalion nationale:.mlles.lacqueline Bonbezin et Louise Labrière. Jcuiu's /illcs l)i\ision sui)érieure. l" i)rix,.lacqueline Bonbezin : prix. Louise Labrière. Preière division. P' section : 1' prix,.lacqueline Dechàtre ; '2 prix, Andrée Penlher ; prix,.marguerite Bollaïul ; accessit, C.aille Le (iuiiier. '2' section : Hélène Bricaul. Deuxiee division. 1"'' prix :.Marguerite La\iec; prix. (ïeraine Laviec ;.'v prix. Hélène Nicolas. 'rroisièe division. 1"' prix,.leannine Gallic : 2' prix, (ieraine.muzellec ; accessits. Louise l'séo,.marie Le Bras,.Vlice Cotton, Marguerite Bichard, Victorine Co( uin. Dessip artistique.icnncs (/cns.') el 1 années. Preière division. 1 section : 1' prix, Robert Provost ; 2- prix, Paul Chartier. 2 section : l ' prix, Pierre Bellec ; 2'' prix, Pierre Laandé ; l)rix. Bené Cobot. Deu.xièe division. 1"' prix, Pierre Cars ; prix, René CrelV. 2 année. prix. Roger Le \'erge ; 2- prix, François Corre ; prix, René.\bily ; ;V prix, exa-quo, Pierre Cobot ; accessit, Yves Fvenal. P année. P prix, Léo )old Le Fouesl ; 1" prix, ex-a-quo, Jean.lézéquel ; 2' prix. Robert (iuillou ; prix, Koberl Tanguy ;.'5 prix, ex-a'(juo, l'rançois Prigent, Pierre Messager, Gilbert Le (îuen ; accessits, Hervé Kerninon, Laurent Kerrien. Dessin industriel.m. François Le (iuillesser, du A el 1 années. - 1' prix, Pierre Diben, s'est porté en baniue, au Bourgés ; '2' )rix. lîené b'ioch. nord de Boc'h-Lédan, au secours d'un arin pécheur, dont l'ebarcation venait de chavirer, avec cette 2" année. 1' j)rix, Pierre L'ouillard el Pierre Quéguiner ; 2' prix, circonstance ( u'il l'a non seuleenl.lean Picaid, Marcel Le Gall et Jacsauvé, ais aussi soigné. Lauréat ( ues l-'agot ;.'i prix, ^'ves Bathany des H..S.B. avec insigne el diplôe et Boger Pinsard ; ention, Guillaue Pvuineur. d'honneur. 1"' année. -- Prix : Cdnislophe.M. Grignoux, boucher a.morlaix. Biochec, Bené Bourges. Yves Bodin,.Maurice Pidoux, Jean Pena a arrêté un cheval eballé. Lauréat des H. S. B.. avec diplôe et niant, Louis Le.leune, b'rédéric insigne d'honneur. Pro\osl, Boger Raoul, Pierre b'ioch, Louis Guillou, Jose )b Pierres, Hervé Slrullu, Pierre Bouel,.lean (>aèrou,.main Tanguy, Yves Le Qué:uéneur, Jean Gourelen, André Oinnes. Nous adressons a tous les lauréals, nos vives félicilalions. CHEMINEES EN MARBRE l'iis plut» chcr que le hcih Tarifs et i enseigneents gratuits J. METTERIE et E. PINEAU (iarc Ki;i!lll ().\ Foire cle^ Jeunv» <iienk Le aire de Moilaix a l'av.'tage lie rappeler aux intéressés ( ue c'est le ercredi I juillet (pi'aura lieu la vieille foire de Sl-Marlin, dite «des Jeunes Gens». Coe d'habilude, les chevaux se tiendront rue Arand-Rousseau, le bétail <'l les )orcs, place Saint- Martin. Sol^ avant Inventaire Lot de Costues enfants. 39,4.9,79 et 29 Lot de Costues jeunes gens. et 41-9 Lot de Coplets hoes. 9^, et 6 0 Lot de Paraverses à 59 fr., soldés. 39 VOYEZ NOS ÉTALAGES Ne pas profiter des Soldes du P R O G R È S '' c'est être ennei de ses intérêts UNION FÉDERALL des Anciens Cobattants et Victies de la Guerre de l'arrondissenient de Morlaix Le (A)nseil d'adinislralion de l'association des.\nciens (]ond)altants et N'icties de la guerre de l'arrondisseent de Morlaix, s'est réuni, sur convocations, à son siège social, ;{2, Grand'Rue, à Morlaix, sous la présidence de M. Le Bail, })Our exainer les questions à l'ordre du jour. Fn ouvrant la séance, M. Le Bail annonce ( u'il a le regret d'annoncer à ses collègues que, pour des raisons personnelles, il se voit contraint de donner sa déission de président de l'association, ajoutant qu'il a l'intention de rester toujours l'ernieent attaché à l'd'uvre des Anciens (>obattants.à laquelle il a consacré 17 ans de son existence. Fn présence de la déterination bien arrêtée de M. Le Bail, il est ensuite procédé à l'élection du nouveau bureau. ()nt été élus : Président : M. Paris. N ice-présidents :.Me (^ercel ; MM. Le Garrec, Saliou, Moins et Barazer. Secrétaire général : M. L. Marzin. Secrétaire adjointe : Me Grall. Trésorier : M..1..-Mexandre. M. Saliou, vice-president, à qui la parole est ensuite donnée, se faisant l'interprète de tous ses collègues du Conseil, salue, en la personne de M, Le Bail, le créateur el l'aniiikiteur de l'union L'édérale à Morlaix, à laquelle il s'était voué corps el àe ; il exprie le profond regret que cause son départ (lui sera ressenti, non seuleent au sein du Conseil d'adinistration, ais aussi de tous les anciens cobatlanls alliliésà 1'.Association dont il avail su con( uérir l'estie el la conliaiice. (Af>pri>h(tli()i).s (jcucraies.).m. Le Bail, très louché de l'allocution de.m. Saliou, reercie en ( uel( ues ots cl déclare i ue s'il résilie ses fondions de presidenl, son concours le [)lus entier restera toujours ac( uis aux anciens cobatlanls et victies de la guerre aussi, est-ce à titre d'indication ( u'ii accepte, coe on le lui lieande, de continuer à représenter l'.xssocialion à la (>(>nlédération générale des Mutilés cl.anciens Cobatlanls et au sein du C.oniiti départeenlal..m. Saliou, contiiiuanl son exposé, pro )ose ensuite à l'asseblée de décerner à.m. Le Bail, en reconnaissance des glands services ( u'il a rendus coe ilitant peiulanl 17 ans, le liire de président hono raire de l'.vssociation des Anciens (^ob.'^llanls cl X'iclies de la guerre de rarrondissecnl de Morlaix. Celte proposition est adoptée par acclaations. Le Conseil donne ensuite plein ij)ouv()ir à M. J..Alexandre, tréso- ' rier, pour taire, sous.sa siple signature, à la Caisse (ric[)argne el à la baiue du C.rédit Nantais, ainsi cptau copte chê()ues i)ostaux, tous les ouveents de fonds ( u'il jugera utiles pour assurer la bonne arche du service. Approuvé à runaniilê. M. Saliou dit ensuite i u'il ne \eul pas voir se clore celle réunion sans adresser à M. Radenen, secrétaire adinistratif, les reercieents p(un' le labeur soutenu et absorbant ( u'il acco )lil, avec lulion n'avait nul besoin. L'assis- désintéresseeiil, et exprie le dêlance, où toutes les () )inions étaient I sir qu'il soit consullé, autant que représentées, n'a pas anqué' possible, dans ' l'inlérêt ' ' êe du d'être cho( uêe par le passage di service, sur toutes les questions ralloculioii de M. le sous-préfet. d'ordre adinistratif ou 1 litigieux. ( ui )rêlendail rei>orler sur l'école Adopté. oflicielle l'honneur (]ui rejaillissail La séance esl levée à "22 h. I"). en la circonslance sur l'un de ses Conseil d'adniinistratici> élèves. Coe si le dévoueeni avail ( uel( ue chose à faire avec le degré de laïcise dessauveteurs!.. M. Berlhaul clolura la série des discours en proposant la section locale de la Société ( u'il )réside, en exeple pour l'activité i ont elle fait preuve et pour les actes de courage qu'elle a en ce jour à récopenser. Année M. Le Bail, président honoraire, délégué à la (Confédération Nationale, à Paris..Mesdaes (acci, vice-présidente, déléguée à l'ollice départeental ; Cirall, secrétaire-adjointe, déléguée à l'office ; Rabaud, secrétaire-adjointe, imorlaix. IV. MM. Paris, président,.morlaix ; Le (larrec, vice jn-ésiilenl, Morlaix; Saliou, vice-président,.morlaix ; Moins, vice-président, Landi\ isiau ; Barazer. vice-présideni, Plouigneau ; Marzin, secrétaire-général, Morlaix ;.Alexandre, trésorier, IMoujean ; Docteur (Coquin, conseiller édical, Morlaix ; Le llire, conseiller juridiiiue,.morlaix Mebres : (Colonel de Soyer, l'iouénan ; MM..lacolot. Rose, Daoulas, Morlaix ; Thêzé 1]., Ploujean ; Sion Y., Kerrien, Kerhoa.s, Allégouet,.Morlaix ;.Andrieux, Plougonven ; Le Boy, Giiiclan ; Boulanger, Santec ; Jac(, (^arantec ; Loslanle, Guerles( uin. Coinis-iion de contrôle. M.M. Marsan 11, Daniélou, Hélary. Délégués à l'o/jice Départeinental. Mesdaes (^ercel el (>rall, M..Alexandre. Propagande. MM. Saliou..Marzin,.Alexandre, Bosc, Paris. J.il!llllllllliiMllllitlll lllllll!lillllilh^!!«l'l!ih!lll ill;l IMPRIMERIE-MÉCANOGRAPHIE Louis Boclé Rae Sabctta, MCRLAIX 't'cléplione 2. Agence des Machines à Ecrire " Rein^ton " NOS CCCASIONS : Reington lu s, cbariot.«i caraet. élite Reington lu.\ Reington Kl s, Reington 10.\ Continsouza H J? Underwood 1.\ pica -.V pica C. itiéilliiffl roan H caraet. pica pica Toutes nos occasions sont livrées ciitièi einent revisées et avec garantie. ObM^qiies C'est avec regret cpie nous avons appris la ort de Me veuve François-Marie Guillou. née Joséphine Le Bail, ère tie M. Lucien (iuillou, conservateur des llypothèi ues à Morlaix, décédée à l'âge de S2 ans, au doicile de son lils, 7, rue de la i'rison. Les obsèques de Me Guillou onl eu lieu ercredi 20 juin. La céréonie religieuse eu beu en l'église Sl-.Melaine et rinluiination au cietière Sain t-cbai les. Nous i)résentons à M. el Me (îuillou, ainsi qu'à toute la lainiue. nos plus sincères condoléances. ScM'viee nié<lic*al Dianche 21 juin, M. le docleur Le.lanne, rue des N'ieilles.Murailles, de is heures à inuil. Téléphone : n" ()7. Le public esl prié de s'adresser uniqueent au édecin ( ui veut bien assurer une peranence à son intention. Pliariiiaeie «le j^erviec^ Dianche 21 juin : Pharacii (,)ueinnec, rue d'aiguillon, Lundi 2.') juin : Pharacie Vinceiil, place Thicrs. :;ai»me «leai Fainillej«I.e trésorier prévienl les sociétaires ipie les réunions de juillet et d'août ne devanl pas avoir lieu, coe lous les ans, de vouloir bien se ellre en règle, lout au oins jus( u'à lin juin. La prochaine réunion se tiendra dianche prochain 21 juin, à partir de 1) heures, dans le local habituel. I^yrc!llrlaiieiiiie! Le tirage de la lobola de la Lyre Morlaisiennc aura lieu le jeudi 2iS juin, à 20 h..'io, à la Maison du Peuple, salle des répêlitions. Les lots seront exposés, à partir du lundi 2.') juin, aux vitrines des agasins de M. (îuizien (» (Coptoir Aroricain «, rue (Carnot), ises gracieuseent à la disposition de la Société. L'audition des élèves de IMorès et Trinquet (^esl devant une salle archicoble, débordant sur le vestibule de l'hôtel de ville, que s'est dêrinilée, ercredi l'audition des élèves de piano de.mlle Trin(piel et des élèves de violon el d'accopagneent de Mlle Morês, preier prix lin (Conservatoire. La séance débute par l'exéculion au )iano, à la ain, de la charante < Suite» d'ingelbrechl, iiililulêe La Xiirsenj. conqiosêe suide vieux airs ])oi)ulaircs, el dans huiuelle, successiveent, les )etits (^ de Langle, J. Le.Naoui..L Legrand, M.-T. et P. Bolol,.1. et G. Co( uarl, P..\llain, IC. Porzier,.1. Lanc.icn. \. Le Jaune el A. Lerorige déployèrent avec leur spontanéilé, leurs talents en herbe. L'Andantino, de Martin, fui aussi très bien nuancé par.mlles S. Tollet, de êe (jue le Uossignolrt, de Grander, orceau pour violon par la jeune l-\ Lancien. (Coe )elanl à la «Suile > pour piano, on avail ensuite le j)laisir d'entendre la «Suile» pour violon. La Journée de Suzij, de.magdeleine Boucheril, oii se )rodiguèrenl l'orl genlient les )elils Y. el K. Lancien,,1. el.m.-.l. (iuioar. H, el.l. Gossein,.1. (îodeau, H. de Langle, Puis on applaudit divers orceaux de Schubert, de Baeau el de Chopin, nécessitant une science plus poussée de l'archel, inter))rêté par.mlles Giblal. du Gossein. Penhoat et L'Andanle cl r.\lle</ro, de liai'iidel, pour violon et piano, peril à Mlles (iuiller et (jiblal de se faire va'oir ])leineenl aux cotés de leur professeur,.mlle.morés, Mlles Serrurier. P. Branellec, S. (Croissant. O. (}iblal. Giblal el Me Le Tous rivalisèrenl de délicatesse et de copréhension dans l'inlerprélalion de orceaux plus dilliciles de Ravel de Granados, de Déodal de Séverac, de (Choj)in, etc... Acco )agnanl.mlle.morés dans ie Preier.MouDenwnl Sonalc, de Lebeau, Me Lancien se révéla pianisle de grande classe. Le Prélude el Fugue, de Piernê el la Scl)er:()-\'alse. de (Chabrier furent enlevés agislraleenl au piano par Mlle 'l'riiuiuel, ((ui. avec Mlle Mores pour partenaire, ettait un éclatant point linal à l'auilition en faisant entendre la Sonate n" l't, de Mozarl. (Celte belle séance usicale l'ait le plus grand honneur aux élèves coe à leurs professeurs el il convient de féliciter les unes et les autres pour les trois heures artisli( ues qu'elles ont dispensées à leur auditoire. Au«lilion inii.sicau' Le M juin, à I.') heures, a été donnée, salle des (Conférences de l'hdlel de ville, une audition usicale par un groui)e d'élèves de.mlle Bingenbach, professeur de usi( ue à Morlaix. l'n nobreux public assislait à cette anifestation artisli( ue, ([ui fui en Ions points réussie, el tout à riionneur de.mlle Bingenbach, dont le laleni esl d'ailleiirs connu el fort ai)précié dans notre \ ille..avec une grâce u line el une copréhension déjà i)lciue de proesses, de jeunes dêbulants el débutantes exêcutêrenl desieuvres de N'. de N'elde, Wolbfarhl, Didier, (Czerny. l'cl [uiis, doués d'un sens usical plus averti, des élèves au jeu )lus dévelop )é, dêontrêreni leurs dons et leur science dans les eilleurs orceaux de GuénilVey, Bel, Slaub, Schuinann. l-cnlin, on atteignit la perfeiiion el la aîtrise, el l'audiloire fut lillêraleenl charé par la a niêre savante, le rythe el la couleur ipii prêsidêreni à l'exéculion des (l'uvres de Raeau, Grieg, Schubert, Beethoven, W'eber,.Mendelsobn, Sydney, Silh. (".elle audition était agreiiienlêe d'une )arlie chorale, parfaileinent orchestrée el excelleent rendue. De chaleureux applau<lisseents saluèrent lour à tour : l.a lionde lies petites Ménageres, de Lorêe el 1. Privas ; LWnge (iardirn, clnrur à 2 voix, de (C. L'ranck ; Ihjne au Printeps, clnrur à il voix.le Dalcroze. La réunion se lerina par Mon gai.moulin, de Dufresneel Bicourt, très jolienl enlevé. Nous présenlons toutes nos félicitations à Mlle Bingenbach cl nos coplienis à ses élèves. Neiger est un plaisir Une assurance sur la vie Apprendre à naûer est un devoir sccial leiines tiens î adhérez sans retard au «Club Nautique Morlaisien» qui gratuiteent cl en > seaines vous apprendra A nager. leunes Nageurs I venez au C. N. M. pour vous perfectionner, étudier les nages sportives, jouer au water-polo, plonger, cl surtout vous entraîner au sauvetage. Syndicat «Ic'Aî c'oinervants «le archés «lu i\r«l-finistère On nous couniijue : Le (Coité des (Coerçants de Marché du Nord-Finistère s'esl réuni le vendredi (S courant à I.aiidivisiau sous la présidence de M. LalVon. 1-jaienl présents ; M.M. LalVon, président ; (iarrec, vice-président ;.Aurégan, secrétaire général ;.leanrot, secrétaire adinistratif ; Bellanger, Irésoriei' ; L'rieii, Thouvenol, Pount. Prigent, Perrot, Bouche. de la (Coission loxécutive. Le président ouvre la séance el donne la )arole à.m. Bellanger, ( ui, dans son rapport, déontre une situation très satisfaisante de la Irêsorerie du Syndical. Des félicilalions lui sont données pour sa bonne gestion.,m..leanrot prend la ])arole en ce ( ui concerne le danger créé à notre,' organisation par es agasins à prix uni( ues et la ise en roule de caions de veide, et donl le but n'est (jue de inellre l'ebargo sur toute l'activité coerciale française actuelle, alin de pouvoir plus lard se réserver l'exclusivilê du ccnneice français. Le bureau en enlier assure de son appui oral, et le cas échéant de son appui elveclif, les coités de défense des petits coerçants alin ( ue cesse une situation qui ne pou ira il (pie s'aggraver de jour en jour. Il décide ( iril sera adressé une lettre de protestation visant les agasins )rêcilés à.mm. les Sénateurs el Présidents des (Chabres de Coerce du Finistère. Le (Conseil d'.adinistration esl heureux d'autre part de rendre hoage à -M.M. les gendares el agents de police pour leur ardeur à ettre bon ordre dans tous les archés de la région, ceci pour le bien des coerçants de archés honnêtes auxquels viennent souvent se élanger des éléents indésirables. (Juebpies ( uestions d'organisation inlérieure furent solutionnées à runaniilê des ebres présents Pour le bureau : le.secrétaire général. «BaaaaaBBBaa.BBaaaBaaaaaan Radio - Celtic 25, Place Cornic, MORLAIX Agence exclusive des postes de T. S. F DCCUETET et des arhlicaiturs THOMSON HOUSTON vous présente une gae coplète d'ajjpareils à des prix intéressants. C 2.'). i.395 l'rs C 7)0. 2.-I50 l'rs C l'fs C l'rs C l!l. a.200 frs C <S l'fs RADIÛPKOKO ii parlir île n-s La.Maison possède un atelier (le réparations et des techniciens cpiouvcs qui se tiennent à la disposition de toute peisonne désirant laiie réparer ou transforer son appareil. Pour les Courses I.e nobre et la qualité des chevaux restant engagés, après les forfaits sont l assurance que clunpie épreuve sera inléressanle à suivre. ICn prévision de l'auence «jui se pressera à l'entrée du chap de courses, et dans le but d'activer les opérations à la satisfaction de lous, le coité fait, coe les années [nécédcnles. les recoandations suivantes : Les conducteurs des véhicules se reiulanl aux courses sont priés, après avoir dépassé la (Croix-Bouge, de ne pas doubler les voitures qui se trouveront devanl eux, de anière qu'une seule lile de voilures s'engage dans le petit chein enant de la route nationale au clia ) de courses. Les véhicules»énêlreronl sur rhippodroe, toujours sur une seule lile el sans s arrêter, le contrôle des caries devant se faire sur la pelouse, à l'arrêt de la voiture ; des contrôleurs se Irouveronl à cet endroit pour la vente de cartes aux occupants des voilures. l'n guichet pour la vente des cartes sera installé dans la atinée de dianche et lundi, rue d'.aiguillon, inès l'êi)icerie Le.Moal. Jeune lunue cherche chabre eublée, bien exposée ; eau courante. S'adresser à la Pubti cité.moilerne,.morlaix. Cinéa firatuit Pour reercier sa clientèle, eu lin de saison, la direction du (Cinêina Sl-Marlin est heureuse i)ouvoir donner ce soir, à 20 h. iio, un spectacle entiêrenent gratuit..au )rograe : Un nu)iuislere cl 'l'outes roiles dehors, lil tourné à Brest, avec le concours de la Musi' que des l'ciiui )ages de la Flotte. Location urgente.

15 .. I^a Tribune te»?,1 t.^ u «".ii-v li l-'oi Nous venons d'apprendre, avec un f^rand plaisir. c ue noire conijiatriole, Mlle Andrée Jégon, lille de M..légoii, ancien insliluleur pul)lic à Morlaix. el de,madae, vient d'ohlenir un 2' [)rix de Conservatoire de Paris (1' noée) classe de violon. Toutes nos leliciialions à la jeune artiste el à ses parents. un an (eu O n (IciiiaïKlo vie spécialisé, sachant {graisser toutes voitures et ayant son peris île conduire Ga rage Mérer, '22. rue de Paris, Morlaix. Société de Secours ihutiielw des Voyageurs Eployés de Coerce et d'industrie {Section de Morlaix) Le Conseil d'adinistration, ainsi ité ue tous les elires du coes l'êtes de la.np.ituelle sont priés de se réunir saedi prochain, 23 Juin, à la airie, à 20 heures. Objet de la réunion organisa- tion (le la tobola. Le (Coité rap])elle aux vendeurs de billets ( ue le tirage aura lieu le p''juillet prochain. lùi consé(iuence, il les invile reettre les souches des billets vendus le )lus l()t possible el au l)lus lard, le courant, soit à.mm Louis (îuégan, pharacie Le Maître ou Lagadec (Maison Au/ou), avec le produit de la vente. Le Coité a le plaisir d'inlorei toutes les personnes cpii s'inleressenl à notre chère Mutuelle, (pie les lots sont exposés chez.m. Jean Castel, chapelier. H), place Thiers Il reste encore (luelcjues billets à vendre ; on peut s'en procurer chez M. (".astel. chapelier, ou encore otie/ M. Cîiiégaii. pharacie Le Maître. Le C.oiuiti La Société «fétudes à rite de Brétiat Pour cl(")turer sa saison UKKi-.'U. la Société d'études organise j)our le dianche 1 '.luillel une excursion à l'île de Bréhal, (]ui ne an- ( uera pas d'allirer un'grand nobre d'aateurs. Il a sufii (jue lui )rononcé le no de celle perle de a er bretonne, célèbre par la coloration de ses rochers el la grâce de ses lignes, pour ( u iédialeent atlluent les inscriptions. 11 faut reconnaître c]ue peu d'itinéraires étaient plus susceptibles d'attirer les orlaisiene (jue celui (jui, au bout d'une randonnée pleine d'enchanteents de toutes sortes, coportant la vue de la Lieue de Grève. la traversée de l^annion. la visite de la cathédrale de Tréguier, le passage du beau pont suspendu de Lézardrieux, la vue des bassins de Paipol, etc... conduit à la pointe de l'.xrcouest, en Ploubanalec. el peret de réaliser un «tour de l'île» dans les eilleures conditions de confort et de prix. Le nobre des places étant l'orcéenl liité, s'adresser sans tarder, pour tous renseigneents, à Ti-lireiz, place lùnile Souveslre. La grande Seaine de la Société d'etudes Dianche prochain 24 Juin, aura lieu, à H) heures du alin, l'ouverture ollicielle de ia grande Lx[)osilion de peinture de la Société (l'éludes, ( ui constituera sans nul doule le plus iportant Salon de l'ouest, celte année. Celle inauguration sera l'aile par M Hourgol, aire de Morlaix. conseiller génélal, en présence d'un certain nobre de i)ersonnalités el d'un public (jui sera certaineent nobreux..jeudi, un grand concert syinphoni(jue sera donné avec le concours de l'excellente «syuiphonia " dirigée par le aëslro.auduc. (^e concert dont le prograe coportera des ouvres de Mozart, (Jounod, Haydn, (Jranados, (Irîeg el Piossini e.sl organisé au prolil de la Société. Le P' Juillet une excursion des plus iniéressante à Lannion, Tréguier Lézardrieux et liréhat avec le tour de I île en vedelle cl(")lurera la seaine sensationnelle de la Société d'études. Office Municipal de placeent gratuit Deandes d'eplois Des ej)loyés de bureau, sténosdactvlos, des anovres. Kaiiqiic (lo liîriiorau' l'oiiesi Rresl PARIS Rennes AtiENCE DE MORLAIA 29, Rue du Mur Toutes opérations Banque, Hoursc Change, Monnaies or et argent. Paieent coupons sans frais. Kciiseignt nients gratuits sur toutes valeurs. Couitsges dlliciels stricteûjtnt appliqués. A rinstruc'tioii M. Hosec, Juge d'inslruclion, a procédé, vendredi après-idi, à rinlerro!;aloire des noés Paul Uoscc,.'>2 ans, cullivaleur à Plounéve/.-l.ochrisl el Françoise Hosec, sa sd'ur. cullivalrice au êe lieu, inculpés de vol de récolte, de S coups el de enaces lie ort en- " vers le aire de Plounévez-Lochrisl el M. l'>.van, huissier à Plouescat. Après l'inlerrogatoire, Paul el Françoise Hosec ont été écroués à la aison d avrèt de (>réacli-.ioly. soû- lisseront vraiseblahleenl niis à un exaen ental. Uécouverte d'uu cadavre Dans le c(iuranl de la nuit de Jeudi à vendredi dernier, MeCocaign, deeurant au lieu dit " Cous(]uer», en Ploujean, ( uitlail son doicile. Depuis, on était sans nouvelles d'elle. L'on supi)osail ( ue la alheureuse lee, ( ui était nuilade el soutirait beaucoup, s'élail suicidée en se Jelanl dans la riviè'-e de Morlai.x. Or. vers l'j h.."). M. Povie, eployé à la S.A.'r.{)..S., aperçut le 1 cadavre de Me C.ocaign, aux écluses, en dehors du bassin. L'éclusior [irévinl par téléphone la gendarerie de Morlaix, tandis ( ue les docuers reliraient le corps ( e l'eau. Le cadavre se trouvait au oent de sa découverte, dans la position debout el seule la léle éergeait. Le corjis de la défunte fut is en bière sur place, i)uis transporté à son doicile dans la voilure d'un voisin. Les gendares Levenez el Kervaïdic, des brigades de Morlaix, se son livrés à une encjuèle. M. le docteur Le Duc a l'ail les constatalions d'usage. Nous adressons à la faille de la défunte, l'expression de nus vives condoléances. L'ne auto prend feu Saedi après-idi, vers 17 h., une auto aiipartenant à M. D'incan, entrepreneur à Morlaix, (jui se trouvait rue Carnol, a soudain pris feu à l'avanl. Les téoins el M. D'incan se rendirent facileent aîtres de ce coenceent d'incendie au oyen d'extincteurs portatifs. Accrochage N'endredi après-idi, un accrochage s'esl produit au lieu dit» Le Slyvel entre l'auto de ^L Bescond, ( ui doublait une voilure attelée el une auto appartenant à M. Sibiril, de Morlaix, ( ui arrivait en sens inverse, en tenant bien sa droite. Dégâts ])eu iportants. osccccccgcccccaccccccccoeos Les Rats sont très éfiants. Ils ne touchent pas la plupart des appûl.s. lùiiployezdu PURITAT» qui vous délivrera déli niliveenl de ce Iléau en un seul jour. Inoilensif pour les aniaux doestiques. Exigez la arque. Refusez catégoriqueent si on vous propose un prouit siilaire el non celui que vous avez deandé. Pour détruire radicaleent tous nsectes el les parasites des aniaux el (les vfigétaux, achetez un l)idon (i'«agrisect». Un brossage de ce produit el vos aniaux ne soull'riront l)lus des pai asiles. Pour les ouches, eployez «PU RISECT», insecticide [uussânt et d'o deur agréable. Concessionnaires : MM. BARBIER, pharacien \ini)i \iv 1 JAUGEON, pharacien AiuKi.AiA lintanf, pharacien \ VINCENT, pharacien CAHANTl-C : BARBIER, pharacien L.^NDlVJSlAt: : PINVIDIC, Doct.-Vel Si POL 1)1. LI-ON: TOSTIVINT, pharui >gogogcigccccoeogooaeeccco^ :4»nse il de Prud'hoes de Morlaix Anis de dépôts des listes électorales dé l!>:!'i (Conforéent aux prescriptions de l'article 2.') de la loi du 21 Juin P.)2l, les listes des électeurs du ressort du (>()nseîl de Prud'hoes de Morlaix sont dé )0sées depuis le 17 Juin l'.kîl, tant au secrétariat dudil C.onseil, ( u'au secrétariat de chacune des airies des counes du canton de Morlaix. Pendant les (juinze Jours ( ui suivront ce dép(")l, les ayant-droit liguranl à l'article 22 de la loi du 21 Juin 1^)24 ))ourronl présenter leuis réclaations, soit (ju'ils se plaignent d'avoir été ois, soit (ju'ils deandent la radiation d'un citoyen indûent inscrit. Ces déclarations seront i)ortées devant le Juge de paix du canton, par siple déclaration faite, sans frais, au grell'e de la Justice de paix. AVIS A l'occasion des (Courses de Morlaix et sur la deande ( ui lui a été faite )ar le aire, M. le Sous- Prél'et a autorisé les établisseents )ublics à rester ouverts Jusqu'à II leures du alin, dans la nuit du 24 au 2'> Juin et Just u'à 2 heures du alin,dans la nuit du 2,') au 2() courant. Korlalx-Spectacles Un ouvrier peintre t»nibe d*unc échelle et se bleske firi^veeut Lundi après-idi, M. l'rançois jjuê laiii Le [.ay. âgé de ans, ])einlre à la coopérative «i^a Laborieuse >, de ' Toujours^ Morlaix, procédait, sur une échelle, à la réfection d'un ieuble, rue le preier de Paris, (juand il perdit l'é(iuilibre et toba sur le sol. Helevé avec une fracture ouverte Le Cinéa St-Marlii; de l'avant-bras gauche, il reçut les S SEANCE donne une GRATUITE Ce soir, 22 Juin, à 20 li. 30 Al' PHOC.HAMMI-: : Preière partie Toutes voiles dehors DN Deuxièe partie Conféi ence Troisièe j)artie MONASTÈRE Location au Patronage labbbiba<9b41 N'endredi Dianche RIALTO-CINEMA Saedi (soirées) Lundi Deux ârands fil.s Csoirées) Suzy VI-:H\'()N 'Uobert lu'hnikh el DIÎAM:M dans MICHE Coi'iiii' It'iidrc. légère, irouicpu' l-:t I-rançoise HOSAV Koherl AHXOUX el KOVAL dans Lâ Pouponnière Ol)érelle oderne de fantaisie el de gaîlé Musique Municipale de Morlaix Concert du Saedi "23 Juin likl'i à heures.'io l'uoc.rammk : Marche Joyeuse I.es noces de Fi(jaro. (Ouverture) Flols du Danube ( Valse Le Roi s'ause ' Suile irorclieslre ;i) Lu (liiijhirtji-, b; l inuiiic c) Srciiftlu /!oiitjiiel. il) ii-vi/iiiriiiiilf. el Miitlri(iiil. f) Piissf/'iiul. R) l'iiuit l'aris-iielfort ( Déli le I s Moz.u) I \ A. \ ( ) \ i ( : i Li:() Di;i.iui;s F.MiMiOll. Le CJu'f de usi(jue (C. Kkiiiioas. Apr^s la suppression de la aison d'arrêt de Créach-Joly Nos lecteurs savent que la aison d'arrêt de Créacb-,lol\ vient d'être suppriée. Coe' consè- (juence de cette suppression, les prisonniers ( ui s'y trouvaient ont été transférés lundi à Mresl, dans une voilure cellulaire. Désorais, donc, les incul )és incarcérés ( uî devront sui)ir un interrogatoire, au cours de l'instruction, ou ( ni devront être Juges par le Iri )unal correclioniiel de notre ville, elteclueront des proenades d'agréent, dans les paniers à salade, entre le Bouguen et le palais de Justice de Morlaix. A bien réllécbir, il apparaît (jue l'on aurait peul-èlre ieux lait, par esure d'éconoie, de conserver la prison de Morlaix. Itanquet d'adieux Les percepteurs el le personnel des perceptions de l'arrondisseent de Morlaix, aux( uels s'étaient Joints les receveurs spéciaux, avaient oiterl dianche, à idi, à ril{")tel d'icurope, un déjeuner à M. (Cruchon, receveur des linances à Morlaix, à l'occasion de son départ prochain pour (Cherbourg. M. Pochon, )ercepleur de Saint- Pol-de-Léon, sut exprier en teres délicats, au no de tous, les regrets ( u'éprouvenl les coptables du Trésor du départ de M. (Cruchon (pii fut pour eux plus ( u'un chef, égaleent un ai el fréi uecnl e i)lus dévoué des collaborateurs. M. (Cruchon, Irès éu, reercia viveent les percepteurs d'être venus si nobreux lui ap )orler ce dernier téoignage de sypathie ; il ne cacha j)as la peine cju'il é irou\e à <iuiller une région (ju'il avait, depuis son installation à Morlaix, appris à apprécier et où il laisseia tant d'ais. Nous oitrons à M. (Cruciion nos eilleurs virux de bon séjour dans sa nouvelle résidence. S soins de M. le docteur Ascornet. (jui le lil transporter à l'iu'jpital par l'aulo-abulance Le el)re fracturé a été reis par les docleurs Querneau el Ascornet. Association des anciens élèves du collège de orlaix Nous rappelons ( ue l'asseblèé générale de celte association aura lieu au Collège, le lundi 2') Juin (2''Jour des Courses 1 à 10 heures. L'autocar ( ui fait le service du collège partira de la airie à i) h. -JO Les anciens élèves ne faisant pas partie de l'association peuvent y assistei- et pourront verser l(!uv cotisation ( ui est de ") francs. NATATION Brevet de naôeur classé et épreuve de natation du B. P. S. E. M. Les candidats au Brevet de préparation ilitaire du centre de Morlaix ont passé, le ercredi 20 Juin, l'épreu ve de natation lacultative rattachée au B. A. P. et le Mrevel de nageur classé. (Ces épreuves, organisées par le Cluh Nauli(iue Morlaisieii. sous le contrôle des services d'k. P. P. M., donnèrent les résultats suivants : Xuld/io/i facultiitii'e (Parcours de 70. avec départ plongé de 2.) : Fer Robert, Club Nautique Morlaisien ; Descognels, (Jàs de Morlaix ; Auhert. Club Nautique 'Morlaisien ; Le Bras, Club Nautique.Nlorlaisien ; Tirot, Gàs de.morlaix. Hrevet de luu/etir classe (100.. nage libre, plongeon, sauvetage) : Ménez Théophde, Club Nautique Morlaisien ; Prat Kugène. C. N. Morlaisien : Bernard. C. Morlaisien. Souhaitons que ce succès les sti ulanl. les candidats Morlaisiens obtiennent à l'exaen le classeent qu'ils ont érité par leur laborieuse prépaïalion - - Etat-Civil de Morlaix du M au 21 Juin l'.cî-l Naissances Marie Moy, 5, voie d'accès-du-porl, fille de Joan ef de Augustine Fouliard. Andrée Saoût, Troudousten, tille de Albert et de.leanne Fustec. Publications Pierre Belz. avocat, 10, place Cornic et Marie.laugeon, s.p.,. o bis. rue Gabetta. Yves Grall, conducteur d'autos à Cléder et Anne Roué, eployée de coerce,.")s, rue des Vignes. - Fran(,ois Corbel, soldat au 46*' U. 1., doicilié 71, rue de Guernîsac el Marie Caradec, s.p. Barrière de Brest. Théophile (Corbel, coeixant, 71. rue de (juernisac et Marie Madec, eployée de coerce, 2.S,' place du Marc'iiallac'li. Abel Haon. écanicien,."s. place du Dossen et Henriette (ézennec, couturière à Ploujean. Louis Messager, agent de police, lumel du Pouliet et Louise Postic. couturière,.j, rue Notre-Dae..Aiidre Couturier, dccolleteur à Roainville et Marie N'ieillard, s. p, i.î, rue de Callac. Maiuagiïs.loseph Ropars, caporal-cliel et Angèle Laurent, eployée de coerce. -- Eile Laurent, sergent el Marie Mérour, s. p. DÉciis Alice Moreau, épouse de lidouard Ricou, i<) ans 7 ois, 2[), rue de (ïuernisac. Marguerite Henry, veuve de ^'ves Plassait, 73 ans 7 ois, quartier du (Château..leanne Gautliier,.'n) ans.î ois, (piartier du (Château. Adelai'de Diard, ans 5 ois, quartier du (Château. Eulalîe Dano, {)() ans 2 ois, c uartier du Château. Marie (iuiller, épouse de Marc Le (îoll,.>.') ans 7 ois, quartier du (Château. Jean Morin, 3.S ans 9 ois, route de (Callac Delphine Peneau,.pS ans I ois, 21, rue (Jahetta. - Willia Thieulaine, 29 ans, quartier du (Château. Marguerite Carotï. veuve de Htienne Pinvid'c..S3 ans 11 ois, Hent-Coz. REMERCIEMENTS Monsieur Lucien CriLLOt', conservaleur des 1 Iyj)othè(iues à Morlaix ; Madae Lucien (UMLl^Or ; Madeoiselle Lucienne (îl'illoli ; Messieurs l-'rancois et Pierre l.k BAIL el toute la faille reercient bien sincèrcenl les personnes (]ui ont assisté aux obsè- ([ues de Me Vvc François-Marie GUlIXOU née Joséphine LE BAIL el toutes celles ( ui leur ont tcmiioigné (le la sypathie en celle (r(suloureuse circonstance. LA Ce qu'il faut savoir NATATION La nat.ition est l'un des exercices les plus avantageux (jue l'hygiène puisse conseiller. Bile surajoute ses effets bienfaisants à l'action éineent salutaire du bain. Bien plus, elle seule est capable de rendre ausant le bain froid, fort désagréable aux enfants, et êe aux adultes (jui ne savent pas nager. Les Roains, qui considéraient la natation coe l'exercice «le plus capable de fortifier le corps sans l'épuiser», en avaient lait une partie essentielle de l'éducation de la jeunesse : Xe(/ue Uleras dijicit ncc natarc lil n'a appris ni les lettres ni la natation), tel était le )ioverhe par lequel les Latins désignaient un ignorant. Les Roains avaient partout des bassins et des pi.scines où ils pouvaient, en toute saison, se ouvoir dans l'eau. Rien n'augente la puissance usculaire, rien n'apaise le systèe nerveux. rien n'augente à la lois l'agilité et la tonicité organiques, coe cet excellent exercice, qui stiule l'appétit, favorise la digestion, perfectionne la nutrition, légularise des fonctions du pouon et du co^ur. exalte la prudence et les qualités orales nobles de l'hoe : «On a craint, disait Rousseau, qu'un enfant ne se noie en apprenant à nager : (ju'il se noie en apprenant ou pour n'avoir pas appris, ce sera toujours votre faute». La natation est le eilleur oyen de odérer l'ipressionabilité des enfants aux variations theriques, et d'enrayer leur chétiviter et leur prédisposition aux déviations vertébrales : car cet exercice stiule l'éconoie entière, cuirasse la peau, dilate la poitrine, et inel en jeu principaleent l'activité des uscles extenseuis seuls capables de aintenir la reclilude du tronc. Il n'est pas difficile (el cobien il est utile) de devenir bon nageur. Le corps huain n'a besoin que de vagues ouveents pour se aintenir au-dessus de l'eau. Lord Byron écrit que c'est sans dilficulté qu'il renouvela la traversée de l'hellesponl, qui avait iortalisé Héro et Léandre. Ses biographes disent qu'il faillit ourir à Ja suite de celte escapade si poétique : ais l'auteur de Lara était pied-bot, et n'avait rien du nageur éérile. Pour être bon nageur, il faut coencer la natation très jeune, afin d'acquérir de bonne heure le sangfroid suffisant ; il faut ensuite coordonner les ouveents nécessaires graes d'air pour un grae d'essence. il est facile de se rendre copte que tout changeent dans l'état de l'air ou de l'essence odifiera, dans une certaine esure, le fonctionneent du carburateur. Ainsi, un oteur ayant une carburation réglée pour fonctionner convenableent au niveau de la er, aura un élange de cobustible trop riche.si on l'aène au soet d'une chaîne de ontagne où l'air est oins dense. ICn aviation, on eploie counéent des turbo-copresseurs pour coprier el fournir au oteur la quantité d'air suffisante pour aintenir un élange correct aux hautes altitudes. Le type et la nature de l'essence utilisée ont, évideent, une grande iniluencesur la carbuiation. L'essence appartient à ce groupe coplexe que lc% chiistes appellent les hydrocarbures. Klle est, en réalité, coposée de plusieurs hydrocarbures ou fractions, ayant chacune leur point d'ébullition particulier. (Juelques-unes de ces fractions ont des points d'ébullition bas, d'autres exigent de plus hautes tepératures pour se vaporiser. Les fractions légères, à point d'ébullition bas. se vaporisent rapideent à la tepérature ordinaire : ce sont celles qui perettent le départ du oteur. Les fractions lourdes, à point d'ébullition plus élevé, élanlangées aux fractions légères, arrivent avec celles-ci dans la chabre de cobustion ; ais, pour qu'elles se vaporisent à leur four, il faut que la tepérature norale du fonctionneent du oteur soit atteinte. Les caractéristiques actuelles de l'essence se rapprochent beaucoup plus de celles du pétrole que celle de l'essence qu'on consoait il y a quinze ans. On conçoit que ces odifications dans les caractéristiques du cobustible aient nécessité des changeents dans la technique des oteurs.,\insi. l'essence actuelle a besoin d'être souise à une tepérature plus élevée pour être vaporisée coplèteent. Le cobustible a, en outre, une plus grande tendance à détonner dans des conditions de tepérature et de pression élevées Pour qu'un élange cobusîible soit facileent inflaable, il doit donc renferer une certaine proportion d'essence à l'état gazeux. En raison de la faible volatilité des carburants actuels aux basses te )ératures, il est nécessaire d'eployer, pour la ise en route, un élange très riche en essence. A 0, par exeple. la quantité d'essence nécessaire pour obtenir le départ du oteur est plus de dix fois supérieur à celle qui à la progression dans l'eau, de la correspond au élange noral de façon la plus précise, évitant les 1,00". "il faut donc, au fur et à esure eftorts et les ouveents brusques, I que les chabres de cobustion dépensant juste la foice nécessaue I s'échaufïent, réduire la proportion pour avancer. Pour prendre un bain initiale pour ie départ. C'est pour Iroid selon l'hygiène, il faut se pion-1 siplifier et faciliter ces variations ger dans 1 eau brusqueent, d'un ; da s la coposition du élange gaseul coup ; y rester quinze à vingt zeux que tous les fabricants de carburateurs ont adopté l'enrichisseent, inutes, si l'on nage, sept à huit, si on ne sait pas nager ; se retirer autot.atîque ou coandé, du élange au départ, qu'on retrouve, sous iédiateent de l'eau dès qu'on sent des frissonneents ou des picoteents à la peau. Quand le corps est oteurs d'autoobiles et de caions. une fore ou sous une autre, sur les baigné de sueur, il ne faut pas attendre l'évaporalion de celle-ci. qui EDGARD, chauffeur d'auto. refroidirait inévitableent le téguent externe: il faut, sans hésiter, se Il laisait chaud jeter à l'eau. En entrant dans un bain Iroid, la Mercredi soir, à l'arrivée du train peau pâlit et frissonne, la respiration de Paris, une dae,.loséphîne P..., est haletante el enlrecoupée : l'orga-r'.^, de ' Plouvorn, deeurant à.-«.."uul.arnou- MO > à ' ^ Arpajon). qui, à cause nise tout entier seble en proie a une sorte d'état spasodi(iue général. Mais, surtout si l'on se reue et si le liquide est agité, la réaction rapideent s'opère, la peau rougit et l'econoie est bîenicm dans un état indéfinissable de bien-être. L'exercice usculaire au sortir du bain froid accentue cet état de réaction organi(iue. Si de légers frissonneents font supposer une réaction incoplète, en boire c uelques gorgées d'une boisson alcoolique chaude, ou ieux encore, un verre à Bordeaux de vins (Porto, Malaga,.Xérès). 1). E. Chronique de raiito LA CARBURATION Le carburateur est un des organes les plus iportants derautoob le et du caion. Sa fonction consiste à pulvériser tineent l'essence el à la élanger tn proportion convenable avec l'air d'adission pour torer le élange inflaable qui brûlera dans les chabres de cobustion du oteur. Les carburateurs diffèrent liés sen sibleent par leur dessin et leur construction : ils sont basés sur des principes identiques, ais avec des odalités d'application dillérentes. Dans les carburateurs odernes, le cobustible, après avoir traversé un filtre, arrive dans une cuve où un pointeau, actionné par un flotteur, aintient le niveau constant. Le ouveent descendant du piston dans le cylindre crée une dépression dans le collecteur d'adission et provoque un appel d'air à travers le carburateur. Ce courant d'air est dirige de telle fa(,on qu'il passe à tiès grande vitesse autour des gicleurs. 11 aspire l'essence qui est entraince avec lui et fore le élange cobustible. {J^n.s, les conditions norales de loitcti<^\incent, le élange d'air el d'essence doit cô.prendre 1."» à ig l V de la grande chaleur, s'était certaineent trop rafraîchie, causait un tel scandale devant la gare de l'etat que les agents de police durent la conduire a l'obre, au violon unicipal. La dae P... a dû avoir bien soif jeudi atin!... aabbaaaaa [ LaTribune j Jcurnal Républicain de Morlaix : cl de l'arrcndisscnient Hebdoadaire paraissant le Saedi Hédaction el Adinistration : Iprierie Louis Rodé ',1 i>is, Hue (iabetta MOBL.\L\ IVItïphcnc 2- ><» KenMie ilu c'.oeice :.>loil.ii\.(q.îo Copte (Chèques l'ostaux : Bennes 4'.2 SI Abonnenient.s Morlaix et déparleents liitrophes.\ulies déparleents... AiiKiiUMitalion ilc i fi..'lo si le leioiiviimni'iil est lait p,u la poste Annonces Judiciaires et légales l,',lr. 17 l'r. l.a likne. 2 l'r. Réclaes (Cou.erciales, 2'' pa^e... 1 r)0 page... l.'jr) 4.' page... I.UU Tarif décroissant pour les annonces plusieurs fois répétées Les ann(mices coerciales devront élre reises au bureau du journal, '.> bis, rue Ciabetta, Morlaix, pour le,leudi idi ; les annonces inistérielles peuvent élre reçues jusqu'au Vendredi atin, U heures, dernier délai.

16 l..i^a Tribune i ^ V < '. r-» >, JPcinturcs en tous Genres - Hécars " : : AncienwM.es Maisons h^l,och & NICOI.AS frères S, Hnte Oabetia Droguerie : a I TENNIS MOHLAiX Télép. O.H2 Grand Chaix Dianche, sur les courts si coquetteent installés par le Tennis de Papiers J*eints Club Morlaisien, à C.oatserho, s'est disputé, par beau teps et devant l'xchisinlv iiotii- lu ràiioii des iirqiit's un public sypathique et enthousiaste, Duiis, Peters Lacroix un n'iatch o])posant le Ten-. {'ouot, Lcindy, Sahibra nis-(>lub de Douai nenez au Tennis- Club Morlaisien. Truviiux d'kglisfs et d'apparteents L'on assista à de rudes e])oignades entre les eilleurs joueurs Succursate a Carantec Spécialités de Sl-fSobain J des deux cluns, e joignades (]UI TélépHone 0.27 VAaccs cl Piirc-lSrisc pour Aulos furent saluées de cialeureux a )- MM* plaudisseents. HIPPISME Les Courses de Morlaix DIMANCHE 24 JUIN Restent ençiaijt'it : Kpveiwe Interrciiionalc de lu Société Sportiue (PlàteN Iiuligi-no, à M L Duval-Leounior : l/.aira 111, à M. Ch. ("losselin ; larbas, à M. F. Terajlhoin ;.louvoncclle IV, à M. F. Marrec : Irène V.lupiter Vil, à M. Malliurin Lucas. Prix de Lonqchap (IMalc). Rikitéa, à M. P". Hidgrain.,Jaia, à Me P. Danion ; Lafcadio, a M. 1- Diival-Leinonnie:- ; (lalilée 11, à Me H. Garnier ; Lyrise, à M..1. Geslin de Bourgogne ; Cislercion. à M. H. Gillel : Carie grise 11, au êe; Choukella, au Cote C.l. de Langle : Ice Crea 11 et Tra My, à M. F. Marrec: Folelte V. à M. A. Mazenq ; Pescarinetla, au Vicole.1. du Poulavice ; Querlinbourg el Serapis, au cote de Talhouel-Hoy. Prix de lu Ville de Morlaix (Sleeple-Chase). Uelanges, à M. P. hidgrain : Le MOUMM, à M. P de la lirosse : llaratch, à M.,!.-!!. Cauipbell ; Kerduel, au cote de Carcaradec : Miss l'rance, à Me T.. Cliacoii ; Lasl-Hose, à M. P. Danion ; Lal'cadio, ù M. L. Duval-Leonnier ; Flvsée, à M Fruliinsholl/. : Cliarles-Ouint, à M..1. Geslin de Bourgogne ; Chaillot. à M. K. Lelèvre ; Halo, à M. A. Le Peci] ; La Richardais, à M. F. Marrec. Castilla, au vicole P. de Pioger. Prix de la Société du dei-san(j (trot attelé). Flavacourt. à M. A. Marolle ; Kpicure 11, à M..I. Neveu; Hvpnal, à M. A. Roudel : Gagale, à "M. F. Joly ; Fléniard, à M. A. Jnhier ; Flainine et Feuillage, à M. H. Céran-Maillard; Faisan-Prince à M. P. Grelier : Florence 111 et Fontainebleau, à M. Y. Guivarch ; Fresnay, à M..1. Lanoë ; Ingelburge et Ga/za Ladra, à M. A. (iosselin ; Hudson, à M. V. Cobol. Prix du Conseil (iénérul et du Crédit Nantais (Steeple). Heure d'fté ill, à M. A. IJurlot ; Chapeau Rond, à Mlle G. Cotteux ; (iroziilonne et Harris, à M. 11. llivert ; Du Guesclin 11, à M..1. Leroy ; Gahv, à M. L Lotoux ; Nadine 11, à M. À. Mangou ; (ii.n^e et là-iat II, à M. G. Moreau. LUNDI 25 ILIN Prix Général I.ehon (Plate, a réclaer). - liandido. à Me Louis. : Conan : l'artition.à Me P. Danion Chips, à M. (). (juihéneuc: Saloé et Chouketta, au coté Cl. de Langle; Mont-Joie IL à M. Le Couédic; Adulation, à M. R. Lelévre; Donastar, à M. 1'. Marrec; Soité, à M. A. Mangou ; Paprika, à M. A. Mazenq ; Hraderie, au cote Maurice des Monstiers ; Pi incesse-marit/.a et Queen Mary.au vicole P. de Pioger. La l-'oiestii ie, à Me Maurice Villenave. Prix du Pr<idi(jou (plate, handicaj)\ i'escarinetta, au vicote Jacques de Pontavice ; Chouketta, au cote (^1. de I^uigle ; Rikitéa, à M. P. Hidgrain ; Atlantide, à M. J. Geslin de Bourgogne ; La (irènerie, au vicote P. de Pioger ; Mignard 11, au cote Maurice des Monstiers : Tournesi)! 111. à M. Alexis Tinel ; Maritchou. à Me Paul Danion ; Cistercien, à M. Henry (iiiict ; Adulation, à M. llené Lelévre ; Musaraitine,,gne, à a M. l-'rancois Ma rrec (.aiilee 11, a Me llené Garnici ; Tra-Mv, à M. l'raïuois Marrec, l'olctle V, à M. Albert Mazeiu] ; (^arte-grise II, à M. Henry Ciillet ; ("«aille-uôtie, à M. Louis lloulet ; Mont-.loie II, à M. Ange Le Couédic. Sleeple-C.liase Dcnti-Sant/. - Mlle G. Cotteux llivert : (iabv. Nadine II, à M. A MORLAIX Tcnnis-CIub tic Morlaix bat Tennis-Club de par victoires à 1 Doiiarncncz Après de telles rencontres, il esl certain ( ue le tennis, sport particulièreent agréable et sain, doit l'aire de nobreu.s et ardents adeptes dans notre région. Le résultat obtenu : 9 victoires à 4, est des plus salisfaisants. (^est aussi la eilleure des j)ro )agandes en laveur du tennis. \'oici les résultats techni( ues : Siple essieurs. Ragot (Morlaix) bat.laci[ (Douarnene/.), (i-li, ()-;5. De X'incelles (Morlaix) bat Martin (Douarnenez), par'i-d, (i ;!, (>-4. (Pastel (Morlaix) bat.). Kervarrec (Douarnenez), par (i 2. (i-l. de la Société du j GrilTon (Douarnenez) bat Houilly Chapeau-Rond, à : Harris, à M. U. I (Morlaix), )ar (')-;], (i- l. à M. I. Lotoux ; i 'l'oullec (Douarnenez) bal (^lé- Mangou. ' ent (Morlaix), par 7-."), (i-l. (Charles (Morlaixi bat H. Kervar- I rec (Douarnenez), pas (i I, l-ti, (i- l. Prix de Pennelé (au trot onté ou attelé). Flavacourt, à M. A. Marolle ; Hypnel. à M. A. Roudel ; ' Siisple daes. Me Mérer l-2picure H.'à M. J. Neveu; Fran- j (Morlaix) bat Me GrilTon (Douarclieville. à M. V. F. Leguernev Leguerney ; Héro- i nenez), par (i-l, (i-;{. diade H et Herès, a M. L. Ratti ;.Mlle Abrial Morlaix) bat Mlle Gàs, à M. P. Uozé ; (iagnanl 111, à Hioual (Douarnenez), par (i-l, ()-2. M. T: Coaut ; T'Iéard, à M. Double ixte. -.lacq et Me A. Jahier ; Gagale. à M. F. Jolly ; (li iivon (Douarnenez) battent Bagol Dakar, à M..1. Baptiste ; l'\>uillaf-e. gi-'. ' et Me (aiillerot (Morlaix). (i 4.(i-l. à M. C.éran-Maillard Bonne-Idée De Vincelles et Mlle Abrial (Moraix) naueiu battent.>iarun Martin ei et imiie Mlle Rioual uiouai Cl et Georgina H. n..1 à.. M. CI. vi. v^hch (Charles iv.-. ;, niix; Fontainebleau et Florence III, à M. (Douarnenez). par (1-2, ()-(i, (i-2. j). (iuivarch ; Faisan-l'rince, a M.,uessieurs. - 'Toullec-H. P. Greher, Ma.ne, a.m. (^ek,»: He.-varrec (Douarnenez) battent Maillard M-ii.>ril ; l'resnay, à M. M Pline Lanoi'.... Rouilly-de 'Ton([uédec (Morlaix), Dvck. Gazza-Ladra et Ingelburge,: 1,î (i 1. > à M. A. Gosselin ; Hudson et Ha- ' De Vincelles-Lavananl (Morlaix) gartl 1), à M. V. Cobol. battent (îriiton-kervarrec (Douar- Prixdu lv//-/^/)(/f(steeple-chase) ncnez), )ar (i-.'i. l-(i, 7-5. A noter - Le Moulin, à M. P. de la Brosse; llaratch, à M.,1. H. Capbelle ; Kerduel. au cote de C.arcaradec ; Miss France, à Me 1-^. Chacon ; Sillon, à M. P. C.rossouard ; Last- Bose, à M. P. Danion ; l^itcadio, à M. L. Duxal-Leonnier ; Hlysée.à M. l'"ruhinshlolz ; Gros-Blèu, au cote C.l. de Lajigle ; Vin-Fin, au cote J. Lecointre ; Chaillot, à M. Pl. Lelévre ; Ipéria. à M. R. Lelévre ; Halo, à M. A. Le Pecq ; (ieorgetle-de-savoie. à M. 1'. Marrec ; La Richardais, à M. F. Marrec ; (Pastilla, au vicote de Pioger. ( u'au second sel M. de N'incelles, Etudes de M«GOURSIN, docteur on blessé au pied, l'ut replacé par ' droit, avoué à Morlaix, 1, rue de M. Penther. Paris ; M» GEFFUOV, licencié en Novello-Bagot (Morlaix) bal lent droit, notaire à Laneur. Jacc -(irilton (Douarnenez), par',)-?, 1 (i et (i-o. Maich très intéressant et Vente très serré, l.e j)reier sel Tut tiès dur et enlevé do justesse par Novi'Ilo-Bagot. (kujx-ci, a )rès avoii' faibli au second set, reprirent netleent le ilessus au troisièe set. <le bien» de inineurjv Elude de M" Georges BAGOT, Licencié en droit, notaire à Morlaix, T, rue de Paris. Vente Mobilière et de récoltes A Roch-Vcn, en PLOUKiNi:AU à la requête de Monsieur Miiiec Le DIMANCHE 8 )UILLET 1934 à heures M' BAGOT vendra aux enchères publiques. charrette, voiture, bral)aiit, rouleau, herse, faucheuse, hioyeur, griïl'on, barri( ues, 1 nioleur Bernard, 1 pressoir. 1 hectares de blé ; 2 heclare d'avoine ; 1 heclare d'orge. Consulter les afiiches. Etude de M" Georges BAGOT. Licencié en droit, notaire à Morlaix, 7. rue de Paris Vente Mobilière et de Récoltes à Kclern-Huella, en PLOURIN à la requête de Me N euve Flocli Le DIMANCHE 22 JUILLET 1934 à 13 heures fo M^' BAG()T, notaire, vendra aux enchères publiques : Matériel Agricole : 2 cliarrettes, 1 faucheuse, 1 herse, 1 rouleau, 1 gritl'on, 1 brabanl.l sniioir, 1 ventilateur, 1 voiture, 1 eule, harnais, divers outils agricoles. 2" Bestiaux : vaches. > Récoltes en terre : 3 ha 1/2 de blé ; 1 ha d'avoine. Au coptant, frais en sus. Pour tous renseigneents, s'adresser à M" BaGoT, notaire. Iprierie - Mécanographie Louis BOCLE bis Rue Gabetta. MORLAIX ~ Téléphone 2.39 Tous travaux o o o o o Coerciaux Adinistratifs cl d'edition Agence Régionale des Machines à Ecrire " REMIN6TCN " Atelier de réparations pour Machines à Ecrire toutes arques NOMBREUSES OCCASIONS Kein^tcn, (Jnderwocd, Ccnttn, Royal, Olivei Conditions spéciales pour entretien à doicile des Machines à écrire périodique l'oljknltures POUR TOUTES MACHINES Pièces détachées, Rubans, Carbones, Stencils, Encres, Housses, Feutres, etc. REPARATIONS DE SIYLOS Voir notre Magasin d'exposition En l'elude et par le Ministère de M" GEFFROY, notaire à Laneur Le Vendredi 13 Juilletl934 ci 14 heures Désignation : LOT UNIÛDE a de (P iu Section A de Léiin^ard Le lieu de Kere$Mli6la-Bra$ fonds et droils. à l'exception de : «Goare-Ar-Ciêch-Bras», lande, n" Hfj et d'une parcelle distlncle hout levant de <' Prat-Mélin-ar i^lan^f», pré. II"* 140 et Ml et consistant pour le surplus en édifices d hatiltation et d'exploitation terres chaudes et froi des et dépendances, cadastré, sous les nuéros M2. 143, Ml, 117, MS, 151, 1.^7. 164, Kw, 170, 171, 172, 17:?. ]«7, 18.S. :ô p,p,;),.3!ii,3'.)2,:i'.«400, 401, ;i , 4U0. ôil8, 50'.), 51U.')il..') ,5)4,515 et 516, pour une contenance totale de : Sous labour 5 h. 76 a. 2S Frés H) a. 80 Landes taillis et pâture 3 h. ('>3 a. 70 Sol d'édifices et dépendances il a. ci Enseble '.» h. '.<2 a. Mise à prix ^^.coofr. Ladite vente de biens de ineurs a été ordonnée par jugeent rendu sur requête par le Tribunal civil de Morlaix, sous la date du 13 juin l'.t34, enregistré, poursuites et diligences de : 1" M. Yves-Marius Tassel, veuf de Madae Anaïs Le Gac. propriélairecultivateur, deeurant à Treédern, PU la coune de Guiaëc ; 2" M. Jean Cudennec, propriétaire-cullivaleur, deeurai t a Traobetlec Bras, en la coune de Saint-Jean du- Dolgt, pris en sa qualité de subiogétuteur. faisant fonction de tuteur des deux ineurs :!" Gléodulphe-Ma thias-marie Tassel ; 2 Arand Tassel, issus du ariage d'entre ledit M. Tassel et la dae Anaïs Le Gac, sa défunte épouse, en raison de l'opposition d'intérêts existant entre lesdtts ineurs Tassel et M. Yves Marius Tassel, leur père et tuteur légal. Ayant pour avoué M' GOU'RSIN, dont l'étude esl sise a Morlaix, 4, rue de Pajis. en l'étude duquel ils font élection de doicile.» Le cahier des charges, clauses et conditions dressé pour parvenir à la vente de biens de ineurs dont s'agit deeure déposé en l'étude de M» GEFFROY, notaire à Laneur, où il peut en être pris connaissance La vente dont s'agil se fera aux jour et heure ci-des.>-us indiqués, en l'étude et par le Ministère dudit M" GEFFROY, notaire sus noé, en presence ou lui dûent appelé de M Jean-Marie Colas, clerc de notaire, deeurant à Laneur, subrogé-tu leur des ineurs Tassel, sus noes. Fait et rédigé conforéent à la loi par l'avoué poursuivant soussigné. Morlaix, le 18 juin l'.»34. MAiii; GoLiKSlX. Doctcnr en droit, ai'oné. Ktude de M«GOURSIN docteur en droit, avoué à Morlaix I, rue de Paris Il'un jugeent rendu par défaut. fauie de conclure par le Tribunal civil de Morlaix, sous la date du 21 février 19:M, enregistré. ENTRE : Madae Augustlne Jac(), épouse de M. Jean Herry, cultivatrice, doiciliée à Penvern. avec son ari, ais autorisée à résider et résidant de ce lait chez sa ère. Madae Veuve Jacq. à Pors-Ruz, en Pleyher- Christ. Deanderesse. Ayant pour avoué. M'' GOURSIN, dont l'étude est sise à Morlaix, 4, rue de Paris. ET : M. Jean Herry, cultivateur, deeurant à Penvern, en la coune de Pleyber-Chrlst. Défendeur : ayant pour avoué, M' BELZ, dontl'étude est sise à Morlaix, 10, place Cornlc. Il appert que la séparation de :orps et de biens a été prononcée au prolits de la fee et aux torts exclusifs du ari. Morlaix, le 15 juin MAHC GOURSIN. Docteur en droit, (rué. Etude de M-' Désiré GALLGUÉDEG huissier à Moilaix, 43, rue du Mur V E N t t e par suite de saisie-exécution Le Dianche Juillet 1974 à i-j heures el jours suivants, s'il y a lieu A Kervé^uep, près Kerné^uès C17 PLOURIN-LES-MORLAIX Au doicile el au préjudice des époux Le Lez M«GALLOUEDEC vendra : 4 tobereaux, 2 caions hippoobiles, 4 diables, chars à bancs, char avec tonneau, voilures anglaises, bj'scules, l)arriques, harnais. 30 colliers. sehes, hache-lande, rouleau, herses brabants, charrue, extlrpateur. houx, coupe racines, chaudières, roues de voitures el de charreltes, stalles, lot de bois, lot de vieux fer, fui de azout, établis, bouteilles, atériel et archandises de bourrellerie. elc.. Foin, fuier. 2 clievaux, 3 vaches. 0 nioiaire 29, Rue du Mur, Mcrlaix, SJ.II.L. cap. 25. A Vendre i" a piou.'asnou, jolie aison de 7 pièces et dépendances, jardin, prix ii déballre ; 2" Morlaix. aison de (> pièces, jardin, bon étal, prix : lo.uik) francs près Morlaix, petite propriété (l'agi éeut entièreent close. )rix : 5tl.000 francs ; 4" A Morlaix, nia son de 6 pièces à usage de coerce. cour, prix : lvauc=. t'l^^nsstation balnéaire, pension de faille. 15 chabres, prix très intéressant ; 2".V.Morlaix, Bon débit-épicerie bien placc, prix : ;«.O00 fr. 3" Bonne boucherie de ville. 2 bœufs, 7 veauv à la seaine, beau atériel i" Autre boucherie de capagne ; allaire à augenter..5" Nobreuses all'aires tous genres, tous piix. A Louer ' Apparteent eublé 3 pièces. 2' Appaileent de 3 pièces, libre. :> Diverses propriétés pour la saison. ux teres d'adiudication dressée par M-LEMOINE. notaire à St- \ Pol de-léon, le 11 juin enregistré à SI l'ol, le 18 juin, f" 29, c. 201, M..lean PrigenI, de Pont Eon, Plouénan, a acviuls de : M. Jean-Marie Tbépaul. Mesdeoiselles Georgette el Anna-Marie Thépaut, deeurant tous à rile-de-halz ; el de M. René-Joseph Thcpaul, arinier sur «l'arion», à Itouen, le fonds de coerce de bou- Enregistré à Morlaix [s..i.), le lit langerie exploité à l'ite-dc-balz. oppositions a faire dans les jours de juin H«4. folio 5'.i, case 11. Rci^u : On/e j h'ancs vingt centies. { l'insertion cjui renouvellera celle-ci, en l'élude dudit M'- LEMOINE. doicile élu. Le /l'eceveiir d'h'iireijis/reuiciit : Signé : CLÎ:MENT. Pour prchiirre hiscrtio/i. Recherches historiques sur les Ville Counauté de Morlaix par Francis bctin Chapitre 11 (Suite) La ville paya pour divers rachats, de 1690 à 1711, plus de livres. Mais cet aortisseent eût cela d'utile, qu'en confinant peu à peu les juges dans leurs fonctions judiciaires, il réduisit leur vieille haine à la ressource si chétive des chicanes de préséance et d'étiquette. Ce ne lut }<uère qu'en 1720, que ces diveis ofïices de police furent dclinitiveent suppriés. Des conflits, des queielles surgirent êe, en itiy, a cette dégager fiitièierncnl de ses biens cl au ccerce le papier-onnaie de occasion, car les juges \oulaient se i repiendie sa vocation originelle. : l.aw et la ri-ine réservée à ceux ( ui aintenir dans les attributions des i Les cil constances la lavoi isaicnt,. attendaient une hausse pour s'en eplois rachetés. Mais la Coninuinauté, forte et vertueuse alors, les I lagne ( ue dans le haut pays, et on n'y, tèe, et le papier de l.aw perit a la : car l'argent était oins rare en Bre- dessaisir Ils lililiieienl donc le sysdébouta sans effort. i trouvait pas, coe ailleurs, des Désorais, les archives unicipaseules pourraient donner une jusie i capagnes, des étairies idée du ouveent, du zèle et des luières de la bourgeoisie orlaisienne. La ilice, le collège qui n'était, en 1700, ( u'une siple ccole tanls brelons, en recheichant el punissant de Icctuic et d'cciiluie, lurent lelondus. toutes les alveisations pas- On coniirva la giande-place, sées. Le régent lit bonne justice de i on continua les (juais. el la ville ^e leur avidité, et beaucoup de taxes, débarrassa de yon coi.set rcnrain d'otiices, de i)tivilèges crccs depuis I pour s'allonger \cis la er. Des Vf) ans lurent su ipnces. i hàtients de 10 tonneaux pouvaient à peine accoster dans cet laines parlies Mais celle tendance ne devait pas durer. Quand vint l'anglais l.aw, avec du port oii des naviies de.joo sa haruiue d'aboi d si heureuse, puis i tonneaux avaient été lancés ; on cura son systèe d'agiotage et de dcccplion. lia rivicie, on redressa le chenal el la Bretagne, coe la France, j des ar( ues luicni blanchies sur les j se livra avec lureur a ce tripotage 'côtes.! d'actions (jui déplaça cl bouleversa L'étdl de dépense que les lienle i tant de loi lunes, dernières années (le Louis XIV avaient! Morlai.x sul se piéseivei de cette ; engendre, l'énore dette de 2 il-i aladie cl ne lut point chianice. liards qu'il kgua au pays à.'a irioit, Sùre de s'eniichir )ar son coerce 1 en lyr.), ne purent copiiriu-r cette i avec l'espagne et la Hollande, elle Jouable éulation. La ode voulait {.seblait avoir assez de cette belle alors, dcpiris Colbert, qu'on alleclàl j chance. Peut clicaussi ses archands de piolégir le coerce, el Morlaix trop éclairés pour clie dupes, coipiofila de cel engoueent pour se prirent-ils les avanlages ( ue donnait ahandon-! nées. En ititi, la Chabre ardente de Paris, bien ijuc le parleent de I Rennes s'eftorvât de neulraliier son! action, acheva d'epouvanler les tiai- Counauté de se débarrasser à tout jaais par des rebourseents faciles de celle superlétalion d'cflices qui l'entravait dans son développeent. On sait, du reste, (lue Colbert en avpil supprié plusieurs en i(i()2, r / el que ce en i(i<s.i, il avait 1 iglé les droils cl vacalions des juges, en dt claranl concussionnaires ceux cjui! lecev:aient des épices. Quoi iju'il en soit, (u les l'ouigeois deandaicnl encore l'cxécution des lelties palenles de i.'itii. piclcndanl que les jiuie.s-ioii.yiils, le prévôt du Mur, les j'iuats, les aiicieus oires et les f/i'a/c.v originaire.s de la ville avaient seuls \oix délibérative aux asseblées, el les juges ne pouvaient les présider (ju'ent l'absence du gouverneur. On voit êe tju'en 1719, l'cllice de Maire n'était pas supprié, cl la vscncchaussce proicsiail contie le syndic des bourgeois, loules les lois qu'il prenait ce titie. Ce dernier était élu i)ar le corps de ville seul, et prclail seient de te bien et fidètccut ccnifwiter au fait d'.v<j noination peur ie serrii e du roi et du puhhc ; les échevins et jurais prètaient le êe seient. D'aileuis, ions ces oflicicrs unicipaux, di puis i().'')0, étaient e,\e )ts de logeent de gens de guerre, c'eslà dire, de la plus lourde charge de ce teps. Morlaix, en iti^, avait, en ellet, pour garnison, neuf copagnies du régient de Chantpagne qu'elle logeait chez les bourgeois et dans des aisons privées où les habitants envoyaient des lits, elle n'avait point I MM. les Maire el échevins auront (le caserne et vainc ent elle se plai soin d'oulonner qu'on donne du vin gnait de ce fardeau ; on ne l'ccoutail, vieux pour l'équipage.» pas. Le aiéclial de.^lonles(. uiou On voit qu'il y avait alors à l'hôtel était alors gouverneur de la province de ville cinq pièces de petit calibre, et je ne sais s'il dût le Iroid accueil cl qu'.i l'entiée du uraiéchal, on qu'on lui lit à Morlaix à ces lourdes coptait, outre la ilice. Soo o' s- garnisons ou à la letlie. tant soit peu iiiuetaiies sous les aies, cavalière, qu'on va lire. Sans doute c ue la ficrlc du Maire el de son lieutenant lut blessée, car tous deux se retirèrent à la capagne pour ne prendre aucune part a la rcception j (lu aréchal. \'oici cette lettre : <. MM. les Maire el échevins, je j NOUS donne avis que je copte d'arri-} ver il Moilaix le de ce ois. N'ous j e lerez plaisir cïe 'y piéparer un logis pour oi el pour a suite. Lllc scia environ de 20 peisorrnes el j de 3o chevaux. Du leste, je ne veux point qu'on lasse nulle céréonie on arrivée. " Je suis. Messieurs, entièreent à vous. «Le Maréchal de Monfes( uioti. '' lît plus bas, le détail : «7 gentilshoes, 2 valets de chabre, 1 cuisinier, 1.1 doestii ues et.>0 chevaux.» El plus bas encore ce postsci ijilu : Cette rcception coûta 7 lo livres. (</ suivre). "Mon Ja^i^dïn" ' Revire do Jardinage THOUARS Dcu«-S»»(e«l est IA guide pratiqua des aateurs fitâi d» 3 oi$ contre!? Iran tibras pastf Ce journal est exécuté par une eifuipe d'ouvriers syndiqués I[). Boelé,'.) l'i" rue Ciabettu,Morlaix L'Ailiiiislralcur (îéranl : L. BOC.i.E. ertiûé par le Gérant soussigoé Pour légalisatioa It:

17 V l' > Deuxièe Année Hebdoadaire - Centies Saedi 3o Juin Ml'. i-5*-: JOURNAL RÉPUBLICAIN DE MORLAIX ET DE L'ARRONDISSEMENT Rédaction-Adinistration : Iprierie Louis BOCLÉ, Rue Gabetta, Morlaix Téléphone 2.39»* M A'...-se-.'. i ". i Les Féodalités Éconoiques et ïindépendance de VEtat On n'a peut-être pas perdu le souvenir de certain discours où Al. Herriot stigatisait avec véhéence les «congrégations éconoiques» et dénonçait le «. nuir d'argent coe l'obstacle contre lequel venait heurter et se briser toutes les grandes réfores déocratiques. Ces expressions ont connu le succès qui s'attache aux iages vives Mais coe il arrive trop souvent, on s'est coplu dans la sonorité des forules sans rechercher ce qu'elles recouvrent. Or. l'heure n'est plus aux passions verbales ; et, s'il est vrai que notre'personnel politique a, durant des années, soutîert de cette aladie curieuse que les édecins appellent psiltacisc. il iporte de s'en guérir au plus lot cl de re prendre contact, le plus étroiteent possible, avec les réalités. Ce n'est pas une autre lâche que nous proposons aujourd'hui, l.e réalise sain qui nous anie nous a incité à rechercher ce que contiennent. coe subtance et coe vérité, ces atirations que nos orateurs politiques se repassent inlassableent l'un à l'autre, car il est à rearquer que la droite elleêe a adopté, depuis quelque teps, une phraséologie dont elle avait pu, sans doute, esurer à son détrient rffîicacité sur les foules. Nous nous poserons donc une série de questions : Y a-t-il vraienl des «coniirciliitions éconarniiincs»? Si oui, quelles sont-elles? D'oii vient leur puissance? Un Etat soucieux de progrès i^conoique et social peut il ad-\ ettre de subir leur tutelle? ' Dans la negative, quels oyens paraissent les plus propres à cîss'urer l'independance de l'etat et la subordination de ces activités désordonnées et insouises? A vrai dire, si le «Français oyen» riique de se trouver décontenancé par cette interrogation brutale : «Y a-t-il vraient des congrégations éconoiques?», il n'est point besoin d'être grand clerc en sciences politiques et d'avoir longueent édité sur ce que Roier appelle «l'explication de notre teps» pour savoir qu'un certain nobre de grands trusts, de puissants consortius exercent, sur a vie de la nation, une influence qui peut paraître excessive et contraire à l'intérêt général. Citons au hasard : notre vieille connaissance le Coité des l'orges, le Coité des Houillères, le Consortiu des Textiles, le Coité des Assurances, le Trust des Engrais, le ('artel de l'énergie électrique, le Cartel des grandes banques, sans oublier «ces deux II qui enacent d'abattre l'aibre France» selon l'expression colorée d'un éditeur parisien : l'agence Havas et les Messageries Hachette. Notez que ces divers groupes ne ériteront si tant est qu'ils le éritent l'étiquette «congrégations» et la dénoination «ur d'argent» que s'il détiernent un pouvoir exorbitant a notre droit éconoique actuel. Ce droit éconoique est un droit de libre concurrence : ce pouvoir exorbitant serait, dès lors, un pouvoir de o nopole. Nous ne soes cerle.s pas suspects de tendresse pour le libéralise. Nous estions que, dans une très large esure, la libre concurrence est à l'opposé des préoccupations fondaentales d'une orale vraient huaine. Mais nous ne contestons pcs que le libéralise ait pu apporter au onde un certain bénéfice d'ordre éconoique. Dans la faeuse controverse, si suggestive, si riche d'enseigneent qui opposa Proudhon à liaslial, celui-ci l'eporte le plus souvent lorsque les arguents qui se heurtent sont d ordre slricteenl éconoique. l.a dialectique de i'roudhon est. par (onire, victorieuse chaque l'ois que la discussion glisse de l'écoronique au social. Il ne s'agit donc pas de nier toute vertu au libéralise. Et Marx lui-êe s'en est bien gardé. Mais encore faut-il «jouer le jeu». Car le danger, à n'en pas douter, est le suivant (et Leroy-I3eaulieu le reconnaissait avec une parfaite bonne foi) : La libre concurrence asservit le faible au fort. Or. il est des eus où ce fort devient ii puissant I qu'il en arrive à supprier, sinon I en droit, du oins en fait, la libre ' concurrence, ce qui levient à acca-! parer le régie, tout en sapant la base. C'est le onopole tuant la liberté On peut regretter et déplorer, à certains égards, que Citroën s'use dans la lutte qu'il a engagée contre Renault. 11 peut apparaître souveraineent souhaital)le qu'un Conseil national éconoique doté d'une autorité non plus théorique ais réelle, vienne régler les conilits de : cet ordre au ieux, non des intcrcls particuliers et d'ailleurs divergents des parties en cause, ais de l'inlérct général. Cependant qu'on iagine que Citroën et Renault fusionnent, et qu'ils enlrainent dans leur sillage les cualrc ou cinq grandes fires qui font figure sur le arché français de l'autoobile. Alors, ainsi conslilué, il se passera inévitableent ceci : le consortiu déclarera une guerre déloyale de tarifs provisoires réduits, aux oyennes et petites aisons qui se verront obligées de pactiser avec l'adversaire ou de ferer leurs portes. Après quoi, ailre absolu de la «corporation ce êe consortiu deviendra le aitre des prix. Et il jiourra alors se faire rebourser et au-delà! par le consoateur les sacrifices consentis durant quelques ois ou quelques années. Or n'est-ce pas ce qui seble s'être très exacteent passé chez les aîtres de forges? Une pareille entente n'a-t-elle pas été conclue entre les «Grandes»? (Ce sont des banques qu'il s'agit.) Havas ne contrôle-t il pas (i()"', de la presse et de la publicité dans notre pays, et Hachette près de go des essageries? Monopole de fait qui est attentatoire au libéralise, ais qui s'est institué grâce à lui. C'est jiourquoi leurs soits sont liés. Le chancre vit iler leur alière. Mais il va de soi que la puissance du nudl, dans ce doaine coe dans beaucoup S'étonnc- i d'aiilres, excede largeent, peut-être soutenir, plus encore de nos jours qu'autrefois, celle du bien. sur le corps qu'il ronge. ra-t-on de voir le Teps avec les restes d'une énergie à vrai dire bien chancelante, ce qui reste de libéralise?... o o o Mais, nous l'avons dit, nous voulons faire œuvre critique. Nous ne nous arrêterons donc point aux apjarences. Nous exainerons dans e détail si les griefs articulés contre ces soi-disant «Etats dans l'etat sont fondés. Et parce qu'il faut coencer par l'un d'eux et que, de part et d'autre, on nous signale c'est Pelletan dès lyo'i ; ce sont les socialistes, dans leur charle de Huyghens - que le cas d'un des «conjurés» est particulièreent grave et significatif, nous consacrerons nos preières études à ces copagnies d'assurances qui constitueraient la plus grande puissance capitaliste et le plus incontestable onopole de fait du onde oderne. Albert HLANCHOUIN. Le tirage de la Loterie Nationale Voici la liste odicielle et coplète des nuéros gagnants delà preière tranche (te la t-oterie nationale de l'.»34 : Tous tes nuéros se terinant par 0 gî'gnent 200 francs. 't ous 'es nuéros ^c Ici inant par S-J gagnent francs. Tous les nuéros se terinant par 8G.") gagnent francs fous les nuéros se terinant i)ar 0208 gagnent 20.OC») francs. Tous les nuéros se teiinant par 2U-t(; gagnent.')u.000 francs. Tous les billets [lortant le nuéro Kl.UH'i gagnent Irancs. 'fous les bituts portant le nuéro 90 (.;}'.» gagnent Irancs. 'fous les billets poiiant le nuéro 5U..'<2'i gagnent iioo.ooo francs. Les billets portant le nuéro 19.^.7.1 gagne un illion dans chacune des vingt séries suivantes : 28, ICj. 10, -M, 8, '10, ;;o , 17, 18, 23, 29, 10, 21, -J, 1, 21. Les billets portant le êe nu éro l'.i.^ôo gagnent r^o 000 francs dans les vingt autres séries. Le billet portant le nuînéro."il. 170 dans la série :C) gfgne cinq illions. Les billets portant le êe nué ro.^l.n.") dans les 39 autres séries gagnent 100 t'oo francs. Les billets portant les nuéros GI.lTf) et.^)1.174 dans la série :!') gagnent chacun r)0.<)00 francs. Carnet d'un Morîaisien DV MEILLEUR AV PIRE <1 Les journaux, c'est à peu près coiuc les chapi'uions : les eilleurs, un plulàl les oins aniis d'enire env ne 'insinrer.l gnére con/iance. Si fèuiis le Pape, j'interdirais à tons les fitlèles la lecture des journaux, (juels qu'ils soient». (l'est un vénèndile ecclésiasiiijne. très ancien régie, el nouant à loni nu)dernisnie une haine passionnée, (jui tenail, voici nne ciiujuanlaine d'années, ce propos dans un s<dun, devant un cénacle de nobles douairières au cite/ braidanl, ahonnees de /'L'iiivcrs on ré(/nait le roi d^s poléponr elle-êe, n'esl plus que le véhicule de l'opinion, (pu, sans elle, serai! prali(jueeid incajxdile tie se déplacer et de pénétrer dans la plupari des cerveaux anxfjuels elle est deslince. l'n joiinud ne peut plus sevonlenii'i de faire de l'inforation pure : c'est pourquoi ceux des journaux tjui a/fecleni de ne point faire de polilique el seud)lenl se contenter de donner des évèneenis nne rehdion objective. sont, ab/ré tout, coidrainls de se sonnullre, d'une anière plus.... ou nu>ins ostensible, aux désirs des isles de l epoque, le très catholique,jrandes corporations éconoiques el LOUIS \ ruillol. 'lina ières qui alientent leur posie.je ne sais si nne voix s'rleva dans i ^^ publicité». le chicnr des onté pour presse», et si le brave chanoine ne dut /)as, dans la suite de la discussion. aender tiuebiuepeu son appré- vieilles daes collel-\ Iktulre pari, nn nuohdien, et dejendre la «bonne êe nn hebdoadaire, qui voiidrait se consacrer uni<iucenl a l'opinion, a rc.vclusion de toute nouvelle d'inlérél yénéial on local, ne ci'dion. el reconnaitre que tout ile \ pourrait trouver nn public suffisant ee... oui, évideent, il y avait ] pour lui perel're de se développer quelques Icuilles bit-n pensanles inca-\ et de vivre. C'est pourquoi Ions les pablesde verser le poison <iuotidien \ journaux d'opinion, on l'inforadans l ce de leurs lecteurs, quille à I ii n est rejelee an.second plan, que soulkjnerquele.vceptionconjirela J-on achète ou bien an.vqiiels on LE PÉRIL AÉRIEN cution stricîe d'une convenlion de I règle. s'abonne pour soutenir l'idée qu'ils celle nature lui éclia )pent, parce I La chose iporte d'ailleurs assez défendent, sont, à chaijiie instant, ([u'elle ne veut, sons anc.un )rélexte, étendre ses obligations et ses peu. La condanation brutale de la obligés de faire des appels suppléentaires a ta générosité de leurs resiionsabililés en cas de violation presse, si elle avait queujue fondeent il ij a cinquante ans, en aurait parti.sans. La chose est aussi vraie (le la dite conventio)!. L'Angleterre, aujourd hiii d'in/inienl plus solides, pour le PopiiUiire, (/ne pour /',\ube dans son égo'ise, en arrive à ce et l'on pourrait peut-être en dire et /"Action l-^rîinçaise. non-sens (ju'elle souhaite viveent anlanl de la défense de cette inslitulinn : car il faut ultiplier par di.x- loules les garanties d'eploi noral ((u'elle ne consent, en êe tejjs, Lors<jue ces appels s'enloiirenl de la liitation des areents et les doses de poison distribuées jour- des fonds recueillis, ils sont d'ailleurs à rien de ce (jui jjourrait lâire de nelleenl par certains journaux, el \ parfaiteent léqilie.\ et ce n'est celte liitation stricte une réalité. sans doute par un nobre équivalent, pas nous (pu" les ' condanerons, de Elle veut epêcher la course aux ta potion bienfaisante adinistrée (puhpie C(')té (pi'ils.soient lancés. areenis, ais elle n'est pas par d'autres en guise de conlrepoi.son. Autreent plus dangereuses à tous ('Air, outre que le nond)re de jour-pointnau.v, (luotidiens et hebdoadaires, les subventions cachées données par de vue sont. ulhenreu.s ent, a considérableent augenté depuis certains, gouverneeuls, pn> certains fors, le tirage de chaque feuille s'est, groupeents financiers el anires, par en général, développé en proportion certains individus, à des journaux du nobre de </ens is, par l'instruction obligatoire, à êe d'assi- ou à leurs qu'ils veulent asservira leurs intérêts abiuons. Le grand fiublic c'est-à-dire pour KM) peut-être des leclenrs habitués des journaii.v ignore candideent tout ce qui se passe dans les coulisses de la fires.se : il ignore êe, à vrai dire, (jue la presse ail des coulisses. Pour lui, un journal est une entreprise coerciale d'un genre particulier, (pli vend des inforations ou des ofiinions. coe d'autres vendent des chau.ssiires, des vêteenls ou des coestibles ; et il n'iagine pas que les dirigeants d'une feuille d'inforations puissent avoir (pielque inlérét tantôt à lancer une faus.se nouvelle. tantôt à passer sons silence un fait déteriné. Lorsipie Théophrasie Henaudot, père du journalise, conçut l'idée d'une feuille quotidienne faisant connaiire aii.v Parisiens les enues nouvelles île la conr et diffusant les bruits et potins divers relatifs à des accidents de la rue, aux déplaceents de tels uuporlants personnages, etc.., et qui lui parvenaient par les procédés les plus rudientaires d'inforation, (I une époque où il n'elail pas encore question du télégraphe, el où la poste elle-êe disf)osait de ogens très liités... il ne pensai! guère que son invenlion prendrai! dans la suite des leiis la figure d'une véritable institution possédant.ses rouages et sa hiérarchie, ni (ju'elle s'intégrerail si coplèteent à l'e.vi.stence des peuples civilisés : il ne pensai! pas davantage (pie les (( (îa- :e!!es», Ion! en idilisan! les oyens perfectionnés d'inforation (pu: la science ehrait progressineen! a leur porire. seraient, peli! a petit, appelées a considérer celle inforation coe un siple inoijen, el non plus coe une /in. En e/]el, il fan! bien se rendre copte (pu idre le principe êe du journal créé en Kull, el celui (jui réqit la presse conteporaine dans tous les pags du onde, il ij a une différence assez radicale. Les nouvelles (If. la veille ou du jour, si elles tiennent la place la plus iportanle dans les colonnes des journaux, ne jouent f)lus en réalité (pie le r(')le d'auxiliaires pour assurer la diffusion d'idées ou d'opinions parfois condensées dans un leader confore à telle ou telle tendance politique qui est devenue propreent la raison d'être de.s ultiples organes publiés de par le onde : la nouvelle, en un ot, qui, autrefois, était ipriée Car des subvenliiuis de ce genre produisent leurs effets sons les dehors les plus innocents, les plus anodins, el leurs résultats n'en sont que plus redoutables pour la colleclivi'é iin- /iiiissanle à di.scerner de la ré.ahlé le «bobard» lance grâce (relies. Il g a (pielqiies.seaines, l'opinion française était énervée par des bruits de guerre (pii ne refiosaient en fait sur rien, (pie ne justifiait aucune tension diuloatique. ('j)enl la psgchose de guerre s'êtait-elle eparée des esprits el avait-elle réussi (i incliner ceu.v-ci êi réventiialité d'un conflit tout proche Par (iiiebpies nouvelles sinon copirleeni fuu.s.ses du oins considérableent (jrossies ou dénaturées, coe par exeple le vol des docuents de SarrebrncL', le procès d un cheinot français en Alleagne, une anifestation d'hostilité contre nn groupe d'étudiants de rrniuersite de Strasbourg dans la Sarre, etc., (junne agence d'inforation (pli conlr(')lc les huil-di.viees de la pre.sse frainjaise, réfiandait à plaisir dans la plupart des joiirnau.v de France. Il est prouvé aujourd'hui (jue les dossi'.'is prélendi'ienl vidés ne pouvaient offrir aucun intérêt pour l'alleagne ; il est prouvé (pie le cheinol arrêlé.s'était conduit en aloiru : il tsi prouvé (pie la visite des êludiauts strasboiirgeois, de la anière dont elle élait organi.sé.e, constituait une provocation : ais tous ces incidents faisaient trop bien l'affaire de certains, (lui avaient intérél à faire bais.'ier le cours îles rentes françaises el à faire onter les actions de la (jrossi- nu talliirgie, pour (pi'ils n'aient pas provoqué l'étal d'esprit favorable en agissant' sur la presse éi point noé. S'il revenait sur terre,le chanoine Salonnard serait peut-être bien plus pn'-s de la vérité qu'il ne t'iaginait il g a.'>(1 ans : ais </ un point de vue autre (pie celui au(iuel il se plaçait, bien que loiii aussi défendable du point de vue chrétien. KEFFLEVr. Il -iiill: ::!:;'Jlfil'i ila ::i:hii:«> it^^w Les vacances scolaires ne seront avancées que l'année prochaine Le inistère de rhducalii)n nationale couni(iue la note suivante : «M. lierthod, inisire de l'ilducalion nationale, a déclaré la C.liabre qu'il était disposé à avancer la date des grandes vacances scolaires. Mais cette esure ne pourra intervenir que l'année prochaine et la date des vacances de cette année ne subira aucun changeent. L'Aiiglolcrrc ooninicnce à coniprondrc ( u'elle perd son Icnips à \ouloir élaborer à tout )ri.\ uue illusoire convention do désarnieineiit ijui laisserait, en lâil, hors (le toute r('?gleiheii!atiom ellicace l'are la )liis dangereuse : l'aviation, convenlion ( u'aii surplus, l'alleagne, bien lésolue à léariiier c'est déjà l'ail ne sigiiei-a jaais. Le cabinet -Je Londres se dit (]u'il vaudrait peut-("^tre ieux aller au plus piess(!' el se garantir du danger ai^rieii, car elle se rend coinple que son annenient esl 1(iI à l'ait iiisullisant sous ce rapport. Mais là encore, il tergiverse, car ce ({ni le hante par-dessus loul, c'est la course aux arincineiits ([u'il sent inévitable si l'on ne parvient pas à s'entendre poiir liiter à tout piix les areents, ('e au prix de l'acceptalion d'un certain ri-areent du Heieh. ("est poiir( uoi l'angleterre serait favorable à une négociation (]ui, laissant provisoireent de c(')té les areents terrestres, ne s'occu )e i-ait (pu; (le l'aviation. Mais là aussi, les garanties indispensables à l'exé- disposée à y contribuer par une Intervcntion'collective et solidaire au cas où une puissance signataire violerait la convention. L'Angleterre devrait d'ailleurs savoir que rien n'esl plus diflicile à conlr(')ler (juc les areents aériens, à oins de s'en prendre à l'aviation civile el coerciale, car celle-ci peut inslantanée.'il se tranlorer en aviation de guerre. Ainsi, prali(]ueent, nos bons voisins d'oulre-manche sont conduits à envisager la dernit-re pers- ])eclive : renforcer leur aviation j)0ur assurer, à loule éventualité, leur propre délense. N'oilà une nécessité i(ui nous éloigne beaucoup des visées de la Conférence du désareenl. Mais (]u'y i)ouvons-nous l'aire'.- Si l'alleagne était sincère el de bonne loi, si elle était disposée à tenir ses! engageents, tout serait pour le ieux. Il serait aisé de s'entendre avec elle, aussi bien dans le doaine des areents terrestres { ue dans le doaine aérien. Mais il faut élre aveugle pour ne pas voir ( ue l'alleagne entend se libérer de toute contrainte el ( u'elle aspire à la liberté pure et siple el sans contr(')le. Or, le péril aérien est le plus grand de tous, parce qu'il enace tout l'enselile des territoires ; aucune région, si lointaine soit-elle du théâtre des opérations. ne peut y échaïqier. D'autre part, les engins dont dispose l'aviation sont eltroyables, ce ne sont plus des engins de guerre, ais des engins d'exterination. El cha( ue jour de nouvelle conquêtes I e la science s'ajoutent au caractère de terreur ( ue revêt la guerre aérienne. Le pou\oir d'action des avions est i)our ainsi dire illiité ; il n'y a plus une cai^itale en Europe ( ui puisse se vanter d'être à l'abri ( es j raids de bobardeent. Depuis la { guerre, la vitesse et le rayon d'inliuence des avions ont fait des progrès ienses. On a vu des apj)areils traverser l'atlanticiue et ri]uro )e en ligne droite, ce ( ui représente des illiers de kiloètres accoplis sans escjiles el, jiar consé( uenl, une possibilité sans cesse grandissante, pour les appareils, (l'eporter avec eux assez, de cobustible pour exécuter des raids d'une étendue ipressionnante. lùi outre, ces gros avions sont capables d'eporter avec eux des charges considérables d'explosifs et d'obus charges de gaz asphyxiants, (k'rtains avions alleands peuvent jjarcourir ille kiloètres avec ÔO tonnes d'explosifs,,')()() kiloètres avec ;{()() tonnes et ainsi ils ont la faculté d'aller porter, à de longues dislances, la dévastation cl la ort. Mais il y a ieux. Les alleands onl aintenant des engins ( ui les dispensent au besoin de ])osséder (les avions, l'n jonrnaljsle autri- [ chien lévélait réceent ( u'à Pirasenset à Loerracli les alleands installent des appareils en béton aré destinés à l'envoi de l'usées à e\ )losirs et à gaz d'une très grande portée. La techni( ue est au point p o u r r é a 1 i se r s u r u n e g ra n d e é c h e 11 (î de telles projections, (^e n'esl plus (]u'une (punslion (1<' capitaux. Il est possible!it-on dans VEspoir Français ( ue des l'usées de cent kiloètres i)oi lant une charge de 20 kilos d'explosifs ou de gazaient un point de chule distant de 200 kiloètres (In lieu du lanceent. Ainsi, de Pirasens el de Loerrach, on pourrait bobarder les régions de liarle-i)nc. Verdun. Metz, etc. Et cela sans les ris(iues (jue coporte l'avion de bobardeent, (jui peut être i)ris en chasse et abbalu par l'aviation enneie. Chose digne d'allention ; en ce faisant, les alleinands ne vi(jlenl j)as le traité de Versailles (jui ne i)ouvail prévoir (jue les fusées deviendraient un jour des engins de deslruclion. A s'en tenir aux éléents connus el ex )érienlés, la lechi(jue des gaz )ossé(le six séries de produits clui(iues, tous susce )tibles, sous une faible dose, de donner la ort : les toxi(jues généraux : acide cyanhydriijue, broure, chlorure et iodure de cyanogène ; les sull'ocants : chlore, oxychlorure de carbone, phosgêne, cliloroloricate de étliyle, chloropicrine ; les lacrvogènes : broacetone, broure de )encyl, élhyléthylcétone ; les steritatoires : cyanure de diphenylaroine, (li )h'enyianochloriarsine, ethyldichloroarsine, débrobure d'ethylarsine ; les vésicanls : sulfure d'hétyle déchloré ou vi)érile ; enfin, "les labyrinthiques : oxyde de élhyle déchloré. La fabrication de ces produits chii(iues ne nécessite aucune installation jiarliculière ; elle peut lotaleenl échai)i)eraux investigations les plus inutieuses du conlr(')le ; d'ailleurs, la i)lupart de ces produits sont utilisés dans l'industrie ou jjeuvent devenir des fabrications de atières couraent e )loyées. En un ol, la puissance (le orl des gaz dits asi)hyxianls est foridable, cl l'on aura beau signer loules les conventions voulues pour en interdire rejiloi el orpniscr tous les contrôles pour déjjisler la fraude, la I)uissance (jui sera déj)ourvue de scrupules et de toute bonne foi j)ourra agir coe elle voudra et préj)arer la guerre aérienne à sa guise. Maurice DL'^'AL. Les pièges à gogos On ne saura jiunais jiisiiu'oii pent aller la iiaïvoto ili' cerlains de nos couteinporains. Les filons (jui no sont pas ilos naïfs le savimit sans donte, car ils iiiveiilenl cliaquo jour dus procédés inxiveaiix pour exploiter la crédulité liuinaiiio. L'un deux aniioiivail réccinnioiit, à grand ronforl do piimiclio, ( ii'on pouvait roalisor ilo gros lionol'ioos par des )otiles l'alirit'atinns à l'airo olio/. soi, sans se liorangor. Pour la iiiodi( iie soinnio tlo dix francs, io profossoiir de fortune faoilo dévoilait sa inolliodo niyrifi( ne. ^'alurollonlolu, Us gogos furent noiircnx. l'onso/. dotic : de gros hénél'icos pour dix Irancs, c'était donné! Le co( uin rocnt dotio «los centaines do andais oi nu'ino, nn hoaii jour, un andat d arrôl. Save/, vous la roi>onse ipi'il envoyait à SOS olionts? La voici : «On jiont s'onricliir on fabriquant : «I no ponnnade contre la calviiio ; «I no pàto contre les cngoluros ; «t no eau ervoillouse effaçant los ridos; «l ue ilocootion pour aigrir. t> 1.0 tribunal oorrociionnol ne jiigoa pasi. quo oi'tti! ro ionse valait dix francs ol condana l'escroc à une jioine do >rison. A l'obre du cacliot, notre hoe aura lo loisir il'invoiitor un autre oyen do pipor les nigauds. Aobre de gons sont replis d'illusions. Us croionl (pic la fortuno viont on dorant..\u liou de copter sur leur.'» di.\ doigts, coo los i)ianistos et los dac tylograplios, pour gagner honorabloinont tour vie, ils es )ôront (pio le pactole lonr lobora, l'onio i-a, un beau atin. La guerre et l'après-guerre, (jui ont facilité les gains rapiilos, sont la cause de col état d'esprit d'où (irocéde le systèe do la coliinc, de la coission, du doarcliago à outrance et... do I liicoiiscience totale. Le désarroi dos hoes et dos choses, c'est surtout lo désarroi des conscioneos. Lo problènio du rodrosseont oral doine tous les autres problèes. Il faut réapprendre à tonte nne gonoratlon le sons do riiôn'teté, la notion de l'honneur, la valeur des contrats, lo respect de lu signature, la nécessité du travail. (l'uube) (j'eorges l'inicau.

18 ..I^a Tribune "v*.-..- '-A' - 7. V*^'.- F*.'. V ' - H St'M' I MLOMILAVIX Les Courses de Morlaixi N().s lct'l«iirs IroiiveroiU en chro- La preiuii'io joiinuhmics coiirsrs i sportive le pro^rnnie des de Morlaix a euni le succès le ;,n,i auronl lieu les S et'.i plus coinplel. Le Icuips ora^eu\i priva le public de soleil ;ui(lel>ulj Couie les années précédentes, de l'après-inidi et lui valut nièuie! jvécs se feront au une ondée entie la seconde et ta i Los eni^aj^enients troisièe course..mais lort lieu-j jj^.,.(,,,[ ^.^i ps de-partie jusre u se e n tj 11 i 1 ) pod ro I n e a \ a i t d é (pi'à j à 11 heures. l'ait son plein et la réunion n'eut A II b. ;>() précises, baïuiuet au pas trop à soull'rir, au point do vue Cliàlet du Cycle. N'oici le enu : recette, de l'inclénienee du teps. U(>iu iul tlf C.icvrlti". l'ne foule considérable se pressait sur le )laleau de l.an^olvas. Poiilcl,uix IVtils l'ob l.anxi'ii>le.mavonnahe l'iiiluu >.I1KI- Câpres ou Solos (jui était le rende/.-vous de tous les' Kiiti l'oiniiu's SaulCfs autocars de la iéi,ion. La ])aiiie de S.il.ule la pelouse réservée aux voitures' H.nauiivo an Kiii'li l'llmt>. aulool)iles était, si'inble-t-il. plus (..Ile e.,');n<ii replie ( u"elle ne le lut jaais. Vlll^ r.laiu- et Ki.i;<' Les courses, t ui réunirent ilcj A p: de I.> heures fonctionservice par er, entre le nobreux partants, fui-enl tresiuera li agréables à suivre et londeent i l>as (le-la-hi\u'-rc et le Don rdutv URMiées, car l'état d- la pisie était organisé par le ("-oité. excellent. Pari les nobreuses personnalités Service iiiétiïcal (jui se piessaii iu au pesage Dinnche h.juillet likil..mon- nous avons noté ; le (".oilé, des, sieur le Docleur Daoulas, lô place (.ourses:.m.n. \ ictor Alexandre, j téléphone l-.'^,s. président; de Keradec, ueinnec, Oer Decugis, vice-presulents ; liu Penhoat, secrétaire-trésorier ; Laléton, secrétaire-adjoint ; de (iuerdavid, Le Bail, de Langle. coissaires ; Le Picart. chronoétreur ; de.mascarel, ju^^eà l'an ivée ; ainsi ipie.\lm. Sarrault'. sous piéfel ; liourj^ot, aire de.morlaix ;.Ma/é, député ; Laiîcien. directeur de la Manufacture des tabacs : MM. les Conseillers-généraux et d'anoiulisseent et de nobieux aires des counes environnantes..\ucun accident ne lut à dé )loier. jiràce au service d'ordre assuré i)ar les i^endares de la section de Morlaix, sous les ordres de l'adjudant-chef l'ressard, et par les ai^ents de police de Morlaix. La seconde journée des courses a eu lieu sans incident. Le solfil a boudé, ais, néanoins, à j)arl ijuehpies averses, on n'eut pas trop à se plaindre. Nos lecteurs trouveront en cluonii ue sporti\e le copte rendu des epreuves. Le public est )rié de s'ailresser uuitpienient au édecin (pii \ent bien assurer une j)eranence à son inlention. i*iiai'iiiueie de «erviee Dianche I"^ Juillet : pharacie laugeon, rue Ciabetta. l'ne lettre M. le prcsidcnl du Si/iulical iles cdiniucrniuls tic iiuirclics du Sordl'inistcre Pendant les courses, la nuisicpie a [ail parvenir la tel ire nui n ici pale se lit entendre el au a M. le prè.sitienl de la retour elle délila en téte du loni^ (diaïuhre délilé des autos, autocars el \elncules de ('.oinnierce de Morlaix. de toutes caléi;ories. rae- nant en \ille les not)ieux spectateurs ijiii s'étaient uiidus à Lani^olvas..Monsieur le présidenl. Nous avons ra\antaj.5c de vous souettre le texte du vcru éis [)ar le conseil d'adinistration de notre or};anisalion lors de sa réujiion du S courant : J.e l oité du Syndicat des l'ocreajits de nuiichés du Nord-b'inislere, réuni a Landivisiau le S jiiin a le iej;ret de constater (jue, al{.;re les j)rotestations des petilseoen;ants, il.a été autorisé la ci éation, en l 'i ance, de jnayasins à j)rix uni( ui s, dont la concurrence di'loyable est une cause tle beaucoup de ruines el faillites. It note (pie bon nobre des actionnai les et des ebres des Conseils d'adinistration de ces sociétés sont des étrangers, dont le LE BAL seul but ij'est (jue ettre l'ebargo Le bal traditionnel des coursessur le petit cl jnoyen coerce a eu lieu, dianche soir, a 21 b.. I'''uu;ais au detnent de bons cisous les halles, a l'issue de la )re- loyens (pu ont genereuscent lai iere journee. Il a attiré une a s -, e t dont la vaillance est sistance très nobreuse et a éie : bien al reco )ensee. parfaiteent réussi. ' " '' 1'=" ''.Noire arché couvert a\ait ie(;u à cette occasion une décoration du eilleur^oùt. l'n plafond luineux parseé d'apoules ulticolores et agréenté de divers otijs avait été disposé par les soins de M. J.iauge, électiicieii a Morlaix. l'i: jarilin, avec colonnades. ])iece et jet d'eau, rehaussé de jolis parteires lleuris, avait été installé a\ee goût par.nl Minor, borlieulteuinaissance que, non content d'aliéner les coeri'es des grandes villes, ces trusts se proposeraient de etti'e en route des caions déballages, à dates lixes, dans les bourgs, haeaux, villages, ce ipii jie pourrait ipie nuire à la pros )éritc des foires el arebés et créerait un délicit assez iportant dans les budgets counaux, ipie \iennent alie.'jler très sérieuseent les droits di- ;.>!aees payés l)avsagisle à.morlaix. L'agenceent généial a\ait été ' l ' i " ',, etlectué par les ouvriers de la ville, ^ J! voil de jil-is coe résultats sous les ordres de.m. (iounou,, de ce h alic la suppression de eorarcbilecte poiations lies interessanles, (elles Le bull'et-buvetle élail tenu de la <1"^ '''-Hi'^ v(jvageurs de eojneilleuretaconpar-mel.er.oigne.i "lerce, des transporteurs laisanl le (Je l'iourin-.vorlaix. service des loues et arches, des Les eoupivslourbiilonnerent. ou pdi'^ coercanis de canton. j)iul("jt s'entre-cho(pu renl... avec (ioni r;uii\iu' ediiii i einu- esl un ])arlait entrain pouvait-il en déjà si diiuiniiée par la crise aclui'lle du coerce. être autreent? aux accents de deux (jrcbesires (.ti))osés, l'un de.\ussi, nous soes assurés de usiciens de la niusi(pie unicipale, sous les ordres de.m. Kergoal. seur de cette classe si inlércssanle tiou\er auprès de vous un défen- sous-chef; l'autre, des ai listes de des loercanls de toutes les calégories locaux et de archés ipii, l'excellent gkni (pie dirige avec copétence.m,\udu( algré les durs teps actuels, se Les usiciens reçurent, sans dis! font un devoir d'eh e les gros j)our- tinctiwn, de ebaleuieux appi; seents, apj»laudis>-cenls d'iiilieurs érites. \)(i nobreus( s pei sonnalilés étaient piésenics. lin r;nson de la foliui-, il nous I si 1IIII >()ssi l)l(> de ])ou voir les citer toutes..nous ;i vous i ean ué au basai d :.^!.^l. le Maire de Morlaix; le docteur J.e Jeune, adjoint au aire, Led:in, Le.Moan, conseillers unicipaux ; (iouriou, aicbitecle de la\ille; l>e lîouge. j)résident de I 1. I. (-; Lancien, directeur de la anulacture des tajjacs ; du J'eiihoat, notaire ; LiiilanlT, pharacien ; (ialloiiedec, luiissier ; Deanpie/., professeur ; vo\eurs de l'assielle de I ipôt. S'oiis vous deandons donc de joindre noire prolesl:ilion à celle de nos conlicres des unions coerciales el les ;tssuranl de noire iiiiilé de vues ( n ce ipii c()ncei ne les agasins pk^'cilés..\\ec nos 1 eercieents anticipés, cidyez, onsieur le président, ;i l assurance de notre tics haute considération. ;lete fie Le probité' ('.oiuité. Le jeune Kei haro, deeurant l.\ (Irand'rue, a Irné, ercredi, vers lu heures, rue d'.aignillon, un billel Muller, capitaine d- la eopakuiei " ^ ' / I I ( i' bantiue, (111 1 s est epresse de des.saneurs-nopiers sajieurs popii ; (.haumii. i,...j^.,,/,,,,,,,,, reettre IL Laurent, l'iannon. f.u/eii, rédaeleurs a la anufacture des l.diacs. avoir déclaré sy l -onvaille au coin issai iat de iolice. i.a soirée se terina paieent, à Toutes nos félicilati(s une heure avancée de la nuit. La Soirée clansanlc ('ne société élégante et choisie a assisté, lundi soir, au bal organise à 21 heures, dans les salons Quiviger,* à l'occasion de l.i seconde journée des courses, paj' M. ei.me Auduc. I/orchestre.\uduc, (jui jouit d'une légitie ré )ulation dans notre région, lit lourbillonner danseuses et danseurs avec le eilleur enhain jus( u';i une heure avancée de la nuit. Les aateurs de la danse n'eurent )as à se )laindre, car les usiciens se dépensèrent sans co )- ter pour les satisfaire, exécutant sans arrêt les Unite-dernières nouveautés. Les personnes iirésentes reercièrent 1 orchestre, ( uc nous félicitons, CM ra >plaudissanl chaleurcuseiiieui, Les Exaens du Certîncat d'etudes Priaires â Morlaix Onl élc reçus : GARÇONS Collège cl K. P. S. Caro, H. l-loch,.1. Kloch (luention bien),.sérigne. Stéphany (ention bien), Tala'iiiin (ention bien). Ecole du Poan-Ben Autlren (inenlion très bien) ; Boléat : A. Bolloré ; L. Holloré ; Brunetti ; Gabon ; Deiniiat (ention bien : l'abre (ention bien): Gnégiien ; Guillou iention bien) ; Hélarv ; lluon ; Le (^orre : Le (îall ; Le Giien : Y l e Guen ; Le (iuei n ; Le Moigne ; Le koiix (ention liien) ; Long inenlion bien) : Madec ;.^lérei- : Merrer (ention bien) ; Meston : Meudec ; Pierres ; Ouéeiier ; Quiguer ; Ricliartl ; Roy ; Tanguy, ention bien: l'hépaiil (nientioii bien); TroaAcc (ention bien). Ecole du Calvaire P.oilin Iinenlion bien) ; Bréneol (ention bien) : Buard ; ('au/.anet (ention bieni ; Cohic ; Corbel ; l'ournier ; Gestin ; (iiiillou ; I.e Jeune (inenlion bien ) ; Le Rest ; Nicolas : Pinviclic ; Raoul ; Salou (ent. bien'. Ecole Gabetta Blanchaid, Cadiou. ention bien ; Cobot, 'Jh..Gorre. ention bien ; Hvenat, ention bien ; Jv. (iuillou, ention bien ; L. Gnilloux, ention bien ;.le/cqnel. Kerharo, Laviec, Le Foiiest. ention bien : Le Gall : l.e Nir : Le yutcner : I.e Roux,( ) livier..ention bien : Plassart ; j'rigent : J>;annAii : Scanli ; Spagnol, ention bien. Ecole de Ploujcai?(Bourg) Chai les. ention bien ; Dossard ention bien ; Gnillard ; Juin, ention bien : Le Gall, ention bien : Quéguiner. ention tiès bien : Troadec, ention bien. Ecole de Ploujeai? (Troiidoustci» Bossard. ention bien ; Gaouyer, ention très bien ; Guyoarch ; Lécnyer ;.NIasson. ention bien ; Mérer, ention bien ; Podeur, ention bien ; Thoas, ention bien. Ecole de Plourin-Morlaix Bel Ihou ; Brignou : Durancer ; Glorennec ; Grall ; Guillard ; Hélary,! ention bien ; Joseph, ention bien; Jonêtre ; Kerbrat, ention bien ; Le Duc : L'HénatV, ention bien ; Léon, ention bien ; Lever ; Nédélec ; K.-M. Péron ; J.-Y. Peron ; Piriou : 'fareaii. Bcclc de St-Martin-dcs-Chaps Beauanoir. ention bien ; Beu- /ii ; Callac ; Corre :.loseph ; Masson ;.^lessager ; Nicol ; Salann. Ecole de Sainte-Sève Bo liis ; Le Roux, ention bien :.^lcs^agel : Quéguiner. Ecole St- oscph, Morlaix Sur.">1 inésenles, l<) onl élé retus, plus.) candici.its libres, fotal : y> re(,ns. Pierre Alix, de Gaarel : Auguste 'l'éi)hany. de ("ainarel (ention bien); Jean ASennec, de Roscoll ; Louis Bac( ues, de Morl.tjx ; André Bai on. de.niorlaix ; I"ran(,()is Clecli, de Morlaix ; Yves (.'CI vez, de.moi laix : Hticnne Ciaudin. de Morlaix ;.lean (Juéguen, de Morlaix : Jean.lefiroy, de Morlaix; Robert Laanda, de Morlaix Henri Leleuvie. de Moilaix (ention bien) ;.lean Le Poil, de Morlaix : llerve LeI ébat, de Moilaix ; (ieoiges Le Roy. de Morlaix ;.lean Livolant, de Moil.iix (ention bien) ; Ahiiii Le Marec. de Morlaix ;.lean Pape, de Moibiix ; Roj^ei Peion, de Moilaix ;.lean Plas sari, de.^l()l!,lix : Yves ()iièie, de Morlaix ; Aiulié l'iioinas, de Morlaix (ention bien) ; Bene Toiillee, de Morlaix ; Yves B;irbier, de Ploiiiin (nieiilion bien) ; losejiji lîoiilrli, de l'iouigiie.ui (ineiilioi) tiien) ; Alc.saii die C;illaiec, tle Ploiiigneau; l'ran(,ois Kerbaio, de Plouigneau ; Yves Laurent, de Plouigneau (ention bien) ; Louis Coiollei, de.saintc-.sèvo ; i.onis Crogueiec, de Plcyber-Cbrist ; Pran- (."ois (iaoïivei, de PleyberCJnist ; pran(,ois Gillaid, de Pleyber-Clln ist ;.lean M;uKicii. de Pleyber Christ ; Hervé Minga, de Pleyber-Clirist ;.lean Paugani, de Pleyber-Christ ; I'ran(,ois Deniel, de.sizun ;.lean Donnai d. de Ploujean ; Pierre (înyoardi, de Ploujean (ention bien) ; Fran(,ois l.aviec, de Ploujean ;.Sylvain l'roadec, de Ploujean (ention bien); Adiien (iuichonx. de Taulé ; Jean Gniclioux, de Taulé ; (Jabriel Henry, de Ploiéoin Mène/. ; André Le ikrre, d'i-lliant ;.loseph Madcc, de Plouénan; Jean Madec. de Si Tliégoiec; lirnest Meriet, de Ploiigasnon ; Hervé Régner, de Ploiigasnou ; Marcel Penéguear, de Plouézocb : Isidore Prigent, de Carantec ; Arand.Silliau, de Plougonven (inenlion bien) ; Yves Meudec. de Pleyber-Christ, Nos léliciuitions aux lauréats et à dévoués aîtres. FILLES Ont été reçues : Ecole Priaire Supérieure Marie-Thérèse Corre (ention liés bien); Marguerite Spagnol (bien); Marthe Manach (bien) ; Irène Ruelbd ^très bien). Ecole du Poan-lîen Yvette Carolï (très bien) ; Panle Allain (bien) ; Sione Aridon (très bien); Gabrielle Aubert ; Yvette Audien ; Maria Baron ;.leanne Bourigan (bien); Odette Bradier ; Madeleine Branellec (très bien) ; Jeanne Castel (bien); Louise Cottour ; Sione Daniel ;.losette Lile (très bien) ; Lucienne Pudes(bien); Renée Pcuillard (bien); Anne Coul (bien);.leanne Ciuingant ; Héloi'se Jac(i (bien) ; Louise.legou (bien) ;.leanne Je/é(piel (bien): Jeanne.loseph (bien); Mai celle Kerné (bien) : Madeleine Laleton ; Jeanne Lan trou ; Marie Le Bras (très bien) ; Marie Louise Le Bras ; Hélène Le Lay (bien); Anna Lozacb (bien); Sione Paiiga (bien) ; Yvette Pelleter ; Yvonne (Juéguiner ; Lucette Salaûn (bien) ; Madeleine Salaiin : Yvette Sion (bien) ; Marguerite Stepban (bien); Suzanne Tricliel (bien) :.Madeleine l'guen (bien) ; Louise INéo. Ecole de Saiiil-Marlin (ieneviève Bellec (bien) :.leanne Beuzil 1 bien); Jeannine Bodou (bien); Yvonne Carriou ; Victorine Co(piin ; Marie Diverrès (bien); Yvonne (îuivarch ; Marie (iuyader ; Marie Landouarn : Marguerite Le Brun ; Sione J.e Buanec (bien) ; Anne Le Gall (bien); Suzanne Masson (liés bien) : Maiie Mazp ; (Jerinaine MuzeUec (bien); Yvonne Névez (bieni; Yvonne Reeur; Odette Tanguy (bien) : Adrienne Tourncvaclie; Marcelle Yobé(bien ). Ecole Saînt-Melalne Louise Bellec : Marie lîellec : Marcelle Kerguinou ; Anne Kervellec (bien) ; 'i'vette Le Floch bien) ; Sione Marzin (bien) ; Marcelle Robinaud (très bien) ; Anne Tandéo (bien) ; Maiie-Louise l'rvoas (bien). Ecole de St-Martin-des-Chaps Jeanne Goal (bien) ; Anne Corre (bien) ; Yvonne Haon (bien) ; Marie Le Duc ; Rayonde Le Gall ; Jeanne Le Gall Geraine Le Thous (bien) ; Jeanne Vanac'h ; Maria Mesguen (bien) ; Jeanne Morvan ; Marcelle Parc (bien) ; Sione Piriou (bien); Jeanne Porlailler ; Yvonne Tanguy. Ecole de Ploarii?- Morlaix (Bcitrg) Anna Jégaden (bien) : Aline Kerbrat (trè.s bien) ; Cécile Kéronès (très bien) : Marie Larbantec (bien) ; Marie Le Berre bien); Irène Le Rest (très bien) ; Yvonne Martin (très bien) ; iùigénie Pauga (bien). Eccle de Plourin-Morlaix (ûitekrn) Celina (îrall ; Yvonne Guiller. Ecole de Ploujeai) (Troudou-slcn) Sione Le Bail :.leanne Legrand (bien) ; Marie Le Scour (bien) ; Jeanne Quééner, inenlion bien ; Yvonne ran.t;uy, ention bien ; Annick Thézé. Ec»?le de Ploujeai? (Bourg) Fernande ^uèré. Ecole de Sainle-Scye.leanne Coroller ; Marie Cuetl, ention bien ; Yvonne (iuédec, ention t)ion ; Deii'se l'rii'fnt, ention bien ; Madeleine Rivoal ;.leanne Roué. Ecole de N-D. du Mur 20 présenlées - P,l rec'ues Odelle ('luingant, inenlion très bien ;.Marcelle Bodros, enlioii bien ; ^'vonne Cozanel, ention bien ; Madeleine l'rére, ention bien ;.\nnic Le (ininer, ention^ bien ; ^'vonne Laulrou, ention bien :.losépbine Martin, ention bien ; Yvette Martin, inenlion bien; Jeanne Louise Olivier, inenlion bien ; Marguerilo Terson, ention bien ; N vcllr Quéleii. ention bien; llerveline lioignani, nicnlion bien ; Madeleine Bayec :.Je;uine liargué- (hin ; Marie-l.oiuse (iuioar ;,leanne Slang ;.leanne Silliau ; Lliane l.elaidier : Benée.Morvjui. Nos vives lélicitations aux lauréates el à leuis dévouées iikiitresses. DIPLOME (I' partie) Les épreuves écrites el orales du ^ ltll.l.e:ts O F F I C I K I ^ S : l O O franc*» n e t dipknne (i"' partie) ont eut lieu au collège de jeunes (illes de Morlaix. Les élèves dont les nos suivent ont été reues : Mlles Fraboise Postic, de St-.leandu-Doigt, ention bien ; Aie Quesseveur. de Plestin les-lîrèyes. ention assez bien ; Marie-Thérèse Paul, f/io*- de billet, lo fr. net Piirticipant intégraleent à îou.s le.s Icts, y copris ceux de 200 t'r.s Banque Générale de l'ouest de Plouvorn, ention passable ; Jeanne Salaiin, de Morlaix. ention passable, Sont adissibles Corljiy, de Morlaix Balcli, de Morliii\. Félicitations aux leurs professeurs. Mlles :.'Mei'da ; ':iisabelh J.e lauréates el à Eplois eoninimiiuiix vacants Le préfet du Finistère l'ail connaître cjue les eplois counaux, désignés ci-aprés. sont actuelleent vacants : 1" Cantonnier rural à liosporden. Service à assurer : entretien des cheins ruraux de la coune. Tiaiteent annuel : I,'),') francs. 2" Fossoijeur à Meitara. Nature du service : creusage des fosses et entretien du eietiere. Traiteent annuel :.'!()() fr:iiies, i..e délai de dix ans piévu par la loi du ;io janv ier 192:!, odiliée par celle du.'il juillet l'.)2,s, étant arrivé ;i ex])iration et n'ayant pas élé )rorogé, ces eplois ne peuvent pas être sollicités par les in valides'de guerre I!)l l-jubs, sauf dans le cas indiijué ci après. Pourront être exainées les candidatures présentées : 1" Parles ulilés avant obtenu, avant le 2.-) juillet P,i;i;< lecerlilical d'aptitude professionnel à un eploi réservé de la êe nature (jue l'eploi counal réservé déclaré vacant ; 2'J Par le.s.ilil;iires pensionnés, depuis oins de II) ans, au litre des expéditions de la guerre jiostérieuresiiii 215 octobre IDP) ; ;i" Par les ilitaires des arées de terre et de er. engagés et rengagés, coissionnés ou a )parlenant au cadre de aislr;inee et âgés (le oins de 10 ans ; 1 Par les invalides de guene ]l)l l-lobs ( ui rein )lisscnt, au surplus, les conditions pré\ ues par les articles 1", 1, (i, 7 et 9 de la loi du bs juillet l'.)2l, c'esi-à-dire qui sont ilitaires engagés, rengagés de l'arée île lerre el de er ou apparlenant au corps de aistrance, ou bien réforés ou retraités par suite de blessures (,>u d'inlirités contractées iul.'iervice (en teps de pa,i\) ei ipii sont âgés de j Uioiiis ;ie 40 ans. 1 Les candidals devront aiiresser leur deande ;'i la l'réfecture (Coité départeental des.mutilés el ViclijuQs de la guerre). liaiiquc {[(' (iôiirral<> l'olh^sl Brest PARIS Rennes Fédération IValiouale des Retraités <ie.<»c:iivniin» de fer Français et Coloniaux (droiipe de Mùrlai.v) l.es retraités el veuves pensionnées sont )révenus (ju'ils pourront touciier leurs pensions dans les gares, le lundi 2 juillet. l'^ii outre, la réunion seestrielle aura lieu le dianche N juillel, vers 9 heures, ;'i. la salle des Vrud'- hoiiies de la nnirie de Morlaix. Ordre d u jour : (lueslions diverses ; copte-rendu du C.ongrés ; adhésions et paieent des cotisalions. les llapés (le Clisussures Louis Guyader ;;i et, I>lace Tbiers MORLAIX.seront fernié.s tous les DIMANCHES MATIN à partir du Juillet justju'.uj i6 Septebre. Baisse siip loifs fes arficles de ciiii' N'oir :'i l'étalage! sa Héclae de la Seaine Toutes les seaines «H II II a chanaeent d'articles S H aaabaabanaaaaabbbaaaaabak» Concert Le concert donné, il y a un an, par la chorale de Sl-.Martin avec le concours de l'orchestre " Syinpbonia», obtint le plus franc succès. lieaucoup d'auditeurs éirent le, à aîli B a ai ÏTb a a a a ââ a â'a aiaa 'raâ'âa a vd'u a de voii se renouveler pareille soirée de gala. AGENCE DE MORLALX 29, Rue du Mur C/est chose faite : le vendredi () juillet, :i 20 b. 4."), dans la salle du )atronage de Saint-.Martin, la êe fusion de la chorale de Sainl-.Marlin et l'orchestre Syphoni:», groupant 00 exécutants, sous la (lireclion tle.m. Auduc. charera sou nobreux auditoire par ses cluxhirs. soli el orclieslre. ses chants Toutes opérations Banque, Boursu^ ien iages, ses orceaux d'orches- Change, Monnaies or el argent, l'aie- Ire svphoniipie ; elle perellra de ent coupons sans irais, goûter, entre autres chants, les Uenseignenienls gratuits sur. toutes célèbres llàleurs de la VoUia, Le. voleurs. Couilages otliclels stricteent appliqués. Les (leur Roses, Allons, (/ais lieri/ers. ('.haut de la Xaiwlle, Le Printeps^ Dès ainienant, réservez votre TOMBOLA I soirée du ti juillet el louez vos pla- I ces ;'i la conciergerie du patronage-, de la Lyre Morlaisienne i Prix des places : (1, i el francs. Jeudi ics juin, à 20 li. t."), il a élé procédé, salle des répétitions de la Lyre Morlaisienne, à la.maison du l'euple. au tirage de la tobola, organisée par notre active société i locale. i Liste lien luuuèros (inçiixtiils : 2 2ïM 1.UJ2 2 :iit) :5.i.-)S ô.slit -l.fiik-i S.721 S.71IS ;i7l)2 2 lih) l.iv.c) G. 171.').3ô7 ;i2i) Ci.iiî',» l.(i7s 7 i:5>.i r..r)i)i S i.icii; o.-ts,) ;{.(),7.» ().S7U.(>>i8 ('..."lis 27 s 7. (),")! is.75:i S.iilio 1S\I 3.r)()i) :>.'jai s.sdi '17() :)..vj 1 2.;-) ;5.S 777 '.). 101 l.ulli U 2.1.'M ' '.lot; ;f,r)27 2(11 2.ri(ri 2 ins't ï^.717 t. lue, S.iiSÔ 2,9:u ô.i.s;} ().7(iO S.22.^ lus ;iiuii 2.2 Ki 0 01)1 ;?.7or) r):i 2.i;!M (i.'.c)'.) I.KS2 ;i.o;i',i o,')iu O;ÎI A.2:>S r)..s.i;{ 1)111 l.'l.').s!),i],s ;;.97o 2.SS:! 2.S2(> '.I.OIH 7.\") â.uhvs '.i.;ui'.' ::.771 i.ui:^ i.7;io 7.o:.') 0 r) iy-l'a.">.'. 12'. I I") U2 9.oo:i 1.1:10 s.m s 2.0:Î ;)i;;i i^.ociâ l.cisi S,')7 1 ;) '.t77 (i.ol^l 0.87.^ ;! ht 1.:Î.V2 2. s (18 ;i. l2li 1.rxK) 5.-i;u ().:f7ii 7..")U7 '.» o;!i :;,079 S.liCc' :i ;!79 (i7.") 7.()S<." l!9li ;! S. (;,')(.! 2. S', Il 1.1 S S,;./1/ i-l."> i.'.ii;; (1.5 tu ).17:! 18,-) :^ :i.77o 1.1 2:Î 4.0) S.1.V2 u.ios 7.0S OI ,')1 r).42c )8 1.)r) ;i.i8l 2.:{ ;i.;i(i5 vsul 1, S (W'i (i -KU :5 7.1 / :I 2..-)02 7.:!0I 702 t).222.s ,-)1.') 2:10 2.9:^ 'IL ;ri (;.8i',i 107 'i.^siîc).-).41:^ 8.009,').;{( 18 8 '")87 :).7i(: I i..'):!0 II II II II II II III II II IIiII C^ARF: Salle CASTEL TALXÊ-heivvk: Dianche P'.juillet P.i;n à 1 I heures Grand Bal avec le concours de rorcbestre-ja/z de 'l'révidv I aa M il ti II II ib ti i: u n Conseil de de l^rud'lioninie» Morlaix.l/'/,s' tle tlépt'd des listes électorales pour l!>:}'i Le aire de Morlaix rappelle ( ue, conforéent aux prescriptions de l'article 2.') de la loi du 21 juin 1921, les listes des électeurs du ressort du (".onseil de Prl'hoes de Morlaix sont déiiosées depuis le 17 juin tant au secrétari;it dudit Conseil (iu';iu secrét;irial de chacune des uiairics des counes du canton de.morlaix. jusi u'au P juillet les avants-droit ligurant à l'article de la loi du 21 juin 1924 iiourronl :j.099 : )résenler leurs réclaations : soit -')j(i i 'P' plaignent d'avoir élé ois, - ^ij,:, isoit ( u'ils dcandenl la radiation.',m'un citoyen indûent inscrit Ces réclaations seront [lortées 4./(i4 ; (levant te juge de ])aix du canton, par siple déclaration faite, sans 'Xhy frais, au grelve de la justice de paix. LOTERIE IVATIOIVALE Traiit'lie lîlh'ï idéphonc : , Rue du Mur R.C.Seine2S2.24Sb MORLALX PAULS - RENNES - BREST - ST-BRIEtC Lots ^a^néc par nos clients : 5CO.CCO - ico.ccc - 50.CC0 - lo.cco - i.cco francs.p

19 * Lya Tribune ' V Wê r-w-ê S M*cinturcs en fous Genres - Oécars " J SuccMgrifatc à Carantvc Téléplwone 0.27 Diirnas, Feiers Lacroix Follot, Landy, Salnhra Travaux d'eglises et d'apparteents Spécialités tic St-Goltatn, Ghiccs cl l'arc-brise pour Anios RÉUIVION AIVIVUELLE de TAssociation des anciens élèves du collège de gardons : A.ncienncs Maisons FLOCH A NICOI.AS frères Droguerie f Le lundi 2;') juin, à 1(» heures, S, Hue Gabetia s'est lenul- au coilèf^e la réunion JtORl^AiX annuelle de l'association des anciens élèves du collèf;'e de i^arçons Té-lép. O.H'^ Grand Choix de Morlaix. tle l'apiers i*eints J Sous la conduite de leur président, M. Tanguy, président du l-'xrliixinlc Doiir lu rnjioii des iii(tr(iiirx tribunal de coninutce ; de M. le aire de Morlaix ; de.ni. Scldein- Au Conseil Municipal Le Conseil unicipal de Morlaix s'est réuni jeudi soir, à 21 h. il la airie, \'oici le résué des principales questions inscrites à l'ordre du jour : lieiuercieinedts. Le aire donne lecture de lettres de reercieents adressées par M>L Schleor, principal du collège de garçons ; Boher. chef de la usicjue des équipages de la Hotte ; Morisson, président de la Fédération usicale de la Hretai;ne et île l'an- jou. Siihrenlions. La (j'oix-uouge Irançaise obtient une subvention de IcO francs ; le Syndicat d'élevage du canton, l.dùo l'r. ; l'association Valentin Haiiy,.")() ir.. plus un don de 2.0(10 l'r.. jjrovenant de la Caisse d'épargne ; le Coité ilu onuent à Faul Morel. 2(K) Ir. ; le Syndicat des hôteliers LOOO l'r. ; la l""édération des sociétés l'orestiéres du départeent. 100 l'r. : le Ontre anticancéreux de Rennes,.">00 l'r. ; le ('oité du onuent au docteur lloux. 200 Ir. : la Société des courses, 2 (»0() Ir. ; l'orplie linat de l'enseigneent priaire, ](K) l'r. ; la Fédération nationale pavsanne, 200 l'r. ^Iusie. Le aire reercie M. Delangle-Malilàtre, conservateur, pour son excellente collaboration et pour les ilons iju'il a laits à la unicipalité. Il regrette son départ, dû à son état de santé. Me )elangle-maliràtre sera replacée par M. (ïouriou, architecte de la ville. Deux coissions de contrôle sont désignées. La preière est coposée de M>L lleuzé, l'enther, Le Marchand de Trigon, (iourvil ; la seconde coprend MNL Le.Jeune, Patault, Le (loascoz, Lédan. Police. Conloréent à la lettre de >L le inistre, la unicipalité prend un engageent de 3 ans en ce qui concerne l'élévation de classe. Service des P.T.T. Le aire ' heures ci-après : de 11 à M h. et de IS h. ;H) à 20 h. ;u). C.linbrc de coiiunercc. Le ("onseil décide de reprendre les pièces de la Chal)rc de coerce à la airie et de résilier les locations verbales. Asaislancc aux incillards. Le taux de l'allocation pour l'assistance aux vieillards et aux fees en couches est lixé au nuixiu pour.") ans. lùupnint. Le (Conseil décide de rebourser francs sur l'eprunt de l.tioo.ooo francs pour les travaux de la gare. l'axe ricinale. Les cotes irrécouvrables s'élèvent à 04 l'r. 72. Cinielicre Saint-Martin. Le Conseil vote un crédit pour l'achat de phuiues éaillées i)our les sépultures ilitaires au cietière Î^aint-Martin. Deande de M..Monnier. La deanilc de M. Monnier, concernant une cession de terrain à la Fontaine-au-Lait est renvovée à l'étude. Haute du Bas de la liiinère. Sur la deande d'aligneent présentée par Me veuve Gravot, route du Bas de la Rivière, le ('onseil décide de céder ' ètres carrés de terrain conuinal, à 10 francs le ètre. I.e Conseil, sur la deande de M. Bouder, roule du réservoir du Roudour, vote un échange de terrains. Venelle ties Carélites,.'iii 2 72 de terrain sont achetés à 10 l'r. le ètre. Bureau de bienfaisance. Le projet d'aliénation d'un bâtient et du jardin y attenant reçoit un avis favorable"du Conseil. Bud(jets. Les budgets du bureau de bienfaisance, de l'hospice, des collèges et de la coune SiOnt ensuite présentés par M^L Huet, Le (ioasco/, I^édan et Sion. Des félicitations sont votées aux directions, ainsi qu'an personnel de ces diverses adinistrations. lios{)ice. Le aire donne le nouveau prix du gaz. déclare (lue, par suite des décrets-,, Place Dauesnil.,,.,,, Les travaux lois, les fonctionnaires de l'adini-' P'-'^ce Dauesnil nistration des P.T.T. sont o i n s, ^ eleveront a 120.(j(;.4 Irancs. Ils senobreux. 11 en est résulté la sup- '«"'."V':' adjudication selon les pression d'une distribution. Il est ipossible, actuelleent de faire; Société d'études A. S.L. \ AI ^iuhplus de deux distributions j)ar 1 vention de la Société d'études est jour. portée de 200 à âoo francs. Sur la deande de.m. le rece-; Contres du Blucn Bruij. Le veur, le Conseil décide d'établir ] congrès du iiluen Brug se tiendra une ligne télépbonitiue directe en-j à Morlaix les 2,.'5 et 4 septebre tre la poste et le poste d'incendie ; prochain. Le parc de Kernéguès et de la place des.jacobins. : les salles de la airie seront ises Colleye de (jarcons. Li: Conseil ii la disposition des congressistes, donne "un avis favorable au va-u j.svco/jr.s. l'n secours de 1.4:50 éis par le conseil (l'adinistra- francs est voté pour perettre l'adtion du coll('-ge de garçons de Moi-! ission d'un enfant alade dans laix, en ce qui concerne la cons-; un établisseent spécial, truction d'un bâtient unis.sant Has-douches. - bains-doules ateliers a la chapelle, ai.si! unicipaux seront ouverts à RN, (ju'une NNP salle snlln de nv.nnnu gynastique IMI,,.,. prochain. Me I.e Conseil donne un avis fa\o-! rable au v(ru du conseil d'adi-j nistration du collège de garçons deandant la créalion d'un (y poste de répétiteur et d'un sixièe jioste de ai tre d'internat. Bud(jel des cultes. Le (Conseil proteste contre la supjjression de la répartition aux counes des fonds disponibles, tar suite de la suppression du budget des cultes. Coune. - Le Conseil vote un crédit su ) )léentaire de francs Dérogation au repos hebdoadaire. A ce sujet, le (Conseil donne un avis favorable à l'intervention de NL le préfet. Le bail est renouvelé, selon un loyer de <500 francs. Eploijés counaux. Me veuve Péron, veuve d'un e )loyé counal, obtient 190 francs (le pension ; >L Pirou, ouvrier counal, obtient 200 francs de )ension. 'Journées Baret. I.es directeurs de cinéas ont jjrotesté j)arce ( ue les tournées IJaret. jouant certains jours (le représentation leur causaient ( uel(jue préjudice. Le aire deande à ce ( ue les cinéas de la ville fassent relâche le vendredi, jour réservé aux tournées Haret. Finaleent, le Conseil, à l'unaniitf'^ oins trois voix, vote la subvention habituelle aux tournées Haret. l'ne deande de suppression de taxes sur les spectacles et du droit des pauvres, forulée par NL Hécani, pour la saison d'été, est rejetée. 'l'axe de stcdionneent des autos. La laxe de stationneent des autooi)iles sera suppriée aux ^agadec en est noée directrice. X' aire donne lecture des tarifs ( ui y seront appli(jués. Les établisseents du Poan-Hen seront ouverts tous les jours, de S heures à 11 h.,'50 et (le 11 h. à IS h. ;io, sauf le dianche, où ils resteront ouveits de S à 11 heures. IMPRIMERIE - MÉCANOGRAPHIE Louis Boclé 9 bis Rac Sabctta, MORLAIX Téléphone 2.:ii) Agence des Machines à Ecrire " Rcin^ton " NOS OCCASIONS : R eington 10 s, ciiariot.<i caract. élite Reington IOA.M pica Reington 10 s,.\ pica Reington 10 A.M Continsouza ii 21 C, éilltini roan Il caract. pica U nderwood 4 i)ica Toutes nos occasions sont livrées entiéieent ic vidées et avec garantie i'll,illlli illl!l!ii:ili l!:lllllll!l!il:l!ll!ibi'iihiiii i%niieale des IVorandA» de Brest et du Finistère (Section de Morlaix) Dianche <S juillet, réunion à 11 heures, à l'iumel (le l'kurope, en vue (le la constitution d'un coité local. A l'issue de celte réunion : ban- (juet aical. : nier, principal du collège, les an- J i ciens élèves lireni une visiti; coui- «; plèle de I étahlissenient. Tous rctrouvèrent avec plaisir les lieux où ils vécurent une partie de leur Jeunesse. (^est aussi avec intérél u'ils nolèrenl les heureuses oilicalions iipportées aux locaux (ju'ils avaient connus. l'issue de celte visite, les anciens élèves se réunirent au réfectoire, où un vin d'honneui' leur avait été préparé. M. le principal reercia l'assistance d'être venue nobreuse et assura les anciens élèves du )laisir (ju'aurait l'adinistration de les revoir souvent dans les urs de leur vieux collège. M. Tanguy prit ensuite la parole ex )osa la situation actuelle de l'association, ( ui est en plein développeent, et proposa des odilications heureuses ( ui furent adoptées à l'unaniilé. M. le aire dit sa joie de se trouver au ilieu <les anciens élèves du collège. A idi, a séance lut levée. ai)rès ( ue chacun eut pris rendezvous i)our le ban( uet de l'associa- tion ( ui aura j)rochain. lieu le 11 Un beau «uccès octobre Nous soes heureux d'apprendre ( ue Haeury, ancien élève du collège de garçons de Morlaix, vient d'être déclare adissible à la fois à l'iù'ole des ines, à l'iccole su )érieure de l'aéronauticiue et à l'lcole pol> techni(iue. Nous adressons à M. Haeury nos plus vives félicitations. Diplôe copléentaire de fin d'études secondaires Les élèves dont les nos suivent ont été reçues : Mlles Marie-(Maire Muguen, île Scrignac ; Marie-Thérèse Le Berre, de Saint-Cadou, en Sizun (ention assez l)ien) ; Yvette Léon, de lirest (ention assez bien) ; Le (Joaziou, de Sainl-Thonan. Nous félicitons les lauréates et leurs professeurs. Grande Soirée récréative Si vous voulez passer (luehjues heures de franche gaieté, accourez tous saedi soir, i50 courant, à 20h. à la Maison du Peuple, pour assister à la soirée oiterle par les I-^claireursde France(groupe local de Morlaix). Au prograe : trois saynètes coi(iues, danses, chanls, etc. ; Me Cars dans son nouveau répertoire, avec le concours de la jeune Lyre orlaisienne et des llclaircurs brestois. Prix des places :.'5 francs. Location ouverte à la Maison du Peuple, de '.) à 11 heures et de 11 à IN heures. K<»ciété dv Secuur» ^Mutueliv dea» VoyayeiirM et Eployée» d«(.oiiiiiierc*e et d'industrie {SccHon de Morlai.v) Tolwla au profit de la C(usse de Sccouis iédi<ds.nous rappelons aux souscripteurs ( ue notre tobola sera tirée dianche )rochain, à SI h. 1/2, à la airii?, sal e des Prud'hoes. Les lots sont exposés à la vitrine de ^L.1. Castel, chapelier, 10. )lacc Thiers. Nous soes certains ( ue tous les gagnants seront enchantés. Pour ne (Mter ( ue ( uel(iues-uns des lots les plus iportants, voyez : l'n beau service de table, une série de casseroles, un fait-tout, une coupe à fruits, un l)illel de la J.,oterie Nationale (2'' tranche), etc..., cl une grande (juanlité d autres lots di'is à la générosité des coerçanls Morlaisiens. Nous reercions sincèreent ces derniers du bon accueil (jue tous ont réservé aux collecteurs. Il reste encore (juel( ues billets à vendre ; hâtez-vous de vous en procurer, soit chez M. (Pastel, 10, place Thiers ; chez M. (îuégan, pharacie Le Maître, ou Lagadec (Maison Auzou), 2'.), rue de I^U'is. Les vendeurs de billets sont priés de rapporter les souches de carnels au plus lard le.'50 juin à l'une des )ersonnes désignées plus haut. Foire des jeunes nens Le aire de Morlaix a l'avanlage (le ra )peler aux intéressés ( ue c'est le ercredi 4 juillet, ([u'aura lieu la vieille foire de Saint-Marlin, dite des «jeunes gens». Coe (l'habitude, les chevaux se tiendront rue Arand-Uousseau. le bétail et les porcs, ])lace Saint- Martin. R I A L. T O - GIIVKIIIA \'en(iiedi. Saedi, Dianche Soirées à L'O h. ).'> ALICE ^LD,ROGER TREVILLE «r LUCIEN BAROUX VOUS SEREZ MA FEMME! RÉALISÉ PAR SERGE DE POLICNy O'APOeO UN SCÉNARIO De LOUIS VEBNEUII. AVEC JANINE RONCERAy ET PIERRE SERCEOL. C'EST UN PARLANT^^D'ALFRED ZEISLER (» N'EST PAS UN PILM DOUBLé AviJi P R E T S D ' A R G E I V T <lans un délai axiu de 20 jours SérietÊses ffaranties exigées Avances pour construire et extension Coerce Iportant f^roiipe lin:mn;ier disposant de plusieurs illions codsonliiait i)rèts à [>{uliculiers pai tranche de 2.').0UU à 2r,0.0()0 fr. Taux d'iniciêt en lin d'oijérations, 4.75 ",< KIEIV A i'aykk H'AVAIVCE Rebourseents en 5, 10, 15 ans axiu Rens. grat.. écrire à : M. Rouillard Lucien. Agent en banque 10, RUt LEPEHDIT, RENNES. Téléph. : Con.scrvcz cette cil i c. elle ne p.ir;iit que ctiaque quinzaine Les Propos de Soslhéne \ PÊCHEURS M. (^harles-lrnesl Séveno, -1.") i! prend un bout de bois, un orceau ans. à Morlaix, est infortné qu'il 'de lil et on trepe le tout dans îigurc au nobre des jurés ajjpelés à siéger à la session de la Coui d'assises de l'iuire, (lui s'ouvrira à 1-lvreux le 2 juillet i)rochain à i;i heures. Chute de bieyelette Dianche après-idi, veis II heures, M. Pierre (la, ans, au (Àis( uer-vras. en Plourin-Morlaix, descendait à liicyclette la rue des Hrebis. Conie il arrivait à proxiité de l'ancien débit Le lîras, il aperçut deux fees < ui le piécédaient. L'une des deux fees tenait sa droite et l'autre le ilieu de la chaussée. Soudain, cette dernière, au lieu de se ranger à droite, après les avertisseents de.^l (^a, ()bli( ua à gauche et vint heurter la roue avant de la bicvcletle. M. (^a fut alors projeté violeent sur la chaussée et. blesfié assez sérieuseent à la léle. il dut recevoir les soins de M. le docteur Le.lanne. Ca a dé )osé une )lainte à la police unicipale contre la fee, ( u'il rend responsable de l'accident. «a : Radio - Celtic S S 25, Place Cornic, MORLAIX S Agence exclusive des postes de u T. S. V DUCRETET et des a- S plilkaieurs THOMSON-HOUSTON vous présente une gae cora- S plète d'appareils à des prix inté- ressants. C 25. C ÔO. C 17. C 70. C 19. C <S frs IVs lis S frs rs a rs : RADIOPHflIfO à partir de frs La Maison possède un atelier de réparations et des techniciens éprouvés qui se tiennent à la disposition de toute personne désirant l'aire réparer ou transforer son appareil. 11 y a diirérentes anières de pè cher le poisson. Les élhodes varient suivant (ju'oii s'adresse à tel ou tel habitant des eaux, et surtout suivant (jue les gendares sont plus ou oins éloignés du lieu de pèche. Il y a tout d'abord la pèche à la ligii(.\ Pour se livrer à ce sport on l'eau pendant un tejjs qui varie avec celui ( ue l'on a à perdre. Il arrive (iuel(]uefois ( u'un alheureux poisson, pris de neurasthé nie, ait envie de se suicider. Il se )en(l alors après le lil disposé à cette intention par le pécheur, (jui, tout heureux de cette aubaine, donne au désespéré une sépulture honorable. La pèche :'i la ligne est exercée par des gens (jui luent la pipe, discutent des allaires )ubliques au Café du Coerce, ont beaucouj) d'enfants et le caractère placide et doux. Ils se font généraleent dresser procès-verbal d'infraction à toutes les lois de la pèche, pour avoir is le pied dans l'eau en êe teps que leur ligne, ce qui est un crie et un sacrilège. Ils jfaient rubis sur l'ongle les frais de leur )rocès et se i'ont prendre encore bien d'autres fois par les agents de la force pi;bli(iue pour des contraventions aussi graves ( ue la précédente aux lois de la pèche à la ligne, l'n vairon de dix graes revient à cin( ou six francs au pécheur à la ligne, ce qui, en calculant l)ien, et le poisson sur le pied de six cents francs le kilo. Cependant le péclieur à la ligne trouve une saveur incoparable au poisson, (ju'il a i)ris par hasard. Il y a ensuite le pécheur au lilet : là encore il y a un las d'ordonnances perettant de transforer en délit ce genre d'opération. La aille du lilet doit avoir une diension bien déterinée, le lil doit être... enfin il est à peu près ipossible de prendre la nioindre friture si l'on observe la loi. (>'est [)0urqu0i le pécheur au lilel, sans se soucier de la loi. jirend pas al de poissons avec un outillage (pii n'est pas du tout régleentaire. Le )oisson se élie du pécheur au ilet, et le pécheur au lilet se élie des gendares. Dans la pèche au lilet, les gendares attrapent très peu de pécheurs. HïPPISxME Les Courses de Morlaix Il y a la pèche absoluent interdite.' C'est la plus facile et c'est celle (ju'on i)rati(iue noraleent. Toutes ces épreuves présentèrent La plui)art du )oisson ( ue nous un vif intérêt et.soulevèrent l'enthousiase du public présent, angeons et (jui provient des rivières est sorti de l'eau au épris Collision de la loi, parce (ju'il s'est fait dvna- A! "'i'''- l'tuurdir par un produit 'pli's Deuxièe jcurnéc produiie sur la roule de '('arantec, ou oins chii( ue, ou ebouteil- Preière C.ourse. Prix Céncentre l'auto de M. lùlond Le Hos 1er dans des appareils prohibes. I.e, (plate). A réclaer. Dispécheur ciiinel ( ui ei)loic ces!. i.,-,(i() ètres. Sept parlants, deeuranl à Brest, rue.lean Jaurès et celle de.m. I.ouis Binard, oyens atroces, se soucie lorl peu _, PapriUa (Trinal), à M. Aide dépeupler les rivieres et coe Mazenq ; 2. Chouketla (An- archand de prieurs à Saint-.Jac( ues-(le-la-lande. C.ctte dernière voiture dèrai)a dans un virage il est un peu bandil, il <lenieuie j au cote.1, de Langle, à introuvable. La loi na donc i)as dcj;}^, longueur ;.'5. Braderie (làprise sur lui. Forban), au cote M desmoustier; et vint heurter l'aulo de M. Le Bos. Les dégàls nialèriels ont été Il y a enlin la peche en er., Soité (Lour.son, à.m. Manconstatés )ar M' (îallouédcc, huissier à Morlaix. gens de étier. Le plus souvent,!'' placés : Bandido, C-elte dernière est prali(iuce par des Princesse Etat-Civil de Morlaix (lu -21 au -js.juin l'.t:î NAISSANCKS Marie Pcn, 2, place Traoulen, lille de Louis ctde.leanne Boizard. Maurice Cnyoniarch, ( uartier du (^Ihàteau, lils de Nicolas et de Marie imadec. l'uki.icatiox Yves Plassarl, cultivateurà i'iounéour-ménez et Marie Bogar, lingère à ri lospice. MAltlAdKS.lean Messager, garçon-boucher et Hose Le Noan, couturière. Henri Baoul, enuisier et.leanne Abgrall, couturière. I.ouis ("allarec, plâtrier et Marie BaouJ, couturière. Antoine (>azuc, ([uartieraître radio télégraphiste et Marguerite Le Lay, o(liste. l'rançois (x)rbel, soldat au 4(5' B.I. et Marie C.aradec, s. p. Thco )hile (^orbel, coerçant et Marie Madec eployée de coerce. Diîciis Catherine Sléjihan, épouse de Louis Créach, 47 ans I ois, Parcau-Duc. François Le.leune, éi)oux de.leanne Le (îall. (54 ans, (juartier du Château..lean.Le Noan, veufde Anna Le Bras, t)4 ans 10 ois, 14, rue N'illeneuve. Késultats techniipies : Frcniicrc Journée 1" (>ourse. Epreuve Interréi/ionale de la Société Sportive d'encouraf/eent et de la Société des Courses (Plate). Distance : 1.iSUO ètres,.'5 i)artants Izarra III (Léon Brohieri, à.nl C.h. Cosselin ; 2..lupiter (Isidore Ilaonic), à.\l laicas, à 2 longueurs ; ;S..louvencelle I\' (C. Derennes), à.m. F..Marrec, très loin..mutuel : gagnant, 7. 2' Course. Pri.v delonijchap. - Pri.v dé la Société d'encouratjeeid (plate, au galop). Distance : l.ooo ètres, neuf partants. 1. Quedliinbour i.j. Le Forban), à M de Talhouèt-Boy : 2. Bikitéa (Félix Asfaux), à M. Bidgrain, à une tète ;.'5..laca (.André Boulet), à Me P. Daniou ; I. Pescarinetta (.Joseph Audoiuira),à.M. le Vicote du Pontavice ;."). Carte grise H (Henri Duont), à.\l Henry (îillet. Mutuel : Gagnant, 10,00; placés, (5,50, 10,.j0, Course. Pri.v de la Ville de Morlai.v (Steeple-Chase). Distance :.'5.(500 ètres, huit parlants Belanges ;.Iean Delaplace), à M. P. Bidgrain ; 2. Klysée (Baoul Lenison), à M. Fruhùis Halz, à une encolure ; ;5. Halo ((ieorges Derennes), à M. A. Le Pecq ; 4. (Charles- Quint (Marcel Philipot), à M..1. (i. (le Bourgogne ; Le Moulin, tobé. Mutuel : gagnant, 20,."^U ; placés, N, 7 M) et 22, l' Course. Prix de la Société d'encouraçjeent (au trot attelé). Distance :.'5.000 ètres, i» partants. I. Fresnay (Marcel Tau lin), à M..1. Lanoé ; 2' Hydnel (IL de Moussac, à M. A. Boudil ; ;5. l'.picure 11, (Léon Lall'eur), à M..1. Neveu ; 1. Florence III (J. Kerleau), à.m..j. (juivarch ;.'). Flavacort L. Lccler( ), à M. A. Marolle ; Faisan Prince fut distancé de la seconde place pour avoir passé le poteau au galop. Mutuel : Gagnant, 12 ; placés, 7, 0, ;5.s,.-)().,')> C.ourse. Prix du Conseil Cénéral et du Crédit Santais (Steeple- Chase). Distance :;{.(500 ètres,."> lartant.s. 1. Grézillonne (Georges irillet), à M. U. Hivert. 2. Heured'i:té 111 (Albert Bousseau, à M. A. Burlot ; ;5. Chapeau Bond (André Biera), à Mlle (i. C.otteux) ; L (lange (Andié.Juste), à M. C. Moreau ;.'). Nadine II (Max Mangou), à M A. Mangou. Mutuel : gagnant, S ; placés, 7,.")0, 11..-)0 c'esl le pèriicur ( ui est ange par j i^a l'orestière. le poisson ; ce syslee n'est pas a Muiuel : i;agnant : 71,."lO : placés la portée de tout le onde cl il y a! jj. de oins en oins de pécheurs de j i')oiixi,:mne Course. Prix du Pracelte catégorie. I.es gendares sont, (plaie), handicap. Distance : sans aucune action sur le )oisson _).;i(l() ètres environ. Dix jiartants. de er (pii dévore les pécheurs : le _, Mignard 11 (Le Forban), ù M. poisson criinel éprisé la loi. j-onile M. des Moustier ; 2. Biki- ^'()ici donc (lualre catégories i téa, à M. P. Bidgrain ;.'5. Maritd'individus dans le onde de la j ehou, à.me P. Daniou ; I. Pescapèchc : 1" Celui (jui ne prend pas rinetta, à M. le vicote.1. de Ponde )oisson ais est pris par les tavice ;.'). Tournesol, à M..Alexis gendares ; 2' CAMUI (jui prend du ; Tinel. poisson et (jui prend les gendar-es Non i)lacès : (Carie Grise ILMontson ;.'> (Celui (JUI assacre le pois- joie ray My, (Caille Bôtie et et (pii reste ignoré des gendar- 'i'\) lette es ;.i" (Celui ( UI est angé par U- Mutuel gagnant, 12 ; placés. 7, ])oisson. S,.")0, 2:5,."H),Je n'insisterai )asplus longteps sur la pèche et les pécheurs, n'appartenant personnelleent à aucune des catégories décrites ci-dessus, SOSTHI'CNK. Es^ai 3 ois : 2francs Troisièe (Course. Steeple- Chase de la Société du dei-sant; (chevaux de selle). Distance : ;5.(5(H> ètres, 4 partants. 1. Marris (A. Adèle), à.\t. B. Hivert : 2. (Chapeau Bond (.1. Guihéneuc), à Mlle Cotteux..'5. Nadine 11. à M. A. Mangou ; I (iahy, à M..1. Latour. Mutujl, gagnant : (5 : placés, (5 et 7. "Mon Jai-diii " Quatrièe Course. l'ri.v de ^^^ Revuv do Jardin.-igo Pennélé (au trol attelé ou onté). ' THOUARS (Oeui-Sovrcil Distance : ;5.()()() ètres, 12 partants. ^ est IR guide pratique 1. l'resnay (Taulin), à M..J. Lanot' ; 2. l''ràncheville (Dejean), à des aateurs M. V. Leguernez ;.'5. Dyck (^.labin), à M. A. Gosselin ; 4. Ilypnal (H. Ctsêi d» 3 oit! de Moussac), à M. A. Boiulel. contie2/r. tn tibre» post» I Non placés : Flavacourt. Kpicure H, Gàs, l'iéard, Georgina H, l'oiitainebleau, l-'lorence 111, Hudson. i V

20 ..I^a Tribune w V lî-:'»'- 'M il ' G J K I S S B L I D ' É P T ^ l ^ G N E I D E M O I ^ L a ^ J ^ I X c o p t e s T ' C B A N O O N N É S Les déposants dont les nos suivent sont inforés (lue les dépôts qu'ils possèdent à la Caisse d'kpargne seroiil atteints par la prescription trenlenaire au I" janvier 1935 et ijue leur ontant sera reparti entre les Caisses d'epar{j;ne el les sociétés, de secours utuels si ces coptes n'ont pas été retirés ou s'ils n'ont fait, a^aiit la date précitée, l'objet d'aucune opération à la deande des titulaires ou de leurs représentants. (Exécution dos lois des 7 ai isr^î, :?() juillet IS'.i.-), 5 août tlm 1, 1 juillet U)l.'i, 10 juin l'.)2i el décret du lo aoiil 1914) (') ( i.i ^ () S ">2 092.'> Bô 5'.'0 Laanda Pierre-Marit'.. né à Mortaix le 30 juillet lsi')!>, SHint-Micolas, Morlaix Priffent Mauiice, Menuisier ne à Ploujean le -1 août If^ôS. Troudousten, IMoujean Hor}ïnis-I)ost)ordes Marie, née a Moilaix on 187;:, Penzé Taulé Le Moins Caille. C erc de notaire, né à Toulouse en i8(w, Place Saint-Martin. Morlaix Béca Ouilleette, fee Cochard Alain-Marie, Cultivalrice, née a Pleyiier-Cbrist en juin 1863, Kerarquer, IMeyher-Christ Béca Catherine, fee i^e Koux.iosepli. née à Morlaix le."j aoiit Venelle de la Prison, Morlaix " Cbancerelle Marie-llenrictlc, fee Le Moinj? Caille, née à Douarnenez le 8 janvier 186ii. IMace Saint Martin, Morlaix Beuzit Kftla Cultivateur, né à Lai.neanou le 7 ars 185('), Grand Hu^ren. Lîî::r;canou Dérotf Anna, fo.'î Cadiou Pierre, cultivali loo, nee à l^oscolf le lô ai 1875, Kerjé^u-Kei'avel, Hoscotf Le Guyader \'croni(iue, nee à i^oscofl en 18-.»,i, rue Gahetta, Morlaix Taldu Louis. Ajusteur, né à Morlaix en 1881, 32, rue des Vignes, Morlaix Hélary Anna ^larie, Cuisinière, née à l*lou{ionvcn en 1873, rue de Paiis. Brest Bourc'iiis Jean-Marie, Doestiqun. né à Mespaul le 29 novebre rue Cabetta, Morlaix Mancliec Frai çois-marie-henri. Nojiociant en vins, né à Plougonven le 11 février 1872, bouig Plougonvun Cadiou l'ierre, cultivateur, né a Clédor le -JC) ars 18t')9, Kéravcl, Roscolf Priser Gabrielle, nee à St-Mai liii des Cliaps le 2 janvier IN92. Bassin, St-Martin-dos-Cbanips Priser Franc is, né à Si-MarUn des (Ibaps le 13 aoi'it 18.t8, Bassin. St-Martin-des Cbaps Le.leuno Jeanne Majie, fenie Corre Jeaii-Pierro, Cultivatrice, née à Plevber Cbrist le 27 novebre 188L Pen ar-quinciuis, Pleyber-( lirist Doucen Frai <;ois, Conioicanl, ne a Poullaoucn le 23 ai l^rj-l, Bourg' de l'uuilaouen Guillein Fiài coise, fc-e ikiucen Fra.ois, née a l'ouliaouon le 21 ars I85i'i Bourj^; de l'oullaouen Corre Aujruste. ne à P eybei" Cliiist le 10 janvior 19U4, Pen-ai' Quiîîquis, Plcx ber-clirist Uavalec Pierre-Marie, Menuisier ne à l'!ouij:neau le 10 noveure 1886, Maineville (Calvados) Gourelo!) Louise-Mane r.abrielle-ar^zole, nre à Landivisiau le 17 août 1901). rue de Landerneau, Landivisiau Gourelon \ ictoi'.mai ie-frar.cois, ne a l,andivisiau le 18 juin 190J i ue de Landerneau, Landivisiau Nédellec Jeanne-Marie née à Morlaix le 3 août 1855, 4 rue Courte,.Morlaix Guiilou Marie-Aune Franç^oise. fee Siolian Louis, Meunière, née à Cleder le lu octobre 1810, Dourduff, l'ioagoul Pour les coptes dont le inonlant est inférieur à.50 francs oii est prié de consulter, dès ainteiiaiit. les listes affichées à la C.aisse (l'kpargne, 7. place Cornic, à Morlaix cl à la succursale de Landivisiau (Mairie)..Morlaix. le 29 juin Cerlilié confore aux écrilures de la Caisse. L'Ajxent Général Trésorier : Le l'résident du Conseil des Directeurs ; GUILLOr. BOUKGOT. Muliioi 8,.")0, 9 et 1 i. ^ngnanl piacc: I I Septièe Série Handieap national, pour bateau (^iiuiuièiiio ('ourse. l'n.v i/;; : (1 un l ating au-dessous de 7 ètres. Val-Iiou(ie {l'rix de Ui Soiiclv des nàlcanx de Pêche Slfeplc-C.hascs de Fniiicc). - Distance : ;>.()()0 nirtrcs, tl i)arlants. Huitièe Série L Le Moulin Jierlini), à.m. P. de.). 20 el au-dessous de longueur La Brosse ; 2. lialo(.l. DccUcr). à lolale. M. A. Le Ik'cii ; 3. Lasl iiose ((). Neuvièe Série Ciuilliéneuc), a M. P. Daniou ; 1. 7 ètres el au-dessous de Castilla. à.ni. le viconile de Piugor. gueur lolale. lon- Non placés : ("icorj^elte de.savoie Dixièe Série et La l^icliardais. I lîàleaux de pèche à oteur auxiliaires de () cv el au-dessous (\'oi-.mutuel : {^aunant, U>,.')0 ; placos, 8,r)() et i). iurcs inlcrdilc-s). Les épreuves picscnlèrcnt ioutos un Iri's vil' intcrôt. Le noinbro cl la qualité des engauenienls en font loi. YACHTING C.ourse à la godille pour ousses au-dessous de K! ans). 1*rix : Uc^atcs de Mcrlaix lo, «S el,') francs. (!ourse à la godille pour l'ej es. Prix : \h, 10 el (> Dianche S el Lundi '.» Juillet HCM l'rancs. Dianche S Juillet à Li ) précises Yachts de Plaisance Séries non internationales Hors.Série danois de plaisance à inoleui au-dessous de 12 chevaux. Preière Série Canols de j)iaisance à oteur au-dessous de."> chevaux. Deuxièe Série (>al-i)oal el (danois à isaine, avec ou sans dérive, spinaker interdit, longueur axia 4..")(). Troisièe Série Vaciils de 4..')() (série de C.aranlec), avec ou sans dérive. Quatrièe Série (danois de '> ètres el yu-dessous avec ou sans dérive. Cin(]uièe.Séiie Vachls de."> elres.')(i (S. II. M.). Les hàleaux engagés dans celle série portent dans la voilure leur longueur de.'). ;")() et au-dessous de leur nuéro d'inscriplion dans la série. Séries Inlernalionales Sixièe Série ^'achls de <)..")() (séries inlernalionaltts). Nobreux prix el édailles pour Unîtes ees séries. M- IK NAl'Ifûtïs;atalion (Bourse à la nage (fond), j)our jeunes gens au-dessous de 20 ans. Prix : 12 l'r. el une édaille olverle [Kir la Ministre de la Marine Marchande ; 10 l'r. el une édaille ; (> el ;> Irancs. Lundi 9 Juillet, a 14 h. 30 lîcçates d'hcnncur réservées aux hàleaux de plaisance Ccuiie Marie pour ^'aciils de (i..")().1. I. 1' j)rix : détention de la coupe pendant un an. 2 prix : une édaille ottei le par.m. liogrand,.maison «.\u Progrès», à.morlaix. Coupe Henriette olverle par.madae la (Cotesse Louis (.osia de Piauregard. I Détention annuelle de la (>oupe par le.5..")() S. H..M., elassé preiei- sur l'i'iisihle des règsles de l'année. Ccupc de la Sociele dc.s Kcûalcs de Morlaix Pour yaehls de 4..^0 (série de (^aianit'c) lègh ent spécial, har liés j'ar des aaliiirs ebres! d'une société de la l-'édération de j liietagne Nord. ; l'rix : Délention de la coupe I pendant un an el une édaille de I bronze ollérte par la ("opagnie 'des (iheins de Ter dèp.arteeni taux du l'inistèrc. PLOUESCAT Grande Epreuve de Marche Plcuescat - Morlaix - Plouescat l'iie glande épreuve de arche de 100 kiloètres est organisée le 29 juillet prochain à Plouescat. Nos ais du Léon se rappellent ceilaineenl le succès reporté par l'épreuve Saiut-Pol-l'Iouescal-Morlaix. Le sport do la arche, inconnu à ce oent dans notre région, a de suite conquis les sportifs qui ont été ciiierveilles ilu courage el de l'allure des archeurs. Avec eux, pas de triche ni de chique, seuls leur lorce et leur volonté leur peret de archer pendant des centaines de kiloètres à une oyenne d'environ 10 kiloètres à l'heure. Heureux du succès reporté, les ebres du coité avaient décidé de faire encore ieux celle année et, avec leur qualité de parfaits organisateurs, ils ont is sur pied le projet d'une très grande épreuve. D'aboid, ils ont décidé (lue le dépari el l'arrivée aurait lieu à Plouescat el que tous les petits haeaux de la tôle coe les coins les plus reculés des terres du Léon seraient visités. Puis, ils se sont assurés le patronage de la J)épcc/ie de lircst el de Hc ho du Léon, le contiôle et le concours de l'pnion Française de.marche et du Club.Sportif.Morlaisien. 'fous les clubs de aiche de l'ouest partici ieiont à l'épreuve. Les archeuis de Rennes, Dol, i-ougeres. Laval, i.orieni Landerneau. Brest et.^lorlaix se disputeront les eilleures places. Avec de tels concours, le succès est certain. Le départ aura lieu à Plouescat avec passage par Keilissicn. Créac'h- Avel, (Jéder, Sibiiil, i'iougoul, Sanlec, koscotl, St-Pol de-l.eon, PlouOnan, Pcn/.é,.Nloilaix, Sainte-Sève, (iuici an, Plouvoin, Bci\'cn, Cléd r ; arrivée a Pont-ChrisI, en Plouescat. Des prix intéiessanls, achetés à i'iouescat, viendiont récopenser les eilleurs. Des prix spéciaux seront attribués aux aicheurs du départeent. Nous ne doutons pas que de nobreux spoitils \oudront encourager les petits gars en olfranl des pries ( tii seront reçues avec leconnaissance par le (ioite SO K L5 S ) S Nous soes certains que les pêcheurs de la côte el les cultivateurs sauront gré au.\ organisateurs de faite passer chez eux le «Tour du I.éon» et de leur perettre d'assister gratuiteent à un spectacle (jui les intéresse. MARCHE L'iîpreuvc de Marche Morlaix-PIouc^at-Guerrand et retour L'épreuve de arche Morlaix- Plouégnl-Giieri-îHKl el retour, destinée à classer les ebres du C.lul) sportif orlaisien devant partici- )er à l'épreuve de r.-\s de TrèlVe, à bennes, a eu lieu dianche alin el a été l'a\orisée par le beau leiis. Neuf concurrents prirent le déparl à N ii L'), devant l'hôtel Saintl'rancois. ])lace Kile-Souveslre. (k' sont l'^liès. Minga, Troadec, I.ozach, Pierre (Mec 1, l.ebars, Durand, Plus( uellec el Dénos (hors course), ('e dernier terina ])reier réjireuve. il arriva à.morlaix à idi 17 inules ;]() secondes. Il ne fui pas classé en raison d'iine sanction rèceenl )rise à son égard. L'as du club, Lliès, alade, ne j)eul donner le eillenr de lui-ée, après avoir ené pendant une grande )arlie du parcours. Plouigneau, Minga passa en léle, ayant parcouru la dislance Morlaix-J'Iouignean en.'>7 inules. Il était suivi par loliès. A Plouégal-(iueriand..Minga signa au contrôle à K» heures, toujours (kn anl l lliès. Dut and alors abandonna. Le passage à Lancur s'elvectua dans l'ordre suivant, en présence d'un nobreux juihlic : 1. l'.liès, à 10 h. 12 : 2. Minga, à io h. 43 ; Troadec, à 10 h. 4.') ; 1. Dénos, à 10 h. 44 ;."). Lozach, à H) h. 4'.) : ('> 1.e Bars, à 10 h..")<) ; 7. Clcch, à 11 heures ; <8. Pius( uellec. à 11 h. 1. la sortie de Lancur l'on nota les abandons de Minga el de Pierre (^lech L'ariivée ollicielle se lit à.morlaix coe suit, Dénos étant, on le sait, hors de course : 1.- Troadec, à idi 20, couvrant les.'i.') k. du parcours en 1 h..') ; 2. loliès, à idi 24 ; '!. Lozach ; L Le Hars ;.'). Plus( uellec. Eludes de : M' COUBSIN. docteur en droit, avoué à Morlaix, 4, rue de Paris ; M"- BELZ, docteur en droit, avoué à Morlaix, 10. place Cornic ; M" BUANEG, notaire à Guerlesquin. Vente par lieitation judiciair*.; En l'elude et par le Ministère de M' BUANEC, notaire à Guerles( uin Le Lundi 23 Juillet 1934 i\ 14 heures Désignation : LOT de a Au UNIÛUE Bourè uoinie de 1" Une Maison dite «Ty-ar-Butun» ayant rez-de-chaussée, étage el grenier, couverte en ardoises. Crèches y attenant. Cour derrière. Le tout cadastré sous les nuéros 30 et 31 p, de la section G-8 et 134 de la secllon D-I, pour une contenance totale de 1 a. 71 Les pièces de terre ci après : 8) Parc-Bras, labour, cadastré sous le nuéro (), de la secuoii D-I, contenant b) Ar-Lannec, cadas tré sous le nuéro 81 de la section D 1, contenant c) Goare Traon- Meiir, cadastré sous le nuéro 18 de la section D.5, conlonantsous lande d) Parc l'raon Meur, labour, cadastré sous le nuéro 17 de la section D-5, eontonant e) l'arc Fane h Quitté pré. des dépendances de la \'illeneuve, cadastré sous le nuéro 10 de la section D-2, conleiianl.. 74 a a. 91 ',(9 a. 94.1<; a (W :;!) a. 88 Contenance totale : deux heclaies, soixantedix-sept ares, quatrevingt-dix-huit centiares. 2 h 77 a. 98 Jouissance au 29 septebre Mise à prix... i^.ocoff. Ladite vente par licitation judiciaire a été ordonnée par jugeent rendu sur requête par le Tribunal civil de Morlaix, sous la date du 13 juin 19:{4, enregistré. Poursuites et diligences de : 1 Madae Marguerite i'ouliard, veuve en prfières noces de Monsieur Jean Lalzet. et en second a riage de Monsieur Hervé Gallouédec, propriétaire, deeurant au bourg de la coune de Laiinéanou. Deanderesse : ayant pour avoué, M'' COUBSIN, dont l'élude est sise à Morlaix. 4. rue de Par is. Et : 2" Madae Louise Dccaudin. veuve de.monsieur Eile i.aizet, deeurant à Sainte-Geneviève-aes- I Bois (Seiiif-et Oise), 6. rue Eile Zola, agissant au no el cce lutrije natuielleel Ifgaledeses liois enfants ineurs : 1".Mii hel ; flr- ;cne ; 3" liobert Laizel, Ist-us de.«on j ariage avec ledit Monsieur imiiile ' Laizet, sus-noé, décédé. Ayant pour avoué. M'' I?ELZ, dont l'étude est sise à Morlaix, 10. place Coi nie. Le cahier des charges, clauses cl conditions dressé poui- parvenir à la vente pai' licitation judiciaire de 1 ieuble dont s'agit,'df eure déposé en l'élude de M' BUANEC, notaire à Guericïquin cù il peut en être pris connaissance. La vente dont s'agil se fera aux joui" cl heure ci-dessus indiques, l'étude el par le Ministère dudlt.m"' BUANEC. notaire sus-noé, en présence ou elle dûent appelée de Madae Rosalie Beauont. veuve en preières noces de Monsieur Betioil l)ecaudin et épouse en deuxièe n.arlage de Monsieur Mau»'ice Le Clerc, pardeforestier, deeurant à Cliabourcy (Seine-ot-Olse). subrogée tutrice des ineurs Lalzet susnoés. Fait et rédigé confoiéent à la loi par l'avoué poursuivant soussigné. Morlaix, le 26 juin 1931 Marc COUBSIN, Uocteur en droit, avoué. Kiii-epislré à.morlaix (A J.). le juin 1934, folio 60, case 8. Reçu : onze francs i-inquanle centies. ' I..e l'icceveur d'enregistredent : signé : CL1':MENT. Etude de M*^^ Désiré GALLCUÉDEC huissier à Morlaix, 43, rue du Mur V e n t e ])ar.suite de saisie-exécuticii Le Dianchc Juillet 1974 à 17 heures et jours suivants, s'il y a lieu A Kervéûuep, près Kerné^uès C17 PLOURIN-LES-MORLAIX Au doicile el au préjudice des époux Le Lez M--' GALLOUEDEC vendra : '» tobereaux, 2 caions hippoobiles, 4 diables, chars à bancs, char avec tonneau, voitures anglaises, bascules, barricjues, harnais, 30 collie/s. selies, liache-lande, rouleau, herses, brabanls, charrue, e.xtirpaleur. houx, coupe racines, chaudières, roues de voitures et de charrettes, slalles, lot de bois, lot de vieux fer, fut de azout, établis, bouteilles, atériel et arcbandises de bourrellerie. etc.. Foin, fuier. 2 chevaux, 3 vaches. Llude de M' KFBDONCUFF docteur en droit, notaire à.morlaix ^îl'ivant acte reçu par M- KI-;iî- ^^ DONCUFF, notaire à Morlaix, le 13 juin 1931, enregistré le 11, volue 3.Ô4 A, case l.'jx,.me i-^lisa Guihéneuc, veuve de M. Henri Le l^agadec, deeurant I L lue de Paris,.Morlaix, a vendu a ta Ville de.morlaix, représentée par.m. Bourgol, aire, le fonds de coerce de bains-douches qu'elle fait valoir à.morlaix, allée du Poan- Ben, connu sous le no de «iiains Modernes». I/inserlion au Bulletin Oiliciel a été l'aile dans le nuéro du il Juin. Les oppositions, s'il y a lieu, devront être tailes, au plus lard, dans les dix jours de la présente insertion et seront reçues en l'étude de M'' Kl-IBDON- C.l l-'i-', notaire, où doicile est élu. Pour deuxièe inserlioii : KFBDONCUFl-, notaire. WianBHHBSSBBnBBiBHiHnai fl erieaire 29, Rue du Mur, Mcrlaix, 8.A.R.L cap. 25.G00 A Vendre l" a Piou:,asnou, jolie aison de 7 pièces et dépendances, jardin, prix à débattre ; 2^'.Morlaix. aison de 6 pièces, jardin, bon état, prix : lo.ouo francs ; :î prés.morlaix, petite propi iélé il'agieent entièreent close, prix :.'jo.uot) francs ; 4".-K.Morlaix, a son de 6 pièces à usage de coerce cour, prix : OOU franc-". I Dansstalion balnéaire, )ension de faille. 10 cliabies, prix liés intéressant ; 2".Morlaix, lion debil-épicerie bien place, prix :!;5.i)l 0 tr. 3" Bonne boucherie lie ville. 2 bd'ufs, 7 veauv à la seaine, beau atériel i".-vu- Ire boucherie de capaj>ne ; atl'aiie! à augenter..')" Nonibteuses afj laires tous genres, tous piix. ' A Louer ' Apparteent eublé I 3 pièces. 2' Apparteent de 3 piècesjibre. 3' Diverses propriétés pour la saison. Ce journal c.réc/j/é par une naàa e(inipe d'ouvriers sijndiqués Recherches hisloriques sur les Ville & CciiiiaulédeKoriaix par Krancis tct'in Chapitre II {Suite) I hbies. l'ji celte inc'e. on décida qu'à l'avenir elles sciaient signées par les coii/e :intiens cuibies et ( ue les paquets ;idiesses au s\ndic aite se iaient ouvcils en coiueil. Alois c( ir.nierva ce lie série d'ac'inisikitcius intelligcnls qui entiepii- Kiit les glands tia\anx que le.wllb' siicle nous a lianmiiis : les Dancsnil. Set cikuui, l.fbritjoiul, Harazer, l)vliii:(,cii. (iiiillotcn et litnt d'autics. IjIhi que depuis i(,8<), les octiois Il faut dire que le kcj,ent n'aiait pas la iiretagne et l'accu.^ait haulc- eussent clé été angn.uitcs, ils a\aienl nient de pailicicjer aux coplots que èie.'djngcs, in 1712, jour 4 ans. l'espagne torenîait conlie lui Iwt onennant t()..^(i() livics par antut et 171.S. les hlats bietons lui avaient line teirission de li\ies, lefusé 2 illions de don gialuit, et il ; c ui c!e\ail set vii aciiuittei les ollis'était vu foicè, pour les obitnii, de ces M jipi es. le (Oipsne ville se condaner leurs députés à l'e.xil. de bàla (!( piolesui ccnlie la Mielé de enacer le pat k nient et d'tccupei ce aul.c. cl l'i nnee suivante l'adjudk;il;(-n lui lassie par un ariètdii iiitaiu'nunt la contue. Dans ce êe UpK, il faisait Conseil. ( elle \ictoiie lut d'un bon enlever et détenii les nitbiis du ai.'giiie. Plie (le\a le itvciiu de la Parleent de Paris, paice ( ue ce \ille el lui ptiil de se (icmaver. de corps s'opposait aux opéiaticns de s'eu ndie et (!< '( l ellii. Law. Il y avait alois pout piès de i'.n ly.'n, un iiucndie, qui dut a 3 niilliarcis Ce billets de banc i;e en plusieurs jeuis, dé\oia i l,e)i)ilal, circulation, et les actions de.')(;() Ilvi c- bciiucoiip de agasins, de aisors se vendaient jtiieiu'a :'o (.00 livies. et coûta la \i''.1 beauioiip de onde, Ce ne lut donc ijii'en i^^o (]iie le les pelles luieni (\aliues à un il corps n.unicipal lenlta tn pleine lion el, pi rdatil deux années, on lu! possession de ses anciennes i^ittogatives et tjue ses délibéiations lutenl aisons piivees. Néanoins, obligé de iegci le s pauvies dans des cet I incendie lut utile, en ce qu'il dégagea! la \ille, au notel. de toutes les niassu-, ics léunies cjui tonnaient rhe)pilal et peiit la création de la place de \'icj//irs et de la tue 6'Aiguillcri. Ouant aux nuiiailles, coe tous les cdihces seblables, elles étaient tobces dans le doaine de l'i^tat, qui ne les 1 épatait pas et les vendait par tiiigcnts à des partieiiliets. (let cnvahisscnient de la coinonne avait libéié.--ans doiile les cilès de loin des chaiges. ais il lut un al, pui^c ue nos villes t'-ontièies )eidiieiii ainsi ( ue l'abondance pioduisait la deprt>cialion, en ce cpie l'appt ovisionnc- leur cuiias.'-e eontie l'angletcne. lùi iliej.] encoie, les Anglais avaient jeté nient était inteidit. Une bonne annee une ai niée sur nos i ôtes. n'était ainsi ptolilable ni à l'agricul- Lisez les atchives el venis \ciicz le Une ni au eocrce ni à l'annce coips de ville deander, en i;^!). aux suivante deux e \èe iics la /v///7/,n.wv'// deander f/c.s tvujs en (dicine, puis cnietire I tant que le ejuintal de Itocnl ne j Vers ikio, re.\portation lui pciinise le \ceu que ses tities et principales coùleiait pas 12 livies 10 sols. Mais décisions soient iptinies et e u'une IsiàMoilatx on usa de celte libellé écluse soit laite au bas du poil, of ce lut clandfslineeni, et les preniieis i de tenir te port net et tes (ï//,vv<7///.i' d chargeents ostensibles de giaiiis ' /lot. lin ce teps, leeonieice llorissanl tendait.i la loingcoisie son des e rneutes. On avait longteps agi que r.ous avons vus ont donné lieu.1 j ancien liistie, son 0 ulence ; la ville de SOI te pour le heurte. Itousail loiijouts de l'aigent pour Dès i()l2, la police avait détendu Isuivie ses plans de leloie; ses d'en achetei en gios avant le 20 juillet. afin que t et te denrée précieuse ' enlanis étaient inlègies, dévouées, cl fut isi, con.e en la disette se lai- I sait sentir, on envovait cheichei du blé en Hollande, au oyen de souscri )lions. l.es 11 ois ordi es fuienl convoe iiés à cet ellet par le aire etsousciivi- I rcnt. l.e ble coûtait alors k» livres le ciuartier, c'est-à-diie 2\ li M) de nos jours. Ces diseltes, au reste, élaienl assez tr(( iientes et résullaient de deux auvaises esuics : la piohibi tion de iaiie des ap )tovisionnccnts Idegiains; l'clévation de la taxe du I ble il la sortie, i.a difticultc d'exporter citconsciivail la ptoduction. tandis à la portée du pauvre. se pratiquait en J'ignore ce (jui I.a longue paix que le cardinal de l'ieury siit, après l.aw et Dubois, procuier à la France, ne contribua pas I oins à ce beau résultai que la téu-! nion à la coiinaiilé des otlices de I police dont nous avons parlé, i-'n 17.1e), le copte niiseur présentait un passif de iis.j.sis livres et un aclit de t()7.s.">7 livres, cest-àdiie un deticit d'environ livres, ce qui n'einpèchail pas le corps de ville de deander au roi la perission d'epiunlei (id.eioo livies pour rachèveciil de ses quais. De cette époque à la Révolution, le revenu de la \illc ne dépassa pas (io coo livies. lille eut pour aires MM. Piiue.'i- \nil. l'itot, Miron, Sennen.uin, Piwid. ' Harrcre, Marzin, l.iuuaix, Ptiunte.\nil frères, etc. ; pour iseurs, MM Legri.s el Lahadie. Une deoiselle Keiltiiel- Quentric lui, pendant près de 23 ans, gretlièie de la Counauté. N'ets ce êe teps, la ville releva tous ses pavés et lit bhinchir les auiues ejuc rairaute avait placées sur la oiilagne de Carantec. i.e systèe actuel de tours et balises ne fut exécuté (Iti'en 177") el Tli, par le brave capitaine Coi nic qui, plus tard, sous la Convention, diessa une carte de nolt e rade dont les planches doivent cite j la Marine. Dans un éoire au inistre, en 177."), Coinic disait ejue de à i77.'), \ingl-cinq vaisseau.x s'etaunt petdus sur les lecits de notre ccite. Heauteps-Ikaupie vient de lelexer notre riviète et notie tittoial. Toutctois, la guerre de la succession d'fspagne n'avait eiue peu ralenti l'essor du coet ce. C'était, on le sait, en l'spagne el en Portugal que les Mot laisiens allaient vendre leurs toiles, leurs cuirs el leurs papiers. Les beurtes, plobs, cendte de tabac, les iils blancs et teints ae portaient à Rouen : les suifs, graisses, iels à ILnnbourg et en Hollande. On envoya êe des navires en Aérique, à la pèche de la orue, opérations e ui, on ne sait pourquoi, léiissirent al, el la ville acquit une telle piospeii'é, que la Copagnie Itaneaise des Indes y vint, en 172?, acheter le ('los-marans, un enlieiu')t. pour éditier L'allaite anqua ai^iès de longues négociations, ("est là que s'éleva, à la êe époque, la anufacture de tabacs actuelle e ui rapporte à l'htal de à 1 illions pat année. {à suivre). Ip. Boclé, 'Ji'i» rue Ciabetta,Morlaix l/ailiiiniisliiitemir-ciéranl : L. HOCLIv it Certifié par le Géraat soussigné Pour iégalisatioq

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